Premier épisode
Un an s'est passé et je suis enfin à Copenhague répondant à l'invitation de mon copain danois. J'étais tellement excité dans le train en pensant à lui que je suis allé me branler dans les toilettes du train, j'ai repeint les murs de mes giclées ! Enfin voilà qu'il m'accueille à la gare, il me fait la bise pudiquement, puis présentation à ses parents et balade en ville.
Depuis l'an dernier, il a appris le français, même les mots du sexe et ses expressions !
En nous promenant côte à côte je le regarde avec désir, il est splendide et nous en arrivons à parler sexe. Il me dit que depuis l'été dernier il n'est pas resté sage, je m'en doute et il a eu un copain un peu plus vieux que lui avec qui il a pris du plaisir, il raconte : - C'est un garçon vicieux, il a commencé par se branler devant moi pour m'exciter, sa main allait et venait de plus en plus vite, il me regardait en haletant, en le voyant, je bandais, il a pris ma bite qui durcissait et nous avons joui ensemble, nous l'avons fait plusieurs fois les autres jours,
Très vite nous sommes allés dans ma chambre, nous avons enlevé nos vêtements et nous nous sommes fait jouir plusieurs fois, cela a duré plusieurs jours, souvent il était super chaud ! Il m'a fait jouir comme jamais ! Mais depuis un an, tu me manques, je bande pour toi sans arrêt !
En l'écoutant Je bande dur dans mon jean, en le regardant, je m'aperçois qu'une bosse tend son jean nous bandons tour les deux et il continue à raconter : - Il y a deux jours, j'ai acheté une revue gay, je me suis branlé sur les photos de beaux garçons appétissants avec leurs bites dures, j'ai fait durer un moment, j'avais la bite en feu ! Finalement, j'ai joui, j'avais du sperme plein les mains, ça dégoulinait, c'était délicieux ! Si tu voyais mes draps... !
Je n'en peux plus de bander à son récit, arrivé dans un parc, je l'attire à l'ombre dans un endroit désert et, appuyé contre un gros arbre, je l'embrasse sur la bouche en ouvrant la fermeture de sa braguette, je lui dis : - Tu m'excites ! Ça fait un an que j'ai envie de toi ! Que je me branle tous les jours en pensant à toi !
À l'intérieur de son jean, je saisis son épieu chaud dressé et commence de lents va-et-vient, il ouvre ma braguette et fait de même sur ma bite en feu, nous sommes deux garçons l'un contre l'autre qui s'embrassent et commencent à haleter de plaisir Il murmure : - H !...C'est bon !... Depuis le temps que j'attends ça ! Viens, rentrons !
À regret nous nous séparons, refermons nos braguettes sur nos bites dures et nous précipitons chez lui. Nous nous jetons sur son lit, nos jeans tombent sur le sol, fébrilement nous baissons nos slips et, les mains de l'un serrant la bite brulante de l'autre, nos langues se mêlent fougueusement, il fait : - Mmmmm !...J'ai envie, envie ! Oh, Que c'est bon ! Nous mêlons nos cuisses chaudes, et lui comme moi commençons à aller et venir sur nos épieux. Il murmure : - C'est trop bon... Faisons durer c'est meilleur ! tu sais je ne me suis plus branlé depuis deux jours... Je t'attendais !
Après dix minutes de lente masturbation et de baisers sur tout le corps, nous transpirons, il gémit de plaisir, nos langues se mêlent, je respire son odeur enivrante de jeune mâle il est tellement beau que je me ferais damner !
Entre ses cuisses, sa bite devient énorme et dure comme fer, je la prends dans mon poing, il crie : - OUUII !...BRANLE MOI !...H !...J'EN PEUX PLUS... J'approche sa bite de mon visage, je titille de ma langue la base de son gland, il crie : - OUH !...JE VAIS....H !...OUAIIIIS ! JE JOUIIIIS ! Un énorme jet jaillit de son gland et éclabousse délicieusement mon visage, encore un deux, trois jets puissants ! Je suis fou de désir, Je me dresse devant lui mon gland contre ses lèvres ouvertes sur son plaisir, le contact de ses lèvres provoque mon orgasme et dans un cri je lance mon sperme encore et encore, Je n'en peux plus de plaisir : mon danois avale mon jus ! - H !...Tu aimes ? Lui dis-je.
Son visage dégoulinant de mon sperme sourit affirmativement, son épieu éjacule encore sur son ventre en soubresauts, nos restons longtemps enlacés nos corps sursautent de luxure, nos bites lancent encore quelques jets dans nos odeurs de sueur et de sperme.-T'es un vicieux, toi ! Lui dis-je. Il sourit (ah ce sourire !) - Oui, mais tu aimes ça !
Les nuits se succèdent et nous occupons le même lit témoin de nos plaisirs de plus en plus intenses. Après les vacances je devrai rentrer, mais il viendra chez moi et moi, chez lui très souvent, oui, j'en bande ! Chaque soir en y pensant ma main va-et-vient fougueusement sur ma bite brulante et je lance mon jus encore et encore sur mes draps empesés de sperme, je pense que lui aussi fait la même chose à Copenhague, il me l'a dit, à distance nous jouissons ensemble en attendant de nous retrouver !
Frank
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