Dans ma jeunesse j’avais une chambre dans un immeuble situé dans une rue étroite, en face une fenêtre ouverte, car il faisait chaud cet été-là, la nuit tombée j’admirais dans cette fenêtre éclairée la chambre d’un garçon d’un âge que j’estime à dix huit ans à peu près, moi, j’en avais vingt-trois. Chaque soir je le voyais, cheveux châtains ébouriffés qui s’asseyait sur son lit et enlevait son t-shirt, j’admirais son torse doucement musclé et bronzé par l’été, ses mains glissent sur les jambes de son jean et s’arrêtent à son entrejambes dont le tissu montre une tension révélatrice qu’il palpe lentement : il bande dans son jean et ça m’excite de le voir, le tissu montre à présent une barre que le garçon serre dans sa main en souriant, il ouvre sa braguette et descend son jean sur ses cuisses, son petit slip rouge a de la peine à contenir cette barre, il abaisse son slip, sa bite en jaillit dure et raide avec les veines saillantes que j’estime à vingt centimètres au moins ! Il l’admire, il y a de quoi ! Je bande dur aussi dans mon jean, ses yeux posés sur sa belle bite se font vicieux, il entrouvre ses lèvres, son beau visage plein de désir me fait bander encore plus, j’ouvre ma ceinture et sors mon épieu brûlant. Il serre à présent sa hampe et sa main entame ses va et vient, par la fenêtre ouverte je l’entends soupirer de plaisir, il se branle de plus en plus vite, il gémit et halète, je ne le perds pas de vue en me branlant au même rythme que lui, il accélère, moi aussi, il va jouir, je sens monter mon sperme, lui aussi quand je l’entends haleter bruyamment, peut être m’entend il aussi haleter ! Nous allons jouir ensemble ! Je le vois transpirer, accélérer encore, jusqu’à ce que son jus jaillisse à grands jets comme le mien qui éclabousse la fenêtre. Il essuie avec un mouchoir son sperme qui enduit son torse, éteint la lampe et se couche. Encore bien excité, je me couche, aussi.
Le lendemain soir, j’ouvre ma fenêtre, la chambre d’en face est allumée, j’attends l’apparition du beau garçon en bandant déjà.
Ah, le voilà ! Il apporte son ordinateur, le pose sur une table devant son lit, l’allume en caressant son jean et regarde l’écran dont l’image doit lui faire un certain effet qui commence à tendre son jean. Je ne vois pas l’écran mais j’imagine peut-être une fille nue ? Debout devant son écran il ouvre sa braguette, sort sa bite très raide et commence à se branler sans perdre l’écran des yeux. Je fais comme hier : je me
branle en le regardant, il s’excite de plus en plus, sa main ne peut plus s’arrêter et il éjacule sur l’écran, il s’écarte faisant bouger son ordinateur, je vois à présent l’écran et la vidéo qui l’excitait tant, surprise : c’est un beau garçon qui se branle avec un autre ! Ce garçon a les mêmes goûts que moi ! En le constatant, je saisis à nouveau ma bite devenue raide et je me branle de nouveau en me disant que je dois rencontrer ce garçon.
Un autre soir je le vois étendu sur son lit, vêtu d’un t-shirt noir et sans pantalon, bite dressée qu’il caresse puis qu’il branle comme un fou, son corps transpire, se soulève et retombe au rythme de sa branlette je l’entends gémir et haleter bruyamment, cela dure plus d’une demi-heure, il se met un doigt dans le cul pour s’exciter davantage, je n’en peux plus de me branler tellement il m’excite jusqu’à ce qu’il éjacule une rivière de sperme qui gicle sur son t-shirt noir dans un cri de délivrance, je peux alors me délivrer aussi à grands jets. Au moment où je jute, je m’aperçois qu’il me regarde, tant pis, je le regarde depuis des soirs moi aussi. J’en rêve toutes les nuits pendant plus d’une semaine, lorsque…
Ce soir là, j’entends sonner à ma porte, formidable, c’est lui qui me sourit ! Vêtu d’un jean blanc et de son t-shirt noir qui montre encore les traces blanches de sa nuit de folie. Il se présente :
– Michel, j’habite en face.
– Je sais, je te vois par la fenêtre
– Moi aussi et j’ai vu que tu te branles en me regardant ! Eh ben, tu vas pouvoir me regarder plus près !
Son jean blanc est tendu par un gourdin qu’il montre en se cambrant, il s’étend sur mon lit en détachant sa ceinture et me dit :
– Regarde-moi, je t’excite ? Ouais, ma bite est bien raide, tu peux te branler en la regardant.
Ce disant il sort son épieu, le prend en main qui va et vient lentement en me souriant d’un air engageant.
– Je te fais bander, hein ! Sors ta bite, oh merde, qu’elle est dure ! Foutons-nous à poil ! Viens, on va le faire ensemble. Et arrête de respirer mon
t-shirt, ça t’excite de respirer mon jus sur ce t-shirt, mais on va faire mieux, tu vas voir !
Dit-il en dardant sa bite vers moi ? Une lueur de désir dans ses yeux, il s’excite à me voir excité en le regardant, nous éprouvons tous les deux une furieuse envie de jouir ensemble…
Je ne peux m’empêcher de saisir et de serrer sa bite, il soupire :
– Oui, branle moi !
Ma main va et vient, il se met un doigt dans le cul et me demande en ouvrant les cuisses :
– Mets-la-moi !
Il m’excite tellement et ma bite est si dure que quand il approche mon gland de son intimité, je ne peux que le pénétrer. Tout son corps se tend vers le plaisir, il dit :
– Vas-y à fond, c’est bon !
Je le pénètre délicieusement, il gémit de volupté, son beau corps transpire, tremble et frémit, je branle sa bite raide, je vais jouir, je me retire, il saisit mon épieu sa main va et vient le long de ma hampe, il me branle délicieusement, mon plaisir est intense, je le branle vigoureusement,
– ARRETE ! Crie t – il, JE… VAIS… JUTER !
Cruellement, je branle plus vite et dans un
-AAAAAAH ! C’EST… BOON!
Il jouit encore et encore en approchant mon gland de son visage que j’éclabousse de mon sperme, il passe sa langue sur ses lèvres et goute mon sperme avec un regard vicieux.
Nous reprenons nos esprits, il me dit :
– Qu’est-ce qu’on a joui, on est couverts de sperme !
Puis vient le temps des confidences.
Il me confie :
– Quand j’étais chez les scouts, j’ai enfilé un préservatif et je me suis branlé dedans, j’ai joui, il était rempli de sperme, ensuite je l’ai donné à un copain et devine ce qu’il a fait : il a enfilé ce truc plein de mon jus sur sa bite et s’est branlé dans mon sperme devant moi ! Qu’est-ce
c’était excitant ! Quand il l’a enlevé, je ne te dis pas comment ça coulait mais il avait joui formidablement et moi aussi en le regardant !
Eh, tu bandes en m’écoutant ! On va se branler dans des préservatifs et quand on aura joui, on les échangera et on se branlera dedans, c’est vicieux, hein ! j’irai en acheter pour demain.
Ça te va ? Oui, je vois que tu ne bandes déjà rien que d’y penser ! Nous sommes tout de même des vicieux, mais c’est bon ! qu’est-ce que je suis content d’habiter près de chez toi ! On pourra le faire tous les jours !
Ce garçon ne manque pas d’imagination, me dis je !
Frank
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