(histoire vécue !)
Lorsque j'avais vingt ans, dans une école des beaux arts , j'avais un copain de dix huit ans, Jean Claude : un petit gars aux cheveux châtains, aux lèvres épaisses très sensuelles ,au visage arrondi et à la peau mate et bronzée, tout pour m'inspirer du désir ! Il se doutait que j'aime les garçons mais nous n'en avions jamais parlé.
Il parlait souvent de sexe, il était assez vicieux, en parlant aussi bien de filles que de garçons inventant des histoires bandantes, il allait parfois s'isoler dans les toilettes de l'école et disait franchement qu'il allait se branler !
C'était en juin, il faisait chaud, il portait un petit short blanc effiloché qui moulait ses fesses et ses cuisses bronzées cela m'excitaient terriblement.
J'étais assis à côté de lui dans la classe, distrait par son petit short blanc effiloché qui me rendait fou de désir ! Ce jour là, il me dit à l'oreille :-T'as fini de regarder mon short ? Ça t'excite ? Il met sa main sur ma cuisse en le disant. Je réponds :-Ben oui, ton petit short m'excite, j'y peux rien ! Il me jette un regard entendu et prometteur !
Toujours tout bas il me dit :- Après les cours, tu pourrais me reconduire chez moi ? Il habite à une vingtaine de kilomètres et j'ai une voiture, " ok, je te reconduis. ", durant le trajet, Il ne parle que de sexe ! - Je me suis plus branlé depuis hier! J'ai envie ! Je réponds :-Ouais je m'en doute ! Je jette des coups d'oeil sur son short et ses cuisses bronzées, avec une furieuse envie d'y mettre une main, de le faire bander, d'ouvrir sa braguette, de le branler, de le faire jouir !...Je me calme et me consacre à la conduite de la bagnole.
Je lui demande, car je me doute de ce qu'il a l'intention de faire :-Tes parents sont là ?
-Oui, mais j'ai une idée, tu verras !
Après quelques kilomètres, il me dit :-Prends à droite. Le long de la route un petit chemin pénètre dans un bois, j'y entre en voiture, cela devient étroit mais il me dit :-Continue un peu, arrête toi un peu plus loin. Là, c'est bon !
Nous descendons de la voiture, il y a un gros arbre abattu dans les buissons, il me dit :-Te tracasse pas, il ne vient jamais personne ici ! On sera tranquilles, viens !
Je demande :-T'as l'air de connaître l'endroit, tu y viens souvent ? -Oui, C'est pas loin de chez moi, je viens parfois avec un copain. -Et vous faites quoi ? -Devine ! répond-il avec un regard vicieux.
Il me prend par la taille, nous entrons dans le bois près du gros arbre abattu, il dit :- Fait chaud. En retirant son t-shirt. Torse nu dans le soleil il m'excite plus encore ! Il s'assied sur l'arbre abattu, il est super beau et bandant, vêtu uniquement de son petit short blanc. Il me sourit d'un air vicieux :-Reste pas là, viens, je vois bien que tu as envie aussi !
Effectivement je bande dur dans mon pantalon et il le remarque, Il se couche en travers de l'arbre, tête au niveau de l'herbe, jambes pendantes et entre les deux, ce petit short qui montre une grosse bosse à l'entrejambes.
Cette vision me fait bander plus dur encore, -Tu bandes, mon salaud ! dit il. Ca m'excite ! Tas vu mon short ? En effet, une barre s'allonge et durcit, formant un pli le long de la jambe du short, je m'approche et mordille cette barre à travers le tissu, il gémit :-Oui ! T'en profites que je n'ai pas de slip ! C'est bon quand tu mords ma bite, tu sens comme elle est dure ?! Il commence à ouvrir ma ceinture, il m'attire sur lui et m'embrasse, ses lèvres sont chaudes, sa langue se mêle à la mienne, je n'en peux plus et il murmure en introduisant sa main dans ma braguette:-J'ai envie....Pas toi ?
Oh oui que j'ai envie ! Ma main serre sa barre chaude à travers le tissu du short, elle durcit encore par à coups tandis que Jean Claude murmure :-Oh oui ! C'est bon ! Vas-y franchement ! J'ouvre la braguette de son petit short et je saisis sa bite chaude et dure comme fer, une belle bite de jeune gars d'à peine dix huit ans sur laquelle mes doigts vont et viennent lentement !
En même temps, il a saisi mon épieu brûlant dans ses doigts qui commencent à aller et venir délicieusement.
Son sourire devient de plus en plus vicieux :-Ouais ! Branle-moi à fond ! Fais moi jouir, plus fort ! Et il branle rapidement ma bite en feu, à ce moment je me penche sur lui et pose mes lèvres sur son gland, aussitôt il soulève les reins et pousse sa flèche dans ma bouche jusqu'à la garde ! Il saisit ma tête dans ses mains et fait entrer et sortir sa bite qui se gonfle encore, sentir dans ma bouche entrer et sortir frénétiquement la belle bite de ce garçon super excitant, je suis fou de plaisir ! Il halète, agité de soubresauts et fait :- H !...H !...Tu vas me faire...H !..Juter ! Je sens qu'il va jouir, sa bite entre et sort de plus en plus vite et brusquement :-H !...OUUIII !...H ! C'EST BOOON ! AH ! Un jet puissant éclabousse ma gorge, suivi de deux autres, son jus est tellement abondant que j'ai du mal à l'avaler !
Tout en jouissant, Jean Claude continue à me branler et il introduit à son tour mon épieu entre ses lèves sensuelles, c'est meilleur que tout ! La bouche pleine, il murmure :-C'est bon hein ! Vas-y, jute-moi dans la gueule ! Je vais et je viens dans sa bouche je sens sa langue qui titille mon gland prêt à jouir, ses yeux pervers regardent aller et venir entre ses lèvres ma bite en feu, il prend son pied en m'entendant haleter ! Ce qui doit arriver arrive : Je me délivre à grands jets dans sa bouche.
Nos bouches se joignent dans un baiser, nos visages sont couverts de sperme, le coeur battant nous finissons par nous rhabiller, nous essuyons le sperme de nos visages avec un mouchoir, il enfile son petit short blanc toujours aussi excitant en rigolant et nous reprenons ma voiture pour aller chez lui.
Le coeur encore battant, nous avons repris ma voiture et rentrons chez Jean Claude. En effet, ce n'et pas loin, sa mère me remercie d'avoir ramené son gamin, si elle savait pourquoi et ce que nous avons fait ! Après un café, une dizaine de minutes plus tard, je quitte cette maman prévenante suivi du " gamin " qui me dit :-Je vais retourner un peu avec toi jusque dans le bois, pas loin, tu veux bien ?- Si tu veux.
Nous arrivons après le chemin, il me demande de m'arrêter au bord de la route, il descend de la voiture, me dit de le suivre dans le bois. Arrivés dans le bois, il s'adosse à un gros tronc d'arbre, se cambre mettant en valeur son petit short et me dit vicieusement :-Amène toi, j'ai encore envie ! Un peu inquiet, je regarde autour de nous, il dit en riant :-Rassure toi, je te l'ai dit, il ne vient jamais personne ici ! Regarde, je bande, fais moi jouir ! Ce disant, il ouvre la ceinture de son short en disant :-Prends ma bite, elle est bien raide ! Et il ouvre ma braguette en riant :-Ben la tienne est raide aussi ! On se branle ? Dit-il en embrassant mes lèvres.
Je lui dis :-Tu n'en as jamais assez, toi ! Tu es un chaud gamin !
-Tu sais pas tout ! dit-il en branlant lentement ma bite raide, souvent, je me réveille la nuit avec une trique terrible ! Alors, je me branle, c'est bon ! Et je jute plusieurs fois, mes draps sont raides de mon sperme séché et ma mère n'a plus qu'à lessiver ! Ah ! ca t'excite ce que je dis ! Ta bite durcit encore ! On va se faire juter. Debout face à face appuyés contre le tronc d'arbre, collés l'un à l'autre nos mains vont et viennent sur nos bites raides et dures dans le parfum de la forêt. Mon visage dans son cou qui sent le jeune garçon en rut, nous nous branlons ensemble en haletant de plaisir :-H !...H !...QUE C'EST BON ! Je vais venir !...N'arrête pas, merde, tu as arrêté, salaud ! j'allais jouir ! Dit il en me branlant vigoureusement, Vas-y à fond ! OUIII ! PLUS VIIITE ! AH ! C'EST BOOON MON SALAUD, TU AIMES CA, COCHON ! ! Je bande dur dans sa main qui accélère aussi, j'halète :-H !...TU VAS ME FAIRE...JOUIR ! SALE VICIEUX ! -MOI AUS... AUSSI ! CON...TINUE ! Dans un spasme il se cambre contre moi, sa bite lance son jus encore et encore en même temps que mon jus gicle sur lui. Nous jouissons en même temps, formidable !
Le coeur battant, je me redresse, sur mon t-shirt bleu dégoulinent les traces blanches de son sperme, je l'enlèverai seulement ce soir et en le respirant, je me branlerai et me ferai jouir dessus !
Jean Claude et moi nous nous embrassons encore, mais il faut nous quitter : -Salut, je rentre à pieds, ça me calmera ! A demain à l'école ! On va se faire jouir et juter cette nuit en y pensant ! Je réponds :-Oui, je vais me branler en pensant que tu jutes dans tes draps cette nuit ! Je ferai pareil ! Dis, on pourra se revoir dans le bois un de ces jours ? -Ben oui, le plus tôt possible ! Je le regarde partir en pensant " Qu'est ce qu'il est excitant ! Vivement qu'on recommence ! "
Frank
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