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Chapitre 9
La dernière fois que j’ai baisé avec Pierre, il a continué à me raconter comment son frère jumeau, lui-même et son père ont commencé des relations sexuelles suivies après la découverte de plaisirs intimes ensemble. Il m’a ensuite raconté comment Gaël et lui ont commencé à baiser ensemble avec d’autres mecs. Tout a commencé quand Gaël a raconté à Pierre qu’un mec du rugby lui avait demandé de le sucer dans les vestiaires. C’était un rebeu du nom de Youness. Gaël l’a ensuite invité à venir chez eux et les jumeaux se sont occupés ensemble des 21 cm du rebeu. Puis, ils se sont fait baiser par ce jeune arabe bien doté.
Pierre continue à me raconter son histoire :
« Je dois avouer que je baisais avec beaucoup de mecs à cette époque. Mon frère avait une copine depuis quelques mois. Nos rapports s’étaient faits rares au début et après quelques semaines, ils ont complétement cessé. Mon père avait pendant quelques mois eu un nouveau copain mais ça n’avait pas duré. Mais pareil, nos rapports étaient très rares. Moi, je me rattrapais ailleurs.
A l’aube de mes 21 ans, il s’est passé un truc assez sympa.
Un week-end, mon père et moi sommes allés assister à un match de rugby de mon frère. Son équipe a gagné. A la fin du match, nous l’avons attendu devant le stade. Nous avons vu ses coéquipiers sortir... et pas lui. En ayant marre d’attendre, je me suis dirigé vers les vestiaires. J’ai entrouvert la porte : il n’y avait pas un chat. Je suis entré pour voir et j’ai remarqué les affaires de mon frère sur un banc. J’ai alors entendu des bruits bizarres qui venaient des douches. A pas feutrés, j’ai jeté un coup d’œil et là j’ai vu mon frère qui baisait un de ses potes.
Gaël était grand, baraqué et poilu. Il avait des épaules très carrées, des biceps bien épais, un torse énorme et des cuisses tout en muscles. Ses 15 cm entraient et sortaient à une folle vitesse dans le cul de son pote, Samuel qui était plus grand que Gaël, blond avec des cheveux épais. Il avait un corps musclé sec. Ses pecs et son ventre étaient recouverts de poils. Et son cul était très poilu. Mon frère s’y donné à cœur joie. Il baisait le cul en donnant de grands coups de bite. Samuel était coincé contre le mur des douches et il subissait les assauts de mon jumeau. Les mains de Gaël étaient posées sur les cuisses de Samuel. Mon frère s’est exclamé :
- Alors, petite salope ! On avait bien dit que celui qui marquerait le plus de points baiserait l’autre. T’en as pas marqué beaucoup ! Alors elle te plait, ta punition ?
- Ah oui ! Vas-y, baise-moi à fond !
- Bien ! Ecarte bien tes fesses !
Samuel a pris ses fesses en main et les a écartées. Moi, je me branlais en les matant. Mon jumeau pilonnait désormais le petit cul du grand rugbyman. Puis, il s’est bloqué dans son anus et j’ai alors vu son périnée pompait le sperme hors de sa bite, directement dans le trou de son pote. Je me suis arrêté de branler sans jouir pour partir avant qu’il se rende compte que je les matais.
Je sors et je dis à mon père que je ne les ai pas trouvés. Gaël est arrivé 5 minutes plus tard et, surpris de nous voir encore là, a demandé ce qu’on faisait :
- On t’attend, pardi !, me suis-je écrié !
- Il fallait pas ! Je vais boire un pot avec les gars du club. On a gagné !
On est alors rentré sans lui. Je suis allé directement dans ma chambre, j’ai pris un magazine porno et j’ai commencé à me toucher en me remémorant la scène que j’avais surprise. J’ai sorti ma bite de mon pantalon et j’ai commencé á me branler, couché sur le lit.
Je ne me suis pas rendu compte que dans la précipitation, je n’avais pas fermé la porte. Elle était restée entrouverte. Mon père est passé par là et il m’a vu m’astiquer. Il s’est mis à bander... et à triturer sa bite. Il est alors rentré doucement et moi, j’ai sursauté en le voyant. Il a rigolé mais il s’est avancé vers moi. Il s’est mis à me caresser les cuisses. Moi, en chaleur, j’ai senti ma queue frémir d’excitation. Il a alors laissé glisser son short le long de ses cuisses, puis il a enlevé son t-shirt.
Mon père avait 49 ans. Il avait les cheveux très courts, coupés à la militaire, grisonnants et une barbe. Il était baraqué, avec un gros ventre rebondi et des « seins » bien marqués… mais tout était ferme. Il était poilu d’un peu partout (sur les avant-bras, les jambes, le torse et le ventre, sur le sexe et le cul) avec des poils grisonnants. Il avait le tatouage d’un dragon sur le bras gauche et un autre sur le bras droit d’un ours. Sa bite faisait 16 cm… et elle était super large.
Je n’ai pas pu résister à sa queue tendue. Je me suis avancé vers elle et je l’ai prise en bouche. Je me suis mise à la sucer à fond, en faisant des gorges profondes.
- Elle t’a manqué apparemment !
- Oh oui !
Mon père s’est penché alors au-dessus de moi et il m’a roulé une grosse pelle. Puis ma langue est descendue le long de son corps poilu et bien dodu. Puis, j’ai repris sa bite en bouche qu’il s’est mis à baiser en me tenant par les oreilles. Ensuite, alors que je continuais de m’occuper de sa teub, ses mains sont descendues vers mes fesses et il a malaxé mon trou.
Je me suis relevé, je me suis complètement mis à poil. J’avais 21 ans, j’étais grand, poilu et baraqué, avec des épaules très carrées, des biceps bien épais, un torse énorme et des cuisses tout en muscles. Mon ventre était bien dur, un mélange de muscles et de graisse.
Mon père s’est couché sur mon lit et moi j’ai pris sa bite en main pour le sucer. Sa bite large m’ouvrait bien la bouche. Mon paternel me caressait la tête pendant ce temps. Puis il a saisi mon corps et il m’a fait passer au-dessus de sa tête. J’étais presque assis sur sa bouche. Il a alors enfoncé sa langue dans mon trou poilu et il s’est mis à me bouffer le cul. Je me suis immédiatement mis à geindre de plaisir. Puis, moi, je me suis penché sur son corps et j’ai pris sa bite en bouche tandis qu’il continuait de me brouter la chatte. Sa langue s’enfonçait et tournoyait dans mes entrailles. Trop bon ! On s’est fait du bien l’un l’autre ainsi pendant bien 20 minutes.
Ensuite, il s’est placé derrière moi, qui étais sur le lit à quatre pattes. Il a joué avec son doigt dans mon trou puis il est parti dans sa chambre. Il en est revenu avec un gode qu’il a posé contre ma rosette. Il l’a fait pénétrer en moi et il l’a enfoncé lentement dans mon cul jusqu’á ce que les couilles en silicone soient collées contre ma raie. Il a alors entamé de lents allers-retours. Puis, ils se sont accélérés. Je gémissais de plaisir.
Il a ensuite pris un gode de 18 cm, très large. Celui-là ne rentrait pas. J’ai eu une idée. Je me suis mis sur le dos, j’ai bien écarté les jambes et mon père a enfoncé lentement le sex-toy dans mon cul qui est entré sans problème. Il m’a alors godé rapidement. J’avais alors vraiment envie de sa teub !
Il a ensuite mis un gode épais et long de bien 22 cm. Il l’a enfoncé rapidement et il m’a sodomisé avec. Moi je hurlais de plaisir. Ma bite molle se promenait sur mon ventre poilu. Finalement, n’y tenant plus, mon père a sorti la fausse bite de mon anus et il m’a mis la sienne. Elle m’ouvrait aussi bien le trou. Il a commencé à me pilonner. Il s’est penché sur moi et il m’a embrassé à pleine bouche, nos gros ventres se frottant l’un à l’autre. Ses couilles me fouettaient le périnée.
Après, il m’a mis à quatre pattes. Il m’a donné sa bite à sucer puis il s’est renfoncé en moi. Il y allait doucement, admirant sa queue se coller à mes poils de culs mouillés. Il aimait mater sa bite sans capote entrer et sortir de mon anus serré. Et bien vite, il a accéléré le rythme. Son ventre poilu me chatouillait le dos. Puis, il a entouré mon torse de ses bras puissants, il m’a embrassé tandis qu’il me baisait.
Ensuite, il m’a fait basculer de tout son poids sur le lit et il a continué de me pilonner. Sa queue allait profondément et elle me ramonait bien. Il faisait des mouvements amples, faisant bien entrer et sortir sa teub, ses grosses couilles frappant bien mon cul.
Il m’a fait remettre sur le dos, le cul au bord du lit. Et il est resté debout. Il s’est enfoncé en moi et il a repris son pilonnage. Il s’est penché au-dessus de moi et il m’a roulé en même temps une grosse pelle. Il me baisait en me regardant avec un regard tendre et plein d’amour. Après de longues minutes, il a fini par m’ensemencer. J’ai senti sa bite se durcir encore plus et grossir dans mon trou. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de lâcher sa purée. J’ai ressenti comment sa queue s’est gonflée de sang et a craché le jus. Il a poussé un cri bestial. Et j’ai senti son jus bien chaud en moi. Mais il a continué de me baiser… et de jouir. Sa queue est sortie pendant un millième de secondes de mon cul et il a continué de balancer sa sauce qui coulait le long de mon périnée … puis il m’a pénétré de nouveau afin de me donner le reste dans mes entrailles. Ensuite, sa queue s’est calmée et il a déculé, provoquant un torrent de jus qui a dévalé de mon cul.
Il s’est alors posé à côté de moi et il m’a branlé. J’ai joui 10 grosses giclées sur mon ventre qu’il s’est empressé de lécher. Puis il m’a pris dans ses bras et il a déposé de nombreux baisers sur ma tête. On s’est endormi ainsi. La nuit a été tendre et câline. J’étais content que tout ceci reprenne son cours... »
A suivre...
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Meetmemz
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