Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-8
Nous somme au debut du mois de novembre. Le vent souffle fort soulevant les feuilles mortes et faisant des tourbillons avec. Le climat s’est beaucoup rafraichi et la nature se prepare pour l’hiver. Posés sur le canapé, Yannick et moi regardions la télé. Calé entre mes bras, Yannick suivait attentivement le documentaire sur le Brésil diffusé a l’écran. Moi, je lui caressais tendrement les cheveux.
“Tu savais que Bénédicte a des origines brésiliennes? Sa mère, je pense, est brésilienne!” dit Yannick.
Bénédicte, c’est l’amant de mon mec! Vu que maintenant il me baise aussi dois-je le considerer comme mon amant? Notre amant? Car si au debut je n’avais le droit que de regarder quand Yannick se faisait prendre par ce bel etalon, à présent je me prends régulièrement les 23 cm de Bénédicte dans le cul. Il ne me baise pas a chaque fois qu’il vient. Cela va dépendre de son humeur. Il commence toujours par Yannick et finit en moi. Mon anus est toujours serré quand il s’introduit en moi. Moi qui me croyais totalement actif, je me retrouve à aimer cette sensation de queue qui coulisse en moi. Au debut ca fait toujours mal, mais rapidement je finis par prendre plaisir. Il m’arrive meme de pousser des gémissements comme une femelle. Je prends mon pied à chaque fois que Bénédicte me baise, mais je n’ai plus jamais ressenti l’orgasme de la première fois, l’orgasme qui m’a fait jouir sans que je ne me touche.
“Sa mère est brésilienne et son père jamaïcain. Un tres beau melange”.
Yannick est fasciné par Bénédicte. Cela va faire 5 mois que nous le “fréquentons”. Je ne sais pas quelle étiquette mettre a ce que nous vivons. Est-ce une relation ouverte? Sommes-nous un “trouple”?
J’ai compris que Yannick a le fétichisme du “cuckolding”. Je sais bien qu’il couche avec d’autres hommes. Mais Bénédicte est le seul qu’il ramène a la maison.
Je glisse ma main sous le maillot de Yannick et je commence a lui caresser le torse. Je lui effleure ses tétons (il y est sensible). Je fais plein de bisous dans le cou de mon mec. J’ai envi de lui. Yannick n’y est pas insensible. Il ferme les yeux et apprécie ce que je lui fais. N’y tenant plus, Yannick se lève et vient s’assoir en califourchon sur moi. Il me regarde tendrement dans les yeux puis m’embrasse. Nous nous roulons une pèle avec beaucoup de passion. Nos mains ne savent plus ou se poser. L’excitation grimpe en moi mais une vive douleur dans mon entre jambe m’arrête soudain et je grimace. C’est ma queue, enfermé dans sa cage elle me fait mal a chaque fois que je bande.
“Tu as pris tes médicaments?” me demande Yannick. Je fais oui de la tête. Nous prenons une pause, puis Yannick se lève et se dirige vers la cuisine.
Cela fait 73 jours que je porte une cage de chasteté. 73 jours. Oui, j’ai compté les jours depuis le jour ou j’ai moi meme enfermée ma queue dans cette cage. Je n’avais aucune idée que je la porterais pour tout ce temps. J’avais accepté de la mettre pour faire plaisir a mon mec, croyant que cela faisait aussi parti de ses fantasmes. Nous abordons rarement le sujet. Des fois j’oublie que je la porte. Ce n’est que lorsque mon erection est réprimandée, comme tout a l’heure, que je me rappelle qu’elle est la.
“Le Dr Bonnet a dit que ça allait passer” j’entends sa voix me dire au loin.
Il y a 3 jours de cela, Yannick a insister pour que je vois un médecin urologue. «Il est habitué avec les patients qui portent une cage» m’a-t-il dit. Il doit être très compétant car on du jouer des mains et des pieds pour trouver un rendez-vous avec lui. Arrivé a la clinique, la salle d’attente était remplie, la majorité des hommes et a peine 3 femmes qui accompagnent sûrement leur mari. Je sentais tous les regards sur moi. Tous ces hommes, savent-ils que je porte une cage de chasteté?
“Vincent Bourgoin!” L’assistante du Dr Bonnet nous fait signe de la suivre. Elle prend mes constantes vitales et me tend la fameuse blouse ouverte dans le dos . Je me change rapidement. Je ne garde que mes chaussettes. Depuis que je porte la cage, je ne porte plus de sous-vêtements. J’attends impatiemment sur la table d’observation. Yannick est avec moi, mais il est perdu sur son telephone.
Trois minutes plus tard, le Dr Bonnet entre dans la piece. C’est un homme dans la cinquantaine je dirais. Blond, grisonnant, il doit faire 1m80, les yeux bleus. Il est plutôt costaud. Il a un sourire qui me met rapidement en confiance. Il se présente et va directement dans le but de la visite.
“Et si vous me montriez!” Je m’allonge sur la table, les jambes relevées. Le Dr Bonnet soulève la blouse exposant ma queue dans la cage. “Avez-vous apporté la clef? Peut-on l’ouvrir?” Demande-t-il à Yannick.
“Non. Je ne suis pas le gardien de la clef”. Mon sang fit un tour. La seule fois ou j’ai abordé le sujet de la clef avec Yannick c’était le jour ou j’ai mis la cage. Il m’avait dit de ne pas m’inquiéter. Mais j’ai toujours cru qu’elle était quelque part dans l’appartement. Après cette déclaration de Yannick, je ne sais plus quoi penser. Est-ce que c’est Bénédicte qui a la clef? Est-ce quelqun d’autre?
Le Dr Bonnet enfile une paire de gant et m’examine. Il n’y a aucun soucis d’hygiene. Je suis circoncis, donc aucun prepuce pour retenir de la crasse. Quand je me lave sous la douche, je met beaucoup de gel et je rince avec le jet d’eau a forte pression. Il examine mes couilles, les soulève, les palpe. Il examine le pourtour de ma cage.
“Aucune irritation? Aucun inconfort?” me demande le médecin.
“Aucun” répond Yannick a ma place. “Sauf quand il bande. Ca lui fait mal. C’est normal non?”
“Bien sur! A present je dois examiner votre anus et votre prostate”.
Je me positionne à quatre pattes sur la table, le cul tendu vers le Dr Bonnet. Je sens ses deux mains écarter mes fesses et exposer mon anus. Un silence gênant envahit la pièce. Je sens du gel froid s'appliquer sur ma rondelle.. Dr Bonnet pose le doigt sur ma rosette et l’introduit lentement. Sans le vouloir je lache un gémissement. Il n’y a rien de sexuel dans ce qu’il fait mais je ne saurais dire pourquoi ça m’excite. Le doigt lubrifié du médecin explore mon intérieur. Il atteint enfin sur ma prostate. De la pulpe du doigt il masse ma glande. C’est comme s’il appuyait a plusieurs reprises sur une boule de nerf envoyant a chaque fois des ondes de plaisir. J’ai ferme les yeux et sans me rendre compte je me suis mis à onduler le bassin.
“OK!”. A contre-coeur je laisse sortir le doigt du médecin en moi. “Il n’y a aucun problème de côté. Mais j’ai remarqué une irritation au niveau de l’anus. il va falloir être plus doux dans vos rapports anales et utiliser beaucoup de lubrifiant.”
Je me rhabille rapidement, craignant que le docteur remarque ma cage soulevée par mon excitation. Le Dr Bonnet tend une prescription a Yannick. “Cela devrait l’aider avec ses erections”.
Avant de partir nous serrons la main au Dr Bonnet. Ca doit être moi, mais j’ai vu comme un barreau dans son entrejambe.
***
Le documentaire sur le Brésil se poursuit a la tele. Les belles images de plage et du paysage du Brésil contraste avec notre climat.
“ Ce serait bien si on se rendait au Brésil la semaine qui suit” lance Yannick de la cuisine étant.
“Je ne peux pas prendre un congé du jour au lendemain!”
“Je n’ai qu’à aller avec Bénédicte.”
Je tournai la tete pour observer Yannick. Il se préparait une salade l’air de rien. Il n’a pas l’air de blaguer.
« Attends ! Tu es vraiment prêt à te rendre au Brésil seul? »
Yannick se rapproche de moi. « Je ne serai pas seul mon amour. Il y aura Bénédicte avec moi ». Il dépose la salade sur la table basse puis vient s’asseoir en califourchon sur moi. Il noua ses bras autour de mon cou et joua avec mes cheveux. Il continua à me parler d’une voix lascive. « Et puis, on s’appellera tous les jours. Je t’enverrai des photos et des vidéos. Ce sera comme si tu étais là. Imagine mon corps nu sur la plage, mon cul qui se dore au soleil et des milliers de brésiliens qui salivent à l’idée de me faire ».
Il se rapprocha de mon oreille qu’il mordilla. Je ne sais si ceux sont les mots qu’il m’a dit ou encore les caresses qu’il me prodigue, mais l’excitation commence à grimper en moi. Ma queue commença à se raidir. Quoique bander me soit douloureux, je ne voulais as interrompre ce moment de tendresse avec Yannick. Je glissai mes mains sous son short et commencai a lui masser les fesses. Yannick me fit plein de bisous. Je sentis sa verge dure de frotter contre mon ventre. Mes doigts inquisiteurs cherchèrent sa raie. Je finis par trouver son anus. Yannick se tortille quand mon doigt traversa son sphincter. Sa bouche s’empare sauvagement de la mienne tandis que mon doigt poursuivait son chemin dans son fondement. Son intérieur est si chaud.
J’ai mal au ventre et au bas ventre mais je ne veux pas m’arrêter. Si ce n’est pas a cause de la cage de chasteté je le baiserais sur le coup. Mais ma queue emprisonnée ne peut se livrer a aucune activité. Un deuxième, puis un troisième doigt rejoignent la première. Yannick ondule sur mes doigts. ses caresses et ses baisers se multiplient. Il pousse des couinements tout en se frottant fiévreusement sur moi.La chaleur grimpe. Yannick sort son penis et se masturbe. Il se penche en arrière re enfonçant plus profondément mes doigts dans son rectum. Mes pulpes heurtent sa prostate a plusieurs reprises. Et a chaque fois il crie encore plus fort.
Des gouttes de sueurs se forment sur son front et celles qui sont deja trop lourde glisse le long de son visage. J’observe avec passion les traits de Yannick deformer par le plaisir. Ses yeux sont fermés, son front est plissé et sa bouche ouverte où s’échappe des gémissements .Qu’est-ce qu’il est beau! Je donnerais tout pour pouvoir me débarrasser en ce moment de ma cage et de lui défoncer le cul a coup de bite.
“Je vais jouir” dit il dans un cri. Je sens ses sphincter se resserrer sur mes doigts, j’en profite pour lui bien lui masser la prostate. Des jets de spermes blanchâtre s’échappent de sa verge, deux giclées me frappent au visage tandis que trois autres s’écrasent sur mon shirt.
Essoufflé, Yannick prend quelques secondes pour se remettre. Il finit par se lever. Mes doigts sortent lentement de son cul. Par réflexe, je récupère le foutre de mon amant du doigt et je porte le tout a la bouche. Yannick est sans doute satisfait, mais moi, je ressens une grande frustration de ne pas pouvoir atteindre l’orgasme.
Il ne faut pas beaucoup pour que Yannick fines par me convaincre. Quelques minutes plus tard, me voilà devant mon ordinateur, en train de réserver des chambres d’hôtel pour Yannick et Bénédicte.
Dej407
dej407@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :