Après un accident, jambe cassée je me suis retrouvé à l’hôpital. Un jeune et beau kiné de vingt ans tout vêtu de blanc vient me faire faire des exercices. Il est assis et je pose ma jambe sur sa cuisse il teste mon genou, bientôt je sens sous ma jambe posée en haut de sa cuisse quelque chose de dur qui s’allonge, mais il bande, ce beau kiné ! En le constatant je me mets à bander aussi, il ne tarde pas à s’en apercevoir et me sourit. Après un quart d’heure d’exercice il me quitte, à demain. Resté seul, je pense à ce beau kiné qui bandait en me soignant et ma bite durcit. Bon, je vais me branler.
La nuit j’entends s’ouvrir la porte de ma chambre, dans la pénombre apparait un garçon vêtu de blanc, c’est le beau kiné.
Il s’approche de mon lit, et murmure à mon oreille :
— J’ai vu que tu bandais quand je m’occupais de ta jambe…
— Toi aussi tu bandais ! s
lentement et ayant moi aussi saisi sa bite brulante, je le branle, il soupire de plaisir :
— Oui, c’est bon, branle-moi ! Il se couche près de moi, et murmure.
— J’ai envie ! Pas toi ?
— Oui !
il fait :
— Oui, c’est bon, branle-moi !
Il branle aussi ma bite raide, me faire branler par ce jeune kiné m’excite au plus haut point, sa bite dans mon poing, j’en approche mes lèvres, il pousse son mât dans ma bouche :
— Ouiiii… suce ma bite, c’est… Booon!.
Il donne des coups de reins en haletant :
— H !...Je vais… H !...Jouir… H !...AA AAA !
Son sperme gicle encore et encore dans ma bouche, c’est chaud et parfumé. Il est agité de spasmes et halète encore :
— OUH !...H !...Qui est que j’ai juté !
Puis il sort de ma chambre.
Le lendemain faisant semblant de rien, il recommence ses soins, mais le soir, il revient dans ma chambre, il ôte ses habits blancs, et s’étend près de moi, bite raide en l’air. Nous nous caressons voluptueusement enlacés, nous branlons nos bites chaudes en haletant, bouche contre bouche, sa langue se mêle délieusement à la mienne, nous transpirons collés l’un à l’autre, ma bite tendue frôle son visage brillant de sueur, ses lèvres attrapent ma bite, il me suce, je n’en peux plus de plaisir, il va me faire juter dans sa bouche, ce jeune salaud !
Sa langue titille mon gland, je vais jouir, oui ! Cela gicle dans sa bouche.
Nous nous calmons, il est venu chaque nuit, ce délicieux kiné, j’ai quitté l’hôpital et nous nous sommes dit au revoir, mais je ne l’ai plus revu, je ne Vais tout de même pas me recasser la jambe pour le revoir ! Il reste mon meilleur souvenir d’hôpital.
Frank
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