Premier épisode
Chapitre-2
Les mois semaines passent et je découvre le plaisir de profiter de cet appartement trouvé à Bruxelles et payé en nature à Mohammed, mon propriétaire. Pas de charges à régler, sauf une : celle de maintenir mon corps épilé partout, y compris dans ma raie fessière qui doit laisser voir mon œillet sans entraves. La partie préférée par Mohammed, avide de cet anneau élastique, étoilé et doux à lécher. Pour ne pas risquer de perdre mon logement j’accepte de devenir une lope comme jamais je ne l’ai été par le passé. Mohammed a beaucoup d’amis dans le quartier et la présence d’un jeune gay à la peau très blanche à disposition constitue une opportunité pour eux. C’est drôle de constater l’excitation qu’ils montrent à la vue de mon corps nu, fin comme celui d’une fille et à l’anus accueillant et dans lequel ils n’hésitent pas à introduire leurs zobs pour se vider. Ce ne sont pas vraiment les jeunes hommes qui viennent me visiter, plus intére
ssés par les filles pour montrer leur séduction virile. Non, avec moi ce sont surtout des hommes plus âgés, voire très âgés. Comme un cadeau reçu malgré leur âge. Avec eux, pas de gel ou de douceur, c’est l’enculage à sec pour me faire crier, le moyen qu’ils trouvent pour bander.
Le petit roumi tout nu transformé en fille, le pied pour eux. Mohammed a les yeux qui brillent quand il assiste à ces séances de tournantes à l’orientale. Avec ce regard hypnotisé sur ces queues épaisses enfoncées dans la blancheur de mon cul. J’ai surpris une conversation entre Mohammed et l’un de ses hôtes. Si j’ai tout compris, l’homme souhaiterait m’emmener avec lui au Maroc lors de son prochain séjour pour me partager là-bas, comme un trophée. Il paraît que là-bas les Européens efféminés comme moi passent de sacrés moments dans certains milieux.
- Certains ne reviennent pas et restent à disposition des Bédouins dans le désert me dit Mohammed. Et avec ton corps tu va faire bander n’importe qui. Tu vas en prendre des zobs dans ton petit trou, mais cela tu aimes non ?
Ce dimanche, mes parents et mon frère, étudiant à l’université, sont venus manger dans mon appartement. Ils ne sont pas au courant du marché effectué entre Mohammed et moi. Une erreur de ma part car quand la sonnette a retenti au dessert, j’ai eu comme une boule au ventre. En espérant que Mohammed ne soit pas derrière la porte. Et si, zut. En djellaba blanc, la barbe bien taillée, Mohammed entre et sans me regarder part se présenter à ma famille.
- Bonjour, je suis Mohammed, le propriétaire de Damien. Je ne sais pas s’il vous en a parlé mais il a accepté de me donner son cul comme loyer. Que je peux posséder quand je veux. Ma femme est partie avec les enfants voir sa famille à Anvers. J’ai donc une petite envie à exaucer. Mais vous pouvez rester bien sûr explique Mohammed en me prenant pas la main pour m’entraîner dans la chambre. Qui, comme toutes les pièces ne comporte pas de porte.
-
- A poil m’ordonne Mohammed, sous le regard à la fois choqué et incrédule de mes parents qui me voient me déshabiller tout nu. Mon frère ne dit rien mais semble apprécier le spectacle au vu de la bosse qui se crée entre ses jambes.
Rouge de honte d’être nu devant mes parents je laisse Mohammed me mettre son collier d’esclave. Je me mets en levrette et Mohammed, déshabillé en quelques instants, se place derrière moi, laissant voir son cul poilu à mes parents. En un instant il m’encule sans douceur. Ses bourses frappent mes fesses dans un bruit sec. C’est à ce moment que Mohammed prend conscience de la présence de mon frère, joli blondinet.
- A poil aussi, tu sera mon dessert du dimanche. Avec sa blondeur, il a une peau encore plus blanche que moi. Et une petite toison blonde bouclée autour de sa verge. Choqués, mes parents ne disent rien, pas plus quand mon frère se couche sur le lit et ouvre ses cuisses. « S’il vous plaît il est encore vierge » crie ma mère. « Tant mieux, ce sera une première dont il se souviendra. Mais c’est Damien qui va le prendre devant moi. Sinon, je mets Damien dehors. Et vous, restez et regardez vos deux lopes. »
Je ne dis rien mais j’ai toujours eu envie de mon frère aîné. Combien de fois j’ai pu le mater à la maison. Mohammed a déculé pour me laisser la liberté de posséder mon frère. J’essaie d’être tendre mais je vois que mon gros gland perce avec difficulté ce petit trou vierge. Lentement, ma queue entre peu à peu. Complètement. Couché sur son corps nu, j’aime sa douceur, son odeur. Pour lui faire oublier la douleur, je l’embrasse tendrement. Et je sens, à sa façon de me serrer contre lui qu’il apprécie, la douleur passée. Mais cette fois, le spectacle est de trop pour mes parents qui quittent l’appartement en claquant la porte. Mohammed a tout observé avec plaisir. Lui aussi veut passer sur mon frère et profiter de son cul blanc et tendre.
« Mes amis, j’ai un programme pour vous, difficile à refuser » nous explique Mohammed.
Colinot
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