NB : Cette histoire est authentique.
Chapitre -01
J'avais vingt deux ans, j'étais copain avec Philippe qui venait d'avoir dix huit ans, lorsque nous rencontrions, il parlait souvent d'amitié et disait qu'avec un ami on peut avoir des gestes intimes, sans autre précision, comme il me plaisait avec ses cheveux châtains lui retombant sur le front, ses lèvres épaisses et son regard ambigu parfois vicieux, je pensais qu'il parlait de sexe, il ne me disait pas s'il avait un tel ami mais je bandais en l'imaginant prendre du plaisir avec son ami, j'aurais voulu être celui là !
Ce jour là, nous avions assisté à un concert dans la ville voisine et, le soir, un de mes copains nous avait invités à dormir chez lui précisant que la chambre n'avait qu'un lit.
Dormir dans le même lit que Philippe m'excite déjà, on s'en doute !
Nous montons dans la chambre, Philippe met son pyjama dans un coin tandis que j'enfile le mien, Philippe porte un pyjama noir en tissu léger qu'il emporte toujours avec lui, je le trouve beau et désirable dans cette tenue et je commence à rêver...
Il monte dans le lit et me fait signe de venir, je cache tant que possible mon érection et le rejoins dans le lit en éteignant la lumière.
-Bonne nuit fait Philippe.
Couché à ses côtés, je bande à mort en sentant la chaleur de son corps, je le désire terriblement ! Il s'étend, sa cuisse frôle la mienne, qu'est ce qu'il est chaud ! Ma bite se dresse plus encore dans mon pyjama . N'y tenant plus je murmure :- T'es un ami non ?
-Mmmm oui. Je dors, à demain.
Je constate qu'il ne répond pas à ma proposition, pour qu'il sente mon désir, je presse ma cuisse contre la sienne qu'il retire à ce contact, déçu, je n'en peux plus de bander, vais-je devoir me branler pour me soulager ? Non, je veux que sa main vienne me faire jouir et je veux saisir sa bite. Est-ce qu'il bande aussi ? Je n'ose pas bouger et me rendre compte. Merde : il roupille ! Et moi, je crève de désir !
Je n'arrive pas à dormir et si je sommeille quelques instants, ma bite en feu qui durcit me réveille !
Philippe respire calmement mais parfois il se retourne, se cambre, son sommeil est nerveux, le mien aussi, au petit matin, je n'ai pas dormi et mon épieu tend toujours mon pantalon de pyjama.
Philippe se réveille, s'étire, dans la lumière du matin, pour sortir du lit, il m'enjambe et entre ses jambes écartées, je vois un énorme pal qui tend son léger pantalon noir ! Lui aussi bande à mort ! Mais lorsque je veux saisir ses cuisses, il est déjà descendu du lit et sort de la chambre.
Il va dans les toilettes, discrètement, je sors de la chambre et m'approche du WC, La porte n'est pas fermée à fond, je distingue Philippe debout, cambré et son bras qui s'agite fiévreusement, merde, il se branle ! J'entends sa respiration saccadée, ses petits grognements, Il va juter en me laissant en plan ! plusieurs chocs agitent ses reins pendant qu'il jouit à grands jets.
Quand il a joui, je me retire sur la pointe des pieds et rejoins la chambre, -Ca va ? Me dit-il. -Mm, ouais.
Mais tandis qu'il descend, je m'enferme dans le WC, sors mon épieu qui n'a pas ramolli depuis cette nuit et est toujours dur comme acier, constate des longues traînées de sperme qui coulent sur le mur, qu'est ce qu'il a juté, le salaud !
D'un doigt je prélève un peu du jus de Philippe, j'en enduis mon gland, c'est encore chaud, c'est bon de sentir son jus sur mon gland et ma main va et vient rapidement en pensant à Philippe que je désire à en crever, et je lance des jets brutaux qui se mêlent aux siens.
Lui et moi n'en avons pas parlé mais chaque soir je bandais en y pensant et je me branlais en enduisant mes draps de mon jus.
Une semaine plus tard, nous nous sommes revus chez moi.
Assis dans ma chambre sur le bord du lit, je lui demande :-Tu te souviens quand on a dormi chez mon copain, j'ai très mal dormi près de toi...-Moi aussi, j'étais nerveux, et j'ai bandé toute la nuit ! -Pourquoi ne l'as-tu pas dit ? Je bandais aussi, j'avais envie de toi, nous aurions pu prendre du plaisir ensemble ! -J'ai pas osé... -Merde, on se connaît assez pour oser le faire ! -Oui, mais je n'ai pas pu. Ne me dis pas que tu n'as jamais fait ça avec un garçon ? -Ben non...ou plutôt si... -Oui ou non ? Explique.
Et Philippe m'a raconté :
En été il y a deux ans, dans le bois près d'ici, un type de plus on moins ton âge m'a abordé et on a un peu parlé, il m'a demandé :-Tu fais comme tous les garçons, tu te branles souvent ? J'étais gêné mais je lui ai répondu :-Oui. Il a insisté :-En pensant à des garçons ? -Ben ...oui ! il a mis sa main sur mon pantalon en disant :-Tu me fais bander, regarde ! Une grosse bosse tendait son jean, et j'ai commencé à bander aussi, il l'a remarqué et d'un seul coup il a baissé mon pantalon, a sorti sa bite très dure et a empoigné la mienne et il s'est branlé pendant qu'il me branlait à toute vitesse de l'autre main en me disant :-Tu aimes ça ! petit cochon ! Oui, j'aimais ça, et j'ai juté aussitôt dans sa main, lui a juté à grands jets sur mon pantalon et mon t-shirt, et puis sans dire un mot, il a rattaché son pantalon et il est parti c'était un pervers ! J'avais honte, je me dégoûtais, tu comprends ?
Oui, je comprends.
Il ajoute :-Ca doit être bien de se faire jouir avec un vrai ami ...
-Tu n'en as pas trouvé ? -Non,... J'enlace ses épaules en disant :-Ca pourrait être moi... !-Oh, ce serait bon !
Encouragé par ces mots, je serre Philippe contre moi en lui disant :-j'ai envie, et toi ! Tu veux ? -OUI.
Chapitre -02
Assis côte à côte sur mon lit (voir épisode 1) Philippe se laisse enfin aller posant sa tête sur mon épaule avec des larmes dans le regard et me dit :-J'ai envie aussi, d'ailleurs le bande. -Je vois ! Dis je en posant une main sur son léger pantalon, Il pose lui aussi la main sur mon jean en disant :-Toi aussi tu bandes ! Et il ôte son t-shirt en disant :-On sera plus à l'aise comme ça, caresse moi ! A serrer contre moi son beau torse imberbe, ma bite durcit comme jamais ! Je caresse son torse je respire sa délicieuse odeur de garçon, il soupire :-Ah...c'est la première fois que je suis bien avec un autre garçon ! Continue, sens ma bite.
A travers son pantalon, ma main sent son pal dur comme fer qui se gonfle encore par à coups tandis qu'il ouvre ma braguette et saisit ma bite en feu, sa main va et vient lentement sur mon épieu, c'est délicieux de sentir sa main qui commence à me branler ! Entretemps j'ai ouvert sa braguette, son formidable pal en a jailli, dur, aux veines saillantes, dressé vers le plaisir.
Enfin, je peux prendre dans ma main le pal de Philippe que je désire depuis toujours et qui me fait me branler tous les soirs ! C'est chaud, c'est dur et doux à la fois, J'enlève aussi mon t-shirt, il enlève fiévreusement mon jean, nous nous étendons nus sur le lit, il murmure :-C'est bon ! Embrasse-moi, fais moi jouir, j'ai trop envie !
Nos cuisses se mêlent, c'est chaud, serrés l'un contre l'autre nos bites se frottent l'une sur l'autre, nous tremblons de volupté, Il commence à transpirer, je respire son odeur de jeune garçon excité.
Doucement, ma langue force ses lèvres pleines, nos langues se mêlent, chaudes et délicieuses, ma main va et vient sur sa formidable bite, il râle :-Oh Ouiiii ! C'est booon !
La main de Philippe va et vient aussi sur mon épieu, je n'en peux plus de plaisir, il commence à haleter=-H !...Plus...Vite ! Encore ! ...
Ce disant, il me branle de plus en plus vite, je suis sur le point de...
Je me retiens et pose ma bouche sur son gland humide, il pousse in cri de plaisir :-H ! OUIIII ! Entre mes doigts je sens monter son sperme, il est fou de plaisir, il cambre les reins et crie :-QUE C'EST BOOON !....H !...JE VAIS...ATTENDS....PLUS VIIITE !...OH OUIII !...JE JUTE ! Un jet puissant inonde ma gorge, une deuxième jaillit de son pal avec une puissance inouïe, son corps est agité de spasmes et sous sa main ma bite n'en peut plus et je crie moi aussi-H !...JE VIENNNNS ! En lançant mes jets encore et encore !
Enlacés et transpirants, une odeur de sperme et de sueur envahit ma chambre, Philippe se détend et m'embrasse en murmurant :-Qu'est ce que c'est bon avec toi ! T'as vu comme j'ai juté ?! Le goût de son jus encore dans ma bouche, je lui réponds :-J'aime ton jus, Philippe, tu es trop booon !
Il est clair qu'il a enfin trouvé l'ami de ses rêves et nous sommes prêts à recommencer jusqu'au matin ! D'ailleurs il dit :
- Je bande de nouveau !
Frank
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