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Chapitre-6
Je m’appelle Vincent. J’ai 31 ans. Et je suis cocu par mon copain Yannick, 26 ans. Tout a commencé avec Stefano, un peintre d’origine italienne. J’ai essayé de confronter le jeune artiste à ce sujet mais cela ne s’est pas passé comme je l’avais espéré (lisez le texte 2).
C’est avec Bénédicte, son nouvel amant (texte 3) que j’ai compris qu’en fait Yannick avait le fétichisme du cuckolding. Bénédicte nous visitait plusieurs fois par semaine, baisais mon mec dans mon propre lit, et moi, il m’étais interdit de participer. Je devais les regarder. Et quand ils ont fini, je dois tout nettoyer avec ma langue.
Mais Yannick ne s’arrêtait pas à Bénédicte. Il y avait cette fois dans le restaurant où il avait sucé un serveur et m’avait partagé son sperme en m’embrassant. Depuis cet épisode, je me demande souvent s’il n’y a pas d’autres hommes avec qui Yannick couche sans que je sois au courant. C’est comme si Yannick voulait baiser avec tout le monde sauf moi. Et la cage de chasteté qu’il m’a fait porté (texte 5) en est la preuve.
Au début j’avais vraiment peur que Yannick me quitte. Mais maintenant je suis sur qu’il m’aime et que ce que nous vivons est juste un fétichisme; un petit quelques choses pour épicer notre vie sexuelle… Notre vie sexuelle? … Sa vie sexuelle? Bon, oui, au début je ne savais pas comment réagir quand il se faisait prendre devant moi, mais rapidement j’ai finis par m’y habituer. Et il faut avouer que j’étais totalement excité quand je voyais un autre homme enculer mon mec. Il y avait même un petit jeu que je faisais seul: quand je croisais un beau mec dans la rue, je l’imaginais entrain de culbuter Yannick. Et je bandais automatiquement.
J’ai aujourd’hui 3 jours avec la cage de chasteté. Je la porte depuis vendredi. Ce qui est surtout pénible pour moi c’est la nuit quand je bande dans mon sommeil ou encore quand j’imagine Yannick se faire prendre. Mais au cours de la journée, il m’arrive d’oublier qu’elle soit là. Maintenant, je fais pipi assis. Je veille beaucoup à mon hygiène. J’ai demandé à Yannick où se trouvait les clés. Il a ri, puis m’a dit de ne pas m’inquiéter. Je fais confiance à mon mec.
Aujourd’hui lundi. Premier jour où je vais porter ma cage en public. Je me regarde dans le miroir, surtout mon entre jambe. Il n’y a pas moyen de se douter que je porte une cage. Les premières heures au boulot furent stressantes. J’étais nerveux. Je surveillais les regards de mes collègues, pensant qu’ils allaient découvrir ma cage. Mais absorbé par le travail, je finis par l’oublier.
Vers midi, je laisse le boulot pour aller croquer quelque chose au resto plus bas. J’ai pris un sandwich que je me résolu de manger au bureau. Je laissais à peine le restau que j’entends quelqu’un m’appeler.
De l’autre côté de la rue se trouvait Bénédicte, l’amant de mon mec. Il me fait de grand geste pour que je le rejoigne.
« Qu’est-ce que tu fais dans le coin, mec? » il demande.
« Je travaille dans l’immeuble au coin de la rue! Et toi? »
« Je bosse dans ce bâtiment. Je suis déménageur ». En effet, je n’avais pas remarqué la combinaison bleu marine que Bénédicte portait. « Viens! Rentre! » Je suivis Bénédicte dans les couloirs. Il m’expliqua que ce rez-de-chaussée allait être transformé en cabinet d’avocats et c’est la compagnie où il travaille qui a trouvé le contrat pour y placer les meubles.
Nous arrivons dans un salle. Il y a de nombreuses boites ouvertes sur le sol, les étagères sont vides et le seul autre meuble à s’y trouver est un bureau. Bénédicte s’appuie sur le rebord du bureau et me donne face. « Depuis le temps que tu as envie de me sucer la queue, en voilà l’occasion ». Il descend la longue fermeture éclair qui lui va du cou jusqu’au pubis. Bénédicte s’appuie en arrière. Il me regarde. Il m’attend.
Mon rythme cardiaque s’est accéléré. A quelques pas de moi se trouve la queue que j’ai toujours eu envie de prendre en bouche afin d’en recueillir la semence toute fraîche. J’avale avec difficulté ma salive. Mes pieds tremblent. J’ai du mal à les lever. Et c’est avec beaucoup d’hésitation que je me dirige vers lui.
« Non! ». Sa voix grave m’arrête tout d’un coup. « Baisse ton pantalon. Je veux te voir me sucer le cul nu ». Je défais déjà le boucle de ma ceinture et mon pantalon tombe à ma cheville. « Putain! » s’écrit Bénédicte les yeux écarquillés. Il fixait mon entrejambe. « J’arrive pas à croire qu’il a réussi à te faire porter la cage de chasteté ». Depuis que je porte la cage, c’est la première fois que Bénédicte me voit avec elle. Timide, je porte les mains devant mon sexe tentant de le cacher. « Enlève les mains et vient me sucer salope ».
Je me mets sur mes genoux et avance vers Bénédicte jusqu’à arriver à hauteur de son entrejambe. Sa combinaison ouverte laisse entrevoir son torse légèrement poilu et son beau ventre plat. Pour avoir accès à son sexe viril je dois plonger la main dans la combinaison. Il ne porte pas de sous-vêtements. Mes doigts se referme sur un membre chaud et assez lourd. Je ressors son pénis qui commence à grossir. J’admire cette queue. Je la décalotte. J’expose son gland rose. Je me retiens pour ne pas me jeter sur sa verge. Je fais de léger aller retour sur sa queue qui commence à prendre du volume. Je lève les yeux vers Bénédicte comme pour attendre son accord. Il me fait oui de la tête et je le prends en bouche.
Son gland frotte contre ma langue et mon palais. Je suis le plus délicat que possible. J’ouvre bien la bouche; j’évite les dents. Et à chaque nouvelle entrée de sa bite dans ma bouche j’essaie de la faire entrer encore plus au fond. Mais je ne suis pas aussi doué que Yannick. J’ai été strictement actif pendant de nombreuses années. Yannick, versatil, me prend, mais rarement. La dernière fois que je me suis fait baiser remonte à cette fois dans l’atelier de dessin (texte 2). J’ai rarement l’occasion de prendre une queue en bouche. Enfin si, quand je nettoie la bite de Bénédicte maculée de sperme après qu’il est juté dans mon mec.
Aussi peu expérimenté que je suis, je prends soin de cette queue (qui a encore grossi entre mes mains) comme si ma vie en dépendait. Je m’applique. Je salive abondamment sans faire attention aux vêtements que je porte. Je suçote beaucoup le gland rose de Bénédicte. Je tente parfois de tout faire rentrer dans ma bouche mais impossible.
Bénédicte doit bien apprécier ce que je fais. Je l’entends gémir et je peux le voir jouer sa hanche sur la table. Il a enroulé ma cravate autour se sa main comme on enroule la leste d’un chien. Et son autre main derrière ma tête, il enfonce encore plus sa bite dans ma bouche. Je sens son gland frôler ma glotte et cela provoque en moi un haut le cœur. Je tousse et refoule mon envie de vomir. J’essaie de sortir la bite de Bénédicte de ma bouche mais il me tient la tête. Je sens que j’étouffe. Je tousse. Je crache. Mais je n’ose pas mordre. De la salive s’écoule en cascade le long de sa queue.
La pression sur ma tête se relâche. Bénédicte sort sa bite du fond de ma gorge et je respire de grands bols d’air. Ma respiration revient à peine à la normale que Bénédicte me repose la main sur la tête. Je l’entends ricaner tandis que je le reprends en bouche. Mais cette fois-ci je suis plus confiant et plus déterminé. Et quand son gland frotte encore une fois ma luette, je résiste. Il apprivoise ma gorge. Quand il retire le tout, c’est moi qui me jette sur sa queue pour y suçoter le gland. Et quand il me la met dans l’arrière gorge, je fais de mon mieux pour bien le contenir.
Nous progressons assez bien. Je sens les poils de son pubis venir me frotter le menton. Mais je sais que sa bite a encore du chemin à faire. Je salive abondamment et je sens ma chemise s’humidifier contre mon torse.
« Qu’est-ce que vous faites là? »
Je sursaute quand j’entends cette voix derrière moi. J’ai cru le rez-de-chaussée vide par ce que je n’avais ni vu ni entendu personne. Je retourne et je vois un autre mec dans l’encadrement de la porte. C’est un arabe, barbu et aux visages joufflu. Il fait dans les 1m80, il plutôt large avec un petit ventre. Il porte la même combinaison bleu-marine que Bénédicte.
Je m’apprêtais à me lever mais Bénédicte me retint par l’épaule. « Tu te souviens de la salope dont je te parle souvent ? » Bénédicte n’avait pas bougé. Il est resté zen comme si moi, le cul nu, a genou entre ses genoux, sa queue me remplissant la bouche, était une scène totalement normale .
« C’est lui? » demanda son collègue.
« Non. C’est son mec ». Bénédicte dirigea à nouveau ma tête vers son entrejambe et je poursuivis ma fellation. « Mohamed, je te présente Vincent. Il pourrait bien te répondre mais il a la bouche pleine en ce moment ».
« Et il suce bien? »
« Viens en juger par toi même ».
Mohamed se rapprocha de nous et se posa près de Bénédicte. Il descendit sa fermeture éclaire. Son torse et son ventre sont poilus. Il sort sa queue de sa combinaison et commence à l’astiquer devant moi. Je ne suis qu’à quelques centimètres, mais je sens l’odeur musqué qui émane de lui. Sa bite circoncise prend du volume rapidement et je suis étonné du résultat. Sa bite n’est certes pas aussi longue que celle se Bénédicte mais elle est encore plus épaisse.
Bénédicte se retire de ma bouche et cède la place à Mohamed. Une forte odeur d’urine me parvient à la narine. Je n’ai pas le temps de réagir que le gland Mohamed me traverse déjà la bouche. Je suce le rebeu du mieux que je peux. Je lutte contre toutes les odeurs fortes qui s’échappe de lui. La queue de Mohamed est beaucoup plus large que celle de Bénédicte, je dois ouvrir plus grand ma mâchoire. Mais comme elle est plus courte, c’est sans difficulté que mon visage se rapproche de son pubis.
Bénédicte se tient derrière moi et a déposé sa queue sur mon épaule. Sa main est toujours posée sur ma tête et accompagne mes mouvements d’aller et retour sur la bite de son ami. Après quelques minutes, il me tient fermement par les cheveux et me pousse vers Mohamed. La bite de Mohamed est bien au fond de ma gorge. J’ai le visage plaqué contre le ventre poilu Mohamed, ses grosses couilles sont contre mon menton.
Je n’ai aucune idée du temps que j’ai passé à sucer ces deux mecs. Ils changeaient de temps en temps de place dans ma bouche et quand je suçais l’un, je masturbais l’autre de ma main libre. J’avais mal au genou et à la mâchoire, mais je n’osais pas me plaindre. Je voulais à tout pris satisfaire ces deux hommes.
C’est Mohamed qui jouit le premier. Tandis que je suçais Bénédicte il réclama ma bouche. Les premières gouttes éclaboussèrent contre ma langue. Mohamed enfonça sa bite tout au fond de ma gorge et je sentis le sperme couler jusqu’à mon estomac. Il me fallu pas longtemps pour que Bénédicte lui aussi finisse par atteindre l’orgasme. Il avait bloqué ma tête contre son pubis et je sentis son pénis se contracter à plusieurs reprises dans ma bouche. J’avalai rapidement le sperme qui en sortait pour ne pas m’étouffer avec.
NOTE
Chers lecteurs,
Vous est-il arrive a vous aussi de porter une cage de chasteté en public?
N’hésitez pas à me laisser des retours et dites-moi quel tournant vous pensez que l’histoire pourrait prendre.
Rappelez-vous qu’il s’agit d’une fiction. Dans un couple toutes les décisions doivent être prises d’un commun accord.
Dej407
dej407@yahoo.com
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