François vient de fêter ses dix-huit ans, il a loué une chambre d’étudiant en ville,
François est un beau garçon aux cheveux noirs ébouriffés, aux yeux en amandes
et aux lèvres sensuelles. Le soir de son arrivée, un autre garçon de vingt ans est
arrivé dans la chambre voisine.
Dès qu’il l’a vu, c’est le coup de foudre ! François ne peut pas détacher son regard
du visage du garçon, de ses cheveux blonds foncés, de ses lèvres pleines, de ses yeux
rieurs.
La gorge sèche il s’est présenté : François. L’autre : Philippe.
Dans sa chambre, François ne pense qu’à son beau voisin, assis devant son bureau,
il bande dans son jean en évoquant le garçon, il se voit l’embrasser, lui ouvrir sa braguette,
branler sa bite qu’il suppose dure, François détache son jean, sort sa bite qui durcit, il ne
pense plus qu’à son voisin en faisant aller et venir lentement ses doigts, dégageant et
recouvrant son gland, il retire de son sac un fleshlight, son gland frôle délicieusement
l’entrée de l’objet, en soupirant de plaisir, il introduit toute sa bite, c’est drôlement bon !
Il imagine que c’est la bouche de son voisin Philippe, cela fait encore durcir sa bite, il se dit qu’il
va juter dans sa belle gueule…
Sentant monter son sperme, il se retire du fleshlight juste à temps pour éjaculer à grands
jets.
Pendant ce temps, Philippe dans la chambre voisine s’est couché sur son lit et enlevé son
jean, en slip, il pense à sa copine et bande en pensant à la dernière fois qu’ils ont fait l’amour.
Il ôte son slip dans son poing sa bite longue et dure et en pensant à sa copine, se branle en
haletant bruyamment, dans la chambre voisine, François perçoit ces halètements il rebande
dur en se disant que Philippe est en train de se branler, il fait la même chose et se branle en
même temps que son voisin, il entend un : – AAAAH OUIII ! Quand Philippe jouit sur ses draps.
François se branle à fond la caisse en entendant jouir Philippe, et son sperme gicle une nouvelle
fois, il pense » Philippe, je jute pour toi ! »
Le lendemain, sur le palier, Philippe dit à François : – Faisons connaissance, entrons dans ma chambre.
Philippe offre une bière à son voisin, ils parlent de leurs études et en arrivent à des conversations
plus personnelles. Philippe demande : – Je suis peut être indiscret, François, est-ce que tu te branles ?
– Oui, plusieurs fois par jour.
– Moi aussi, en pensant à ma copine… Et toi ?
Merde, pense François, il est hétéro, pas de chance !
Ils se taisent un instant, puis Philippe : – On se branle ?
François n’en croit pas ses oreilles, en entendant ça, il bande, et Philippe : – Je me suis branlé hier soir…
– Je sais, répond François, je t’ai entendu !
– Les murs sont en papier, ici ! Quand je jouis, je ne suis pas discret ! Et en m’entendant, tu as joui aussi ?
– Oui, c’était bon !
Philippe : – Viens avec moi sur mon lit, j’ai envie, pas toi ?
– Oh si ! j’en crève d’envie !
– Tu sais, je ne suis pas contre avec un garçon ! Tu es excitant, regardes, je bande.
Et Philippe cambre les reins pour montrer le tissu tendu de son jean en disant : – tu peux toucher !
Le cœur battant, François réalise son rêve, il ouvre la braguette du beau Philippe et saisit la longue bite
chaude de Philippe en disant : – Quelle bite tu as !
C’est parce que je m’en sers souvent ! Enlève ton jean et ton t-shirt, foutons-nous à poil, ce sera meilleur.
Ils sont nus sur le lit, bites raides.
Philippe : – Branle-moi !
François serre la belle bite chaude aux veines saillantes de Philippe, ah ! Sentir dans sa main la chaleur de
cette bite ! François bande comme un cerf en rut, Philippe soupire : – Vas-y, fais-moi jouir !
La main de Philippe serre la bite dure de François et va et vient, François : – Ouiiii ! H !… C’EST BON !
Philippe sourit : – H !...VAS Y PLUS VITE, JE VAIS… H !…
Vicieusement François ralentit, Philippe : – Vicieux ! Salaud ! J’allais juter !
Philippe, plus vicieux encore, saisit la bite brûlante de François et la pousse entre ses lèvres, François n’en
peut plus de lubricité, le beau Philippe suce sa bite et c’est délicieux ! Il dit : – OUH, PHILIPPE, JE… VAIS, H !
JE VIENS !
Un fleuve de sperme jaillit dans la bouche de Philippe qui à ce moment dans un AAAH ! Jute dans la main de
François qui délire de luxure.
Qu’est-ce que t’est bon, François, je n’ai jamais autant joui ! Dis Philippe.
François : – Même avec ta… ta copine ?
– Même, tu est terrible !
– Quand tu m’as sucé, je n’ai jamais juté autant
– Oui, j’ai eu du mal à avaler ton sperme…
– Qu’est-ce que c’est bon ! Je t’adore, on se revoit demain ?
– Tous les jours si tu veux !
– Je veux ! Réponds François.
Et ils s’endorment enlacés en respirant leurs odeurs de jeunes garçons couverts de sperme.
Frank
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