C'est l'été, Arnaud, beau garçon, 18 ans, il passe ses vacances chez son oncle fermier, Il fait chaud et sa mèche noire tombe sur ses yeux en amandes, heureusement il fait plus frais dans la grange, il y entre et s'assied sur le foin. Il rêve, pense à son copain Claude à qui il n'a jamais osé dire son désir pourtant formidable, cela tend son léger short, une protubérance s'allonge de plus en plus le long de sa cuisse bronzée.
- Je suis seul, se dit-il, pourquoi ne pas en profiter ?
D'autant plus que l'évocation de Claude allonge et durcit plus encore son épieu enfermé dans le short. Il effleure doucement son érection à travers le tissu, la pensée de Claude, de son visage attirant, de ses cuisses, fait faire un petit soubresaut à sa bite de plus en plus dure, il soupire en détachant sa braguette et en abaissant son short sur ses cuisses, aussitôt sa flèche se dresse fièrement, il la contemple et tant qu'il y est enlève son t-shirt, il s'étend dans le foin en caressant de ses doigts la peau douce de sa flèche, c'est délicieux ! Il va et vient lentement sur son épieu à présent arqué en arrière tant il est solide, il éprouve entre ses doigt cette rigidité : Ouaiiis ! C'est super dur ! Il commence à aller et venir de plus en plus précipitamment, il soupire de volupté. Comme il aimerait le faire à Claude !
Mais il ignore que, par la petite fenêtre, le fils de son oncle, Fred, splendide gars de 21 ans n'en perd pas une miette et se paie une formidable érection !
-Qu'il est beau, se dit il en contemplant ce bel homme nu se donnant du plaisir. Je parie qu'il se branle seul depuis des années, il me fait bander à mort !
N'y tenant plus, il entre dans la grange à pas de loup, Arnaud, tout à son affaire ne se rend compte de rien jusqu'à ce que Fred se dresse devant lui, son énorme bite dressée hors de sa braguette ! Rougissant, Arnaud tente de se rhabiller, trop tard, et ça ne rentre pas !
Fred sourit, le regard vicieux : - Tu te branles, cousin ? T"as une belle bite ! Je vais t'aider !
Arnaud, toujours la bite en l'air, ne peut détacher les yeux de celle de Fred, mais est très penaud d'avoir été surpris dans ses ardeurs. Fred ôte sa chemise et abaisse son jean, Arnaud ne s'avoue pas qu'il est super excité. Fred s'étend nu sur lui et l'embrasse sur la bouche en labourant son ventre de son énorme gourdin.
Au secours ! pense Arnaud, qu'est ce qu'il va me faire ? Mais il est ardent et sa bite est dure comme acier !
-Tu aimes ça, hein ! Je sens bien ta bite dure contre la mienne ! Fait Fred.
La langue chaude de Fred dans sa bouche, son corps torride sur le sien, Arnaud ne sait plus où il en est -Noon !...OUI ! Il s'avoue finalement qu'il adore ça !
Fred se redresse et présente son javelot devant les lèvres de sa victime de plus en plus consentante :-Suce-moi ! Et il force de son gland dilaté les lèvres d'Arnaud
Il s'enfonce, se retire, s'enfonce jusqu'à la garde en râlant de délice :
-MMMM ! Tu fais bien ça, petit salaud !
Le petit salaud, sentant ce piston qui va et vient dans sa bouche, bande de plus en plus dur ! Il voudrait bien jouir, il n'en peut plus ! Saisissant sa flèche bouillante dans son poing, il veut se faire jouir, Mais Fred se retire encore pour prendre entre ses lèvres le gland écarlate d'Arnaud qui se cambre, délirant de jouissance.
Sentant que sa victime va jouir, il se retire une fois de plus. Il tire de la poche de son jean jeté près d'eux une capote qu'il enfile rapidement :
-Soulève tes cuisses !
-Pourquoi ?
-Tu vas voir !
Et il s'introduit lentement en Arnaud qui pousse un râle de jouissance Fred va et vient fougueusement en branlant Arnaud qui rejette la tête en arrière dans le foin, fou de plaisir. En enserrant de ses cuisses le corps superbe de Fred.
-HA ! HA ! Tu aimes, gamin !
Le gamin se cambre, s'agite, transpire sous les coups de boutoir de Fred, ne pense plus qu'à son cul et sa bite prête à éclater.
Sentant monter son sperme, Fred se retire et arrache la capote, à califourchon sur Arnaud, il branle à tout vitesse sa sagaie sur le visage d'Arnaud :
-Je vais te juter à la gueule ! Et de l'autre main, il branle furieusement le pal d'Arnaud.
- Caresse-moi les cuisses, OUI, Bien ! C'est booooon ! Ils frémissent, palpitent, vibrent tout entiers, et...
-JE...JE VAIS JOUIR ! Crie Fred.
-MOI...MOI AUSSI ! CONTINUE ! BR......BRANLE MOI, JE PLUS FORT ! H ! JE JUUUUTE ! AAH ! TOUTE LA SAUCE !
Dans un spasme, Arnaud lance un énorme jet, puis deux, trois, d'une fantastique vigueur, tandis que Fred halète et crie à son tour :
-Salaud de gamin ! H ! HH ! QU'EST-CE QUE T'ES BON TOI ! PRENDS CA ! Et de sa bite gigantesque jaillit un long jet qui s'écrase sur le visage du gamin, puis un autre, la bouche d'Arnaud dégouline, il trouve ça super ! Leurs corps enduits de leurs spermes se détendent.
-C'était bon ? Demande Fred.
-SUPER !
-Mieux que tout seul, hein !
-Tu parles ! Tu reviens demain ?
-T'en veux encore, petit dégoûtant !
Frank
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