Je n'avais jamais nagé nu. Je découvrais ce plaisir qui m'apparut comme une véritable révélation ! La caresse du courant sur tout mon corps me fut une véritable bénédiction ! C'était une pure jouissance.
Je nageais tranquillement, m'offrant à la caresse de l'eau.
Je remarquai alors qu'un vacancier qui se baignait à quelques mètres s'était rapproché de moi, me regardant avec force sourires.
Sourires auxquels je répondais pensant, amusé, que j'avais fait une touche,
Le type devait avoir dans les soixante ans, âge des mecs qui m'attiraient le plus, légèrement dégarni, il était grisonnant avec un visage plein à l'expression avenante. Il était de taille moyenne et assez trapu.
Évidemment, après le traditionnel: « Elle est bonne,hein… ? », la conversation s'engagea et il me fit rire avec deux ou trois remarques amusantes… cet homme, s'il était d'une compagnie plutôt agréable, me draguait ouvertement, ce qui n'était pas fait pour me déplaire…
De l'eau à la ceinture, je revenais en marchant m'aspergeant le visage de cette eau bienfaisante, le type, tout naturellement, remontant vers la plage à mes côtés, continuait à badiner… Alors qu'une vague nous éclaboussait, nous découvrant jusqu'à mi-cuisse, mon regard fut attiré par son entre jambes : mon compagnon de bain était membré comme un étalon, le mandrin qui ballotait entre ses cuisses était impressionnant, tant par sa longueur que par son épaisseur..!
Nous sortîmes de l'eau, je ne pouvais détacher mon regard de sa magnifique bite et sentis que je commençais à bander…
Il s'en aperçut :
— C'est moi qui te fais de l'effet comme ça ?
Il me regardait avec un air goguenard… je le regardai en souriant et baissai le regard sur sa belle bite.
— Elle te fait envie… ?
Je détournai le regard et dans un murmure:
— Oui… Très !
Je m'étais assis dans l'eau pour cacher mon trouble. Avec un rire, il s'assit tout près de moi à me toucher
— Confidence pour confidence, je dois avouer que tu me plais, tu as d'ailleurs bien vu que j'ai tout fait pour que tu t'en aperçoives… tu me plais même beaucoup et j'ai très envie de te dire deux mots en particulier, ma petite chatte…
Il se pencha et embrassa mon épaule .
Je jetai un regard inquiet autour de nous.
— Il y a plein de gens… !
— On s'en fout des gens. Embrasse moi !
Alors que j'hésitai :
— Embrasse moi, je te dis !
Je tournai la tête, docile, et acceptai son baiser, le laissant fouiller ma bouche de sa langue.
— Tu me fais bander, petite salope!
Effectivement son lourd mandrin commençait à se dresser, impressionnant.
— Tu vas prendre ta serviette et m'attendre en haut de la dune… je te rejoins tout de suite.
Le ton était sans appel et comme je n'attendais que cela, je m'exécutai, le coeur battant.
Cinq minutes plus tard, il me rejoignait.
Nous traversâmes la dune blanche, nous arrêtant à plusieurs reprises pour nous embrasser et nous caresser.
— Oh ! T'as un cul ma petite chérie, Un vrai bonheur !
Allons jusqu'à la lette[note= dernier cordon de dune avant la lisière forestière,]. Il y pousse des buissons qui pourront nous abriter, même si je ne déteste pas parfois quelques spectateurs… Tu t'es déjà fait mater entrain de baiser ?
— Non, jamais…
—Aah ! Il faudra que je te fasse découvrir ça… Tu habites loin ?
— Non, Bordeaux
— Moi aussi. On va pouvoir se revoir, si ça matche entre nous…
Il avisa un massif de genêts et après un coup d'œil circulaire, étala sa serviette sur le sable, puis me prenant dans ses bras, se mit à m'embrasser alors que fou d'excitation, je sentais son souffle s'emballer, sa grosse bite dressée chaude et dure contre ma cuisse.
Interrompant notre rituel liminaire, je me laissai tomber dans le sable à genoux et assis sur mes talons, baissai la tête dans une posture de soumission. Il fut sur moi. Son énorme queue ballottant devant mes yeux orgueilleusement dressée… Posant une main sur ma tête il m'obligea à la lever. Je croisai son regard où je lus une intense jubilation.
Il hocha imperceptiblement la tête.
Je me mis à caresser le ventre proéminent sous lequel se dressait la lourde massue de chair maintenant complètement turgide, et l'embrassai en éprouvant la puissance.
Alors que je caressai les lourds testicules, je branlais à gestes lents l'épaisse hampe et couvrais de baisers l'impressionnante cabochon de chair du gland que je me mis à lécher. Tremblant d' excitation, alors que je continuais à le branler, je dirigeai le gros gland gorgé de sève vers ma bouche. Lèvres distendues je le pris, étonné par sa grosseur et commençai des mouvements de succion. Son goût musqué me surprit, mais je l'associai si intimement à la volupté de m'approprier la puissance de l'impressionnant mandrin que celle-ci m'enivra au plus haut point. Mon baiseur gardant sa main sur ma tête, jambes fléchies, à lents mouvements de son bassin baisait ma bouche de son puissant chibre me faisant gémir de plaisir.
Je le sentis émettre une giclée de pré-sperme dont le goût âpre m'enivra. Ma salive s'échappait des commissures de mes lèvres, ruisselait sur la hampe noueuse, sur mes mains et ses lourdes couilles taurines que je pétrissais, démultipliant mes sensations érotiques.
Mon amant se dégagea et fléchissant ses jambes se pencha sur moi. Je me tenais face à lui à genoux sur mes jambes écartés, caressant sa poitrine et son ventre velus. Une main sur ma nuque, il s'inclina sur mon visage qu'il se mit à lécher d'une langue gourmande et, quand je la sentis effleurer mes lèvres je les écartai m'offrant à un baiser qui me subjugua. Il se mit à fouailler ma bouche, l'inondant de sa salive dont je m'abreuvai avec délices, je me mis à gémir, dans une supplique pour que ne cesse le troublant baiser qui me tordait dans une volupté proche de l' orgasme.
— Viens petit pédé ! Tourne toi, que je goûte à ta jolie petite rosette!
Passant derrière moi, du geste il me fit mettre à quatre pattes et posant une main sur mes reins, me fit écarter mes lobes fessiers et découvrant ma rosette, l'embrassa, y plongea sa langue gourmande. Je relevai ma croupe et écartai mes fesses pour mieux m'offrir à la caresse affolante. Il me gamahucha un long moment, y prenant manifestement du plaisir. Plongeant sa langue au plus profond de mon antre, il me fit atteindre des sommets de jouissance que je manifestais par des gémissements et des râles ininterrompus.
— Embrasse moi, salope !
Il revint vers ma bouche qu'il prit à nouveau dans un puissant baiser et dirigea ma main vers son bel engin. Je l'empoignai et recommençai à le branler doucement, éprouvant la grosseur et la lourdeur. J'étais de plus en plus troublé par l'impression de puissance redoutable qu'il dégageait. J'avais du mal à maîtriser mon souffle tant l'émotion m'étreignait… je redoutai l'instant où il me faudrait affronter la monstrueuse mentule et en même temps, tout mon corps l'implorait.
Puis mon vieux galant s'allongea sur sa serviette et du geste, me fit basculer sur lui tête bêche, il me fit écarter les jambes et me cambrer. Écartant mes fesses, il m'embrassa à nouveau de son indécent baiser, fouaillant ma rosette d'une langue tyrannique pendant que je branlais et pompais son membre.
Puis, me retournant, il prit à nouveau ma bouche dans un long baiser avide et dirigea ma main vers sa belle bite. Je l'empoignai et me remis à la branler doucement, éprouvant sa grosseur et sa lourdeur. J'étais toujours aussi troublé par l'impression de puissance redoutable qu'elle dégageait. J'avais du mal à maîtriser mon souffle tant l'émotion m'étreignait… je redoutai l'instant où il me faudrait affronter la monstrueuse mentule et en même temps, tout mon corps l'implorait.
Il me retourna d'un geste et d'une poigne ferme me fit creuser les reins… le cœur battant je m'apprêtais au sacrifice.
— Oui ! Oui ! Chéri… ! Prends moi !
— Oui, je vais t'enculer ma salope ! … Viens ! Amène ton petit trou du cul que je te le baise !
Y crachant plusieurs fois, il lubrifia mon anneau sur lequel je sentis couler avec délices l'épais liquide visqueux, puis me faisant éprouver la puissance de son vit y aboucha le monstrueux gland et d'un autre jet de pré-sperme que je ressentis comme une éjaculation en lubrifia mon fourreau. Me maintenant la taille d'une main, il avait saisi la hampe de son monstrueux gourdin et aboucha l'énorme gland à ma rosette. Il poussa légèrement pour ajuster son pieu de chair à mon anneau et me reprit, encerclant ma taille de ses mains, m'attirant lentement à lui d'une poigne irrésistible. Le formidable vit, distendant mon armille, commença à s'enfoncer dans mon antre, m'arrachant les gémissements d'une exquise douleur, me procurant un plaisir inouï.
De sa poigne que l'excitation crispait, il m'attira à lui… je sentis, alors une onde puissante irradier mon fondement alors que son vit faisant céder un à un les anneaux de mes sphincters s'enfonça dans les profondeurs interdites de mes entrailles. Cherchant à accentuer encore l'enivrante sensation, j'eus un mouvement lascif des fesses, qui m'empalant un peu plus sur son pal, me fit pousser un cri de volupté.
Je sentis le chibre refluer lentement pour s'enfoncer à nouveau, plus fort encore dans mon étroit fourreau, puis, à nouveau, encore, et encore, me faisant haleter et gémir sous sa loi. J'étais submergé par les vagues d'un plaisir cataclysmique qui me faisaient crier.
— Tu jouis, hein, petit pédé !
A une onde de jouissance en succédait une autre, me jetant dans un vertige qui me laissait pantelant, mon baiseur avec des grognement lascifs continuait, imperturbable, à me baiser, me faisant éprouver les sensations d'une indicible volupté.
Il s'arrêta, me laissant haletant de tension érotique puis me prenant par les épaules, me tira en arrière, m'obligeant à me redresser et me saisissant le visage, me tourna vers lui, et m'embrassa avec avidité, fouaillant ma bouche de son épaisse langue, aspirant ma salive… et recommençant à bouger son bassin, il se mit à imprimer de lents mouvements à sa formidable queue me faisant éprouver, un plaisir incroyable.
Mon vainqueur ressortit son lourd mandrin, me saisit alors, avec une facilité déconcertante pour un homme de sa taille et m'enleva dans ses bras, me prenant sous les cuisses dans ses mains, il écarta mes jambes et me présenta au-dessus de sa bite
Je lançai une main entre mes jambes et me saisissant de son énorme queue en abouchai le gland à mon armille. Il me laissa alors lentement glisser, m' empalant sur son vit prodigieux. Le dos appuyé contre sa poitrine, je lançai mon bras en arrière et agrippai sa nuque, je tournai mon visage vers lui et l'embrassai lui balbutiant des mots de gratitude et de tendresse…il se mit à me lécher le visage, puis prit abouche dans un de ses bouleversants baisers décuplant ma volupté.
— Oh ! T'es bonne salope !
Après qu'il m'eût baisé ainsi un long moment, encore haletant de tension érotique, il me fit m'allonger sur le dos et agenouillé face à moi, son monstrueux mandrin dressé, il releva mes jambes et les écarta, découvrant mon anneau. Le cœur battant la chamade, je le regardai, oppressé, les relever et les écarter et plaçant ma cheville droite sur son épaule velue, il empoigna son énorme chibre dont il vint aboucher le gros gland palpitant à ma ventouse.
Les mains à mes jarrets, mon amant m'écartait les cuisses tout en me relevant le bassin, je le sentis commencer à pousser doucement sur son terrible pal dont la volumineuse tête butait sur sur mon anneau.
Il commença alors à donner de lents et puissants coups de reins, me relevant un peu plus la croupe. La monstrueuse massue commença à me pénétrer, distendant peu à peu mes sphincters. Sentant cette résistance, il accentua sa poussée, faisant pulser dans mon fondement une onde de plaisir violent Angoissé, je regardai mon baiseur qui fixait un regard âpre sur la progression de son terrible phallus. Il leva les yeux et me fixant d'un regard farouche où je voyais un sourire donna un long coup de reins.
— Tiens, petite pute, tiens… !
Je sentis sa mentule me pénétrer avec une puissance incroyable, m'écartelant, me pénétrant lisse chaude et lourde jusqu'au tréfonds. Je me sentais envahi par une fièvre lubrique, plus rien ne comptait qu'être possédé totalement par le merveilleux phallus de mon amant. Je me serrai contre lui comme pour me faire pénétrer encore davantage. Je jouissais intensément!
— Oh ! Oui…oui chéri… !
— Oui, petite pute! Tu m'aimes, hein?
Lentement, pesamment, il me besognait,ressortant presque entièrement son gros chibre, pour l'enfoncer à nouveau à longs bruits mouillés, recommençant, encore et encore, me faisant gémir et râler lui balbutiant suppliques obscènes et mots d'amour.
Il me baisa pendant plusieurs minutes, variant les rythmes et l'intensité de ses coups de boutoir pendant lesquelles, je passai par tous les états, gémissant, râlant, hurlant ma jouissance. Je tremblais, agité de spasmes et de convulsions ; J'étais comme un patin désarticulé entre ses mains. Je me sentais emporté par un maelstrom de sensations auquel je ne pouvais résister.
— Oui! Oui! Viens …Prends moi, chéri… Oh! Viens!
— Oui, traînée… donne ton cul !
Il me besognait enfonçant son chibre dans mon fourreau à longs bruits liquides . Mes sphincters distendus par l'énorme monstre pulsait des ondes d'une ind icible volupté à chaque mouvement de mon bourreau. Je gémissais, d'un incroyable plaisir caressant le ventre, les hanches de mon tortionnaire.
J'enserrais sa taille de mes jambes, l'attirant, l'invitant à venir en moi, plus encore. Ses assauts se firent plus rudes, il avait maintenant des ahanements violents qui allaient crescendo.
Mes gémissements devinrent des râles alors que son énorme bite me pénétrait toute entière,
Sur une nouvelle poussée, il s'enfonça d'un coup, et écartelant ma rosette, y enfonçant son gros épieu jusqu'aux couilles, il éjacula, pulsant à longs jets spasmodiques tout son sperme au tréfonds de mon ventre.
Dans une déflagration de jouissance je fus balayé par une déferlante à l'apex de mon plaisir. La sensation des jets de semence, qui jaillissaient en moi, me provoquèrent un tel choc, que je restai tétanisé dans un paroxysme de volupté absolue et éjaculai à mon tour, me sentant défaillir…
Mon vainqueur avec de lents mouvements lascifs, achevait sa jouissance, me faisant encore gémir.
Il me tenait enlacé et m'entraînant avec lui, roula sur le dos,sa merveilleuse bite toujours plantée en moi.. je me laissai aller contre lui, lové sur sa poitrine, repu de stupre. J'embrassai son visage alors qu' il me léchait, cherchant ma bouche que je lui tendis.
Il n'en n'avait pas fini avec moi, et ce, pour mon plus grand plaisir… dès que je fus reposé, il se remit à me caresser me chuchotant ces mots qui me subjuguaient, et se remit à chercher ma bouche pour un de ses affolants baisers, alors que je sentais contre mon ventre se dresser sa merveilleuse bite.
Il me baisa encore deux fois, me laissant pantelant, recru de plaisir et de stupre.
Nous étions allongés l'un contre l'autre, prolongeant ces instants de folie érotique, nous caressant , nous murmurant des mots crus et délicieux.
— J'ai adoré te baiser ton petit cul, ma salope ! C'était divin!
— Vous m'avez incroyablement fait jouir, chéri…
A un moment:
— Dis moi, ma chatte, t'es -tu déjà fait fister ?
Il avait dit cela avec un air détaché mais je le sentais à l'affût de ma réaction.
— Non, jamais…
Le coeur battant, j'attendais la question qui ne manqua pas de tomber.
— Tu n'y as jamais pensé…? Aimerais-tu essayer ?
— Ça me tente, mais ça me fait tellement peur.
— Il faut que ce soit quelqu'un qui sache s'y prendre qui te le fasse, surtout pour la première fois…et avec moi, tu as affaire à un expert, tu sais, Et puis, ça me ferait tellement plaisir de dépuceler ton petit cul, ce serait en quelque sorte m'offrir un peu de ta virginté ! Qu'en dis-tu? Si tu veux, on va chez moi…
Il laissa un silence. Alors que je restai un moment songeur, sachant que j'avais déjà accepté…
— Allons, laisse toi tenter, ma chérie. Je vais te faire découvrir des sensations incroyables…
— Oh, chéri, ça me tente terriblement ! Et j'ai tant envie que ce soit vous…! !
Cela valait pour accord. Il m'embrassa.
— Alors, viens,… on va chez moi. Je vais te faire jouir comme une folle, petite salope…!
Mick33
suzieq.354@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :