Michel a invité François après l’école, ils viennent d’avoir dix-huit ans, dans le living de Michel, beau garçon aux cheveux bouclés s’assied sur le canapé près de son copain, un garçon blond bronzé, ils parlent du cours d’histoire qu’ils viennent de quitter. François ignore que Michel est attiré par lui depuis longtemps, Michel se décide enfin à tenter une approche, il pose sa main sur la braguette de François qui se recule, mais Michel, décidé, s’approche et insiste, ses doigts ouvrent doucement la fermeture éclair et introduit sa main dans le pantalon de son copain qui lui dit :
– Arrête, qu’est ce que tu fais ?
N’écoutant que son courage et son désir, Michel lui répond :
– J’ai envie, tu me fais bander !
– Vla aut’chose, rigole François.
Michel insiste en caressant d’un doigt le slip de François il lui murmure à l’oreille :
– François, tu ne te branles jamais ?
– Retire ta main, Oui, je me branle depuis des années, depuis que j’étais gamin.
– Et tu aimais ça, je parie !
– Oui au début, mais retire ta main, arrête de toucher ma bite ! Oui, au début quand je bandais, je branlais ma bite à travers mon pyjama, c’était chaud, je ne pouvais plus m’arrêter, c’était divin ! Merde retire ta main, tu vas me faire bander ! Bon, c’était tellement bon que plus tard j’ôtais mon pyjama pour serrer directement ma bite c’était meilleur, et là je me branlais tous les soirs. C’était super et très discret, mes draps étaient propres, mais un soir, au moment où de jouissais, il est sorti un liquide blanc qui a éclaboussé mes draps, inquiet j’en ai parlé à un copain plus âgé qui m’a dit de ne pas me tracasser, « Je jute quand je jouis, c’est normal et encore meilleur » depuis je me branle tous les jours, mes draps sont pleins de jus, et je baigne dans mon jus !… Bon, t’as retiré ta main, mais maintenant en te racontant tout ça, je bande !
– Je bande aussi, tu peux voir !
Et Michel montre son jean tendu par une longue barre en disant :
– Tu n’as pas envie de te branler ?
– Maintenant que tu le dis, j’ai envie, je bande dur.
– On se branle ensemble ? Prends ma bite, elle est bien dure, hein ? On va vérifier ce que t’a dit ton copain, on va se faire juter !
Ils enlèvent rapidement leurs pantalons et Michel caresse le slip de François que tend une bite raide.
– Sens ma bite, lui dit Michel avec des yeux vicieux. Fais-moi jouir !
François abaisse le slip de son copain, une bite raide en jaillit arquée jusqu’à son nombril que François saisit dans son poing, provoquant un soupir de plaisir de Michel qui fait :
– Oui, vas-y, branle-moi, fais-moi des choses excitantes ! Regarde, je vais te sucer la bite ! Branle-moi en même temps, ça va être super bon !
Michel mordille la hampe raide de François, ses lèvres remontent vers son gland, François pousse des petits cris de volupté :
– Oh, que c’est bon ! continue !
François, d’un coup de reins pousse sa bite dans la bouche de Michel et la sort et entre en mouvements saccadés de plus en plus rapides, Michel bande comme un fou en sentant dans sa bouche aller et venir la bite dure de son copain qui halète et murmure :
– Ah que c’est bon ! Je vais… je vais jouir !
Michel qui veut faire durer le plaisir saisit l’épieu de son copain, se lève et se couche sur François, l’embrasse, leurs bites en contact entre leurs ventres se frottent délicieusement l’une sur l’autre, ils donnent des coups de reins pour accentuer le plaisir, tout en embrassant son copain, Michel saisit ensemble leurs deux hampes, les serre l’une sur l’autre et les branle ensemble, leurs glands se gonflent, François dit :
– Ouaiis, branle plus fort, ouais, plus vite, je sens ta bite chaude qui va juter, et moi… OUAIIIIS ! JE… JE VIENS !
Le sperme gicle du gland de François, aussitôt suivi de l’énorme éjaculation de Michel dont le sperme se mêle à celui de son copain, épuisés de tant de jouissances, ils s’enlacent couverts de sperme et agités de spasmes.
– T’as bien fait d’ouvrir mon jean, je n’aurais jamais osé avec toi, c’était super délicieux… On recommence demain ?
Frank
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