(histoire authentique)
Lorsque j’étais étudiant j’avais des copains de mon âge, autour de vingt ans, avec lesquels j’avais des privautés. Depuis je suis arrivé à une petite cinquantaine et je n’ai plus personne, je suis en manque! Je cherche dans Un journal une annonce gay, ce jour là, je vois une petite annonce «Jeune homme 19 ans cherche un homme d’âge mûr» suit une adresse. Méfiant, il s’agit sans doute d’un prostitué ou d’un garçon très moche en manque,de plus, les garçons de cet âge préfèrent les garçons de leur âge, mais après avoir hésité, j’écris et quelques jours plus tard, je reçois une petite lettre:»Je m’appelle Phil, j’aimerais te rencontrer, je ne suis pas mal foutu, tu ne regretteras pas avec moi. «
Comme il habite un village voisin, je lui donne rendez vous à la terrasse du café de mon patelin, sans illusion.
A la terrasse je l’attends et je vois arriver un grand garçon souriant aux cheveux châtains, visage fin, une fossette
sur la joue quand il sourit, plutôt charmant, me dis je. Il s’assied en face de moi, je lui offre un verre et en sirotant nos bières, nous parlons de tout et de rien , il est timide et nous ne parlons pas de sexe, il me regarde, souriant et je me dis qu’il n’est pas mal du tout! Enfin, il me dit:-Je vais rentrer ,viens chez moi un de ces jours si tu veux.
Nous fixons un après midi chez lui et nous nous quittons.
Phil m’accueille gentiment, m’offre un café, assis à sa table et pour vaincre sa timidité, je lui dis:-Tu sais, tu n’est pas mal du tout!
-Tu crois qu’on pourrait se revoir? Répond il.
Je lui prends la main en souriant:Oui. A ce moment la glace est rompue nous nous asseyons dans son canapé côte à côte, je l’enlace et il pose sa tête contre la mienne, il m’embrasse sur la joue, puis sur la bouche, il commence à s’exciter: sa langue chaude mêlée à la mienne m’excite aussi, je commence à bander je caresse sa cuisse , il soupire et, en remontant ma main le long de sa jambe , je sens une longue protubérance: il bande. Il se lève en disant:-Allons dans ma chambre.
Dans sa chambre il se colle sur moi en m’embrassant, notre désir est palpable, il détache son pantalon, il porte un caleçon américain dont une jambe est soulevée par une barre longue et dure qui retrousse le tissu de cette jambe, je bande à mort en saisissant cette flèche dure, en riant, il ôte sa chemise et détache mon jean qui tombe sur mes chevilles.
Mon épieu dépasse de mon slip, il le prend dans sa main qui commence à aller et venir lentement , c’est délicieux, il va me branler,mes doigts vont et viennent le long de sa bite chaude qui durcit plus encore, en m’entraînant sur son lit, il murmure:
-On y va? J’enlève mon t-shirt et me couche sur lui qui soupire:-Viens!
Bouche contre bouche, enlacés, nos bites se frottent l’une sur l’autre, nos corps se cambrent accentuant le contact de nos glands, il transpire, je respire son odeur de jeune garçon excité. Nous nous frottons l’un sur l’autre en haletant , il murmure:-Oh oui! Viens, fais moi jouir!C’est bon!
Nous mêlons nos cuisses,nos corps sont brûlants, nos mains vont et viennent sur nos bites raides,nous allons
juter!Nos mains accélèrent leurs va et vient, nous n’en pouvons plus de lubricité.
Dans un râle de plaisir, de nos bites jaillissent des jets puissants qui éclaboussent nos corps en sueur.
Il m’embrasse encore et me dit:-Reste jusque demain, on recommencera cette nuit.
Mais je dois rentrer, je lui dis, il est déçu, je lui dis qu’il peut venir chez moi quand il veut, il me répond qu’il viendra demain et s’en réjouit.
Le lendemain, je le vois arriver dans sa petite voiture, il me fait la bise puis m’embrasse fougueusement sur la bouche, il reste debout, plein de désir, ce voyant, je lui dis:-Montons dans ma chambre.
Là, il ôte son pantalon, il porte cette fois un petit slip noir qui montre une grosse bosse , témoin de son désir.
Je caresse la bosse dans son slip ,il sourit en enlevant sa chemise, j’enlève mon t-shirt et mon jean, j’ai aussi
une énorme bosse dans mon slip, l’un devant l’autre, nos mains tâtent nos slips, il souffle:-C’est bon!
Nous nous couchons dans mon lit en enlevant nos slips, nos bites se dressent raides, il prend la mienne, moi la sienne et nous commençons à nous branler mutuellement il soupire:-Je suis chaud, allons y!
Nos mains vont et viennent lentement puis de plus en plus vite, Phil transpire et halète:-H!...C’est bon!
Il se lève et se met à califourchon sur moi, Jambes écartées, il se dresse au dessus de mon visage , je vois son sourire vicieux et surtout son pal raide qu’il branle en haletant. Je bande à mort! Avec un regard vicieux,il
s’assied sur ma raideur, ma bite raide le pénètre, c’est chaud, instinctivement je cambre les reins , je vais et je viens dans sa chaleur, je sens monter mon sperme, à ce moment, Phil accélère sa masturbation au dessus de
mon visage, il est beau quand il jouit et dans un halètement, de sa bite giclent un, deux, trois jets de sperme
qui éclaboussent mes cheveux, mes yeux, ma bouche ,je passe ma langue sur ce flot de sperme chaud, d’un coup de reins, mon épieu va et vient à fond la caisse dans le cul de Phil et je jouis comme jamais!
En sueur , encore agités de spasmes délicieux, couverts de sperme, il sourit et me demande une serviette pour
nous essuier, Le lui donne la serviette que j’avais prévue et en nous embrassant nous essuyons nos corps.
Pus tard, Phil est rentré chez lui et je pense à cet après midi, je me recouche sur mon lit , bite raide en pensant à
la bite de Phil et je me branle et je jute sur les draps. Phil m’a dit qu’il reviendra bientôt , je bande en y pensant.
Un autre jour, comme promis, il revient chez moi, il s’assied à ma table, je lui offre un verre et passant derrière lui, je caresse son visage et l’embrasse sur la joue, ma bouche se dirige vers la sienne, il se détourne! Qu’est ce qu’il lui prend? J’insiste, j’ai envie de lui et je mets une main sur sa cuisse. Il me dit:-J’ai pas envie aujourd’hui.
Déçu, ma main insiste sur sa cuisse, je l’embrasse dans le cou, je sens sur ma main qu’il commence à bander.
Ma main va et vient sur son érection, il soupire:-Tu me fais bander, on monte dans ta chambre?
Enfin! Dans ma chambre nous nous déshabillons rapidement et , bites en avant, nous nous couchons sur mon lit.
Nu, il s’offre maintenant à moi, m’embrasse fougueusement et branle ma bite dure comme acier, la sienne se gonfle, il me dit:-Branle moi à fond!Oui, plus viiite, plus fort, ah que c’est booon!
Cette masturbation mutuelle dure un long moment ponctué par nos halètements et nos soupirs de plaisir et , en même temps, de sa bite et de la mienne giclent des tonnes de sperme.
Je lui dis:-Eh ben,qu’est ce que t’as juté! Tout à l’heure tu n’avais pas envie!
-Non, mais je ne me suis plus branlé depuis deux jours…
-Moi, je me branle tous les soirs en pensant à toi! Dis je.
-Je fais pareil très souvent, mais c’est meilleur à deux!
Nous nous sommes revus régulièrement pendant des années, puis nous nous sommes perdus de vue, mais Phil reste un de mes meilleurs souvenirs.
Frank
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