Informé de l’existence du massage tantrique par ma sœur, adepte de cette façon de se relaxer pour oublier sa fonction de cadre, j’avais, moi aussi, envie de tester ce type de massage. Quelques recherches entreprises sur le Net ont été rapides pour me trouver des contacts utiles. Parmi ceux-ci l’un d’entre eux a retenu mon attention pour le nom oriental du masseur. Depuis mes premiers voyages en Orient je suis devenu passionné par ce mode de vie riche en parfums, tenues amples. Un simple sms m’a permis de prendre rendez-vous chez Ahmed pour ce soir. Excité durant toute la journée, le moment est enfin venu de me rendre au rendez-vous. A peine revenu du boulot je prends une longue douche chaude avec un gel douche aux huiles. Un coup de rasoir d’entretien me permet d’avoir le corps bien lisse dont ce pubis qui fait ma fierté, doux et lisse comme ma queue et mes bourses. Un coup de rasoir entre mes fesses me permet d’avoir la raie bien bette, douce et sans obstacl
e pour mon œillet. J’enfile un pantalon de toile blanc, sans slip. Une habitude prise depuis mes expériences habituelles dans le métro quand des frotteurs aiment me caresser le cul et la verge. Sans slip l’impression est bien plus érotique. Seul souci la trace visible de sperme sur le devant de mon pantalon.
Rejoindre Ahmed me conduit dans un quartier plutôt oriental et beaucoup de visages se tournent vers moi dans la rue. Pas par agressivité mais plutôt, du moins je le pense, par curiosité voir désir pour ma peau très blanche. Qui excite beaucoup mes amants africains. Arrivé devant l’adresse donnée par Ahmed, je sonne avec ce mélange de curiosité et d’excitation à l’esprit. La maison est assez vieille mais qu’importe. J’entends des pas dans le couloir, la porte s’ouvre. Un homme dans la soixantaine d’années ou plus peut-être me salue avec un sourire. Un joli visage typiquement arabe entouré par une longue barbe grise. L’homme est en djellaba et apparemment sans rien dessous au vu de la bosse entre les jambes. « Entre Damien, bienvenu chez moi. Chez toi » me dit Ahmed tout en posant sa main sur mon épaule pour m’inciter à entrer. Des conversations bruyantes se font entendre dans l’immeuble. Ahmed ouvre une porte du rez-de-chaussée pour me faire entr
er dans une pièce chaude et éclairée par des bougies réparties partout. L’atmosphère est agréable avec cette odeur de parfum oriental. Au milieu un matelas est posé avec, dessus, une large serviette rouge. La séance réglée, Ahmed m’invite à le rejoindre au cœur de la pièce pour boire une tasse de thé. Sur les meubles des bibelots sont placés, dont certains attirent mon attention, comme des godes ou des sexes humains apparemment conservés par plastification. « Ah tu admires ma collection ? Belle non. Oui ce sont des sexes humains de tous les âges, achetés lors d’un séjour en Afghanistan. J’ignore d’où ils viennent et je préfère ne pas le savoir » me dit Ahmed dans un rire qui me glace un peu les sangs. « Bon, nous allons commencer, déshabille-toi. Complètement » ordonne Ahmed, tout en procédant de même. D’un geste, son djellaba tombe au sol dévoilant un corps bien fait, très poilu partout, de blanc et de gris. Mes yeux louchent sur son sexe
épais, pas long mais bien doté avec ce gros gland. En quelques minutes je suis nu moi aussi. Et ce qu’il voit semble séduire Ahmed, avec mon corps nu, fin et lisse partout. Je n’ai jamais été viril et malgré ma trentaine d’années je n’arrive pas à gagner en maturité. « Couche-toi sur le ventre sur le matelas. » J’obéis à Ahmed et je me couche en ouvrant mes jambes pour qu’il puisse passer de l’huile partout. Ses mains douces passent partout sur mon corps, le geste est divin et coquin quand je sens un doigt frotter mon œillet puis le pénétrer. Ahmed voit rapidement qu’il a été bien utilisé face à cette absence de résistance des muscles de l’anus. Soudain Ahmed se couche sur moi pour me masser par frottement. Sa barbe dabs mon dos, ma nuque me chatouille délicieusement. Sa queue se frotte contre mes fesses et se glisse sans prévenir dans la raie. « Tu aimes ? » me demande Ahmed. « Oui, j’adore cela. Je sens mes sens s’éveiller. » Ma r
éponse l’encourage à poursuivre les frottements contre mon corps. Le sien glisse par l’effet de l’huile sur ma peau. Ahmed se pose sur mon dos et ses mains entoure mon visage pour le tourner vers lui. Son visage s’approche et m’embrasse, me forçant à ouvrir la bouche pour permettre à sa langue de s’enrouler autour de la mienne. Pendant qu’il m’embrasse, ses mains se glissent sous moi et me massent les seins. Des seins en forme d’œufs sur le plat, bien excitants quand je me déguise en femme pour certains vieux amants.
« Bon, retourne-toi sur le dos maintenant » demande Ahmed, une lueur brûlante dans le regard. Couché sur le dos, j’ouvre mes jambes pour lui, mes bras posés au-dessus de ma tête. Les mains huilées, Ahmed me masse le torse, les seins puis ses mains descendent sur mon pubis, soigné par de douces caresses délicates. Avec deux doigts il me décalotte la verge. Il masse mon membre lentement, avec un plaisir pris il me semble. Même traitement pour mes bourses et mes cuisses. A genou entre mes jambes, il les relève pour les replier sur mon ventre, ouvrant complètement mon intimité, ma rosette offerte à ses doigts huilés. Ahmed se déplie et se frotte sur moi. « Ton corps bien blanc m’excite beaucoup, au vu de ta rondelle j’imagine que tu aimes faire la femme. Tu as reçu beaucoup de zobs en toi je pense. » Le compliment d’Ahmed m’excite, je bande. Et plus encore quand je sens le gland d’Ahmed se pose sur mon petit trou. Ahmed ne sourit plus maintenant. Son sexe
est gonflé de sang, son gland est rouge vif. Je n’ai pas le temps de l’observer rapidement car il m’encule d’un coup. Jusqu’à la garde. Le bruit de ses couilles sur mes fesses constitue le seul son dans la pièce. Je n’ai plus de souffle sous l’encule subi. Ahmed me ramone sauvagement. « Tu es bonne ma petite pute. Je sais que tu n’es pas venu juste pour le massage pas vrai ? » Je ne réponds pas, les dents serrées pour ne pas crier. Je sens mon anus s’ouvrir au maximum et je ne peux plus rester sans crier sous les coups de bite d’Ahmed. Du plaisir mais douloureux.
Mon esprit dévie sur autre chose. Des voix se font entendre dans le couloir, de plus en plus proches. Puis la porte s’ouvre brusquement. Deux hommes âgés entrent. Cette intrusion n’arrête pas Ahmed qui continue à m’enculer sans douceur tout en pinçant les tétons. Les deux hommes s’approchent, nous regardent et se parlent en riant. J’imagine qu’ils se moquent de moi, soumis aux assauts d’Ahmed, qui prend son pied dans mon cul. Puis s’arrête et éjacule. Un jet puissant frappe le fond de mon anus. Ahmed est en sueur et décule d’un coup. Je sens mon anus ouvert, avec un filet de foutre qui en sort. L’un des hommes s’est déplacé dans la pièce et est revenu avec un sexe séché pris sur la commode pour me l’introduire dans l’anus. Comme un gode naturel. Il l’entre puis le sort et recommence. Plus âgé qu’Ahmed, tout comme son compagnon, l’homme me sourit avec cet air carnassier comme un rictus sur sa face d’homme âgé. « Après moi, ce sont
mon père et mon oncle que tu vas satisfaire désormais » déclare Ahmed en glissant sa verge dans ma bouche pour que je la nettoie. Je sens que la soirée va être longue tandis que les deux vieillards se dénudent et préparent une sorte de batterie reliée à deux électrodes.
Colinot
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