Il va être minuit, Jean Claude quitte le bistrot où il a fêté ses dix-huit ans avec ses copains. sous ses cheveux foncés il est un peu saoul, ses yeux rient à son adolescence, dans son jean ses jambes musclées ne sont pas sûres, il titube un peu, Je n’aurais pas dû boire autant d’alcool, se dit-il, il arrive près d’un chantier, soudain une voix l’interpelle :
– Salut, t’est tout seul ? Tu t’ennuies ? T’as besoin de compagnie ?
Dans la lumière des projecteurs du chantier, Jean Claude distingue un grand type bronzé de son âge aux cheveux noirs en t-shirt et au jean déchiré qui s’approche de lui en disant :
– Moi, j’ai envie de compagnie, viens.
Et il entraîne Jean Claude dans la cabane des ouvriers. Jean Claude a un peu peur, mais l’alcool aidant, il suit le garçon qui lui met son bras autour des épaules.
Dressé devant lui, il approche son visage de celui de Jean Claude qui ne comprend pas, et
ses lèvres épaisses se plaquent sur celles de son compagnon, en même temps, il se colle contre les jambes de Jean Claude, met une jambe entre celles de sa victime qui ressent une impression de chaleur pas désagréable surtout quand la langue de ce
garçon pénètre dans sa bouche, il sent sur sa cuisse une barre dure qui tend le jean déchiré du garçon qui lui dit :
– J’ai vachement envie de toi, mec ! Tu sens comme je bande ?
Jean Claude tente de se dégager, mais l’autre le colle au mur en lui palpant la braguette, cette situation chaude le fait commencer à bander contre sa volonté au grand plaisir du garçon qui lui dit :
– Ah, tu bandes mon salaud ! Laisse-toi faire !
Et il détache la ceinture de Jean Claude dont le jean tombe sur ses chevilles, avec un regard pervers, le garçon se penche et met ses lèvres sur le slip que tend la bite de Jean Claude, il mordille cette barre qui durcit puis descend le slip, la bite de Jean Claude se dresse dans la main du voyou qui dit :
– Qu’est-ce que tu bandes dur, mon cochon ! Sens ma bite, tu me fais bander !
Il prend la main de Jean Claude et l’introduit dans sa braguette ouverte, instinctivement Jean Claude saisit cette bite dure,
sa bite se raidit, il a à présent très envie de ce garçon qui ôte son t-shirt, la lumière d’un projecteur sculpte son torse puissant et musclé qui commence à transpirer.
– Branle ma bite ! Murmure le jeune voyou.
Jean Claude, maintenant fou désir, pousse son comparse par terre, il lui dit :
– T’as envie de moi, hein ! Fais-moi jouir, vicelard, tiens, suce ma bite !
Et il tend sa bite raide vers la bouche de Jean Claude, son gland gonflé effleure ses lèvres, Jean Claude, fou de désir, lèche ce gland, le jeune voyou pousse sa hampe dans la bouche offerte en disant :
– Ouaiiis, suce, c’est bon ! Ah, mon salaud, tu vas me faire juter !
Il donne des coups de reins, sa bite entre et sort de plus en plus vite de la bouche de Jean Cla ude ravi de sentir cette bite se gonfler dans sa bouche, ce salaud va jouir, pense-t-il, et oui, j’aime ça !
Jean Claude n’en peut plus de plaisir, il bande comme jamais, l’autre halète :
– AH ! H !...H… OUUIIIII ! AH MON COCHON ! … JE VAIS… OUIIIIII ! JE JUUUUTE ! PRENDS ÇA !
Et un fleuve de sperme jaillit dans la gorge de Jean Claude qui avale difficilement.
– Ah qu’est ce que j’ai joui ! Rigole le voyou en saisissant la barre raide de Jean Claude qu’il branle lentement.
– Oh oui, Vas-y, plus vite ! J’en peux plus ! Dit Jean Claude qui se tord de plaisir.
La main du garçon accélère et dirige la bite vers son visage en disant :
– Vas-y, jute-moi à la gueule !
– Je vais juter sur ce beau garçon, pense Jean Claude excité à mort.
Il se cambre devant le visage de l’autre qui le branle à toute vitesse en disant :
– Tu vas juter, ouais à fond !
Et Jean Claude, excité comme jamais, crie :
-AAAAAH !... TU M’EXCITES, JE… VAIS… JE VIENNNS, OUI !
Son sperme éclabousse encore et encore le visage en sueur et le torse du voyou.
Ils se rhabillent se regardent, s’embrassent, le voyou :
– C’était bon, non ?
– Oh Ouiiii ! Balbutie Jean Claude.
– Si tu passes par ici le soir, n’hésite pas, c’est mon lieu de drague, tu es mon mec préféré, tu m’excites vachement !
– Oui, je reviendrai, c’était trop bon !
Ce soir là, dans son lit, Jean Claude se branle fougueusement et enduit ses draps de sperme en pensant à ce beau voyou…
Frank
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