Dans « Vacances chaudes en Sicile », je vous ai raconté mes vacances d’été que j’ai passées avec mon copain Yannick. Nous y revenons en octobre pour profiter des derniers rayons de soleil tandis que le Nord de la France est plongé dans le brouillard.
Moi, je m’appelle Nico, je suis une grosse cochonne accro à la queue, au cul et au sperme... Depuis que j’ai découvert le sexe à mes 18 ans, j’ai besoin de ma dose quotidienne dans mon cul. Si je n’en ai pas, je deviens agressif et chiant. Et ça ne s’est pas amélioré avec l’âge. J’ai maintenant 30 ans et Yannick en a 29. Pour moi, une semaine normale, c’est en moyenne 30 éjaculations, puissantes, telles un volcan.
Comme cet été, on embarque sur le ferry à Villa San Giovanni et on quitte le plancher des vaches. On déguste sur le bateau nos premiers arancini, une spécialité sicilienne. Ce sont des boules de riz frit avec en son centre de la sauce tomate, du fromage et de la viande hachée. On se régale.
On débarque à Messine, en Sicile. Le temps est magnifique. On s’engage dans les rues peu avenantes de la ville et on se dirige vers la station-service où on avait rencontré à l’époque Marco, le pompiste qui nous avait indiqué la fête où Yannick et moi nous étions bien fait troncher. La station indique : « Chiuso » (fermée). Déçu, je m’engage sur l’autoroute et on va cette fois vers l’ouest de l’île. On s’arrête sur une aire d’autoroute qui a vraiment l’air abandonnée. Je me gare à une pompe et je fais le plein, juste après avoir repris le pistolet de la pompe des mains du pompiste : il faut savoir que le « service » de se faire faire le plein par le pompiste est payant en Italie et que ça coûte bien 20 cts de plus par litre ! Je ne suis pas un pigeon ! Je prends mon carburant et on repart pour Palerme.
On arrive 3h plus tard, fatigués par cette autoroute mal entretenue, avec pleins de travaux et de nids de poule en plein milieu de la chaussée. On va à notre hôtel et on se couche immédiatement. Durant la nuit, je me réveille et je remplis deux fois mon copain. Le lendemain, après un petit-déjeuner bref et une baise sous la douche, Yannick et moi allons visiter le centre-ville. On laisse la voiture dans le parking surveillé de l’hôtel : je trouve trop risqué de prendre la voiture dans cette ville... que néanmoins, j’adore. Cette ville est pleine de charme, riche en histoire. Le soir, on trouve un restaurant sympa où on mange des spécialités de la région (espadon, glace à la pistache). Puis, en sortant du restaurant, notre regard est attiré par un bar qui a l’air sympa et branché. On commande à boire et j’observe les jeunes mecs qui me donnent bien envie. Ils sont beaux gosses. Je dois avouer qu’ils m’excitent... et vers 11h, je dis à Yannick qu’on rentre car j’ai trop envie de tirer un coup.
On sort du bar et on voit un taxi qui attend non loin de là. Le conducteur est appuyé contre sa voiture. Je lui demande s’il est libre, il répond que oui. On monte et il démarre. Je suis assis devant et je me rends vite compte que je ne cesse de mater le jeune conducteur, qui doit avoir une vingtaine d’année et qui est vraiment canon. Il est plutôt petit, il doit avoir 25 ans. Il a un visage lisse, une peau mate, un sourire à faire fondre. Il semble plutôt mince. Il porte un t-shirt vert ainsi qu’un jean moulant.
Il prend la parole, en italien :
- Alors, vous venez d’où ?
Je me débrouille assez bien en italien et je réponds :
- On vient de France.
- Cool. Et vous allez où ?
- On va à l’hôtel « della poste ».
- Cool ! Et Palerme vous plait ?
- Oui c’est magnifique.
- Vous avez prévu quoi ?
Je lui raconte alors ce que nous voulons faire : visiter et profiter de la plage. Yannick se tait car il ne parle pas italien. Je vois bien le regard du mec qui me mate de haut en bas ou qui regarde Yannick dans son rétroviseur. Il finit par demander :
- Vous êtes frères ?
Beaucoup pensent ici qu’on est frère car on est tous les deux blonds aux yeux bleus.
- Non, c’est mon copain.
- Des amis ? Ou des amants ?
- Nous sommes en couple, répondis-je sans me laisser décontenancer par sa curiosité.
- C’est vrai ? Un couple homo ?
- Oui, un couple homo, dis-je en rigolant.
Le mec se met à sourire puis il reprend :
- Moi, aussi je suis homo. Je m’appelle Simone (prononcé : Simoné).
Je fais les présentations. Yannick, qui ne comprend rien, me demande de traduire. Quand il apprend qu’il est gay, il me dit :
- Il est vraiment trop beau ! Et si on le séduisait pour se vider dans son petit cul ?
En effet, il ne me laisse pas indifférent non plus. Comme s’il avait compris ce qu’on disait, Simone reprend la parole :
- Ça vous dit qu’on fasse un crochet par chez moi ? On pourrait s’amuser tous les trois... Je vous trouve cool.
Je traduis la proposition de Simone à mon copain, qui accepte tout de suite. Simone appuie sur le champignon et il fonce à travers les rues de Palerme. Yannick me murmure à l’oreille :
- J’espère qu’il est passif... J’ai vraiment envie de son cul !
- On verra.
Simone se met à me parler de sa vie : il habite encore chez sa mère avec sa sœur et son demi-frère. Il ne semble pas apprécier son beau-père qui profite de sa mère. Tout le monde se doute qu’il est homo, même si personne n’en parle ouvertement.
Finalement, il se gare dans une ruelle et il nous fait entrer chez lui. Un chat nous accueille. Il nous fait passer dans sa chambre et là, Yannick l’enlace et le fait se coller contre son corps. Il le déshabille et on tombe tous nus sur le lit, Simone au milieu de nous. Il est magnifique. Il est mince, sans être musclé. Son corps est recouvert d’un duvet épais et noir. Ses jambes sont très poilues. Il a un pubis très velu avec une queue qui pendouille, posée sur de grosses couilles.
Yannick embrasse Simone à pleine bouche. Ce-dernier est tourné vers mon copain. Quant à moi, je me mets à masser son entre-jambe... puis son cul. Il est bien formé, bien rond, telle une pèche et recouvert de petits poils noirs. J’écarte ses fesses et je fais passer mon doigt à travers sa raie velue. Je remarque alors qu’il est passif, son trou n’est pas très serré. Quand j’y introduis mon doigt, Simone se met à ronronner de plaisir. Simone quitte les bras de Yannick et il se tourne vers moi. J’ai alors une belle vue sur son matos : son pubis est recouvert de poils épais et noirs. Sa bite fait dans les 18 cm, elle est assez épaisse, marron foncé, recourbée vers le haut, avec un gland rouge. Ses boules sont rondes et bien garnies. Je me penche sur son morceau et je le prends en bouche. Simone se met à gémir. Il pose sa main sur ma tête et il se met à me baiser la bouche. J’arrive à encaisser sa bite et mon front tape contre son ventre tandis que mon nez s’enfonce dans ses poils épais de pubis. Ça m’excite énormément ! Yannick continue à l’embrasser dans le cou tout en malaxant son cul.
Je remonte vers Simone et je mate son magnifique torse. Mes doigts passent dans sa toison. Il est en fait bien musclé. Il doit aller souvent à la salle, me dis-je. Puis, empli d’une envie bestiale, je place d’un bond Simone sur le ventre. Yannick se place devant sa tête et Simone s’empare de sa bite qu’il se met à sucer. Moi, j’écarte les fesses de l’Italien. Je reprends mon doigtage... avant de me pencher sur son cul et de laper sa rosette. Ensuite, j’enfonce ma langue dans son trou très profondément et je lui bouffe son cul poilu.
Puis, je me redresse et je fais passer ma queue dans sa raie. Simone cambre alors son cul de telle sorte que la moitié de mon gland se retrouve dans son anus. Je comprends le message et j’enfonce ma bite doucement, sans capote. Simone me tend alors un tube de lubrifiant. Je ressors ma teub, je lubrifie ma queue ainsi que son trou et je me renfonce doucement. Sa chatte est quand même bien serrée. Une fois mes 20 cm dans son trou, je me mets directement à donner de bons coups de queue. Je le baise profondément, rapidement. Simone gémit de plaisir des « Oh siiii, oh siiii ! ». Je me fais plaisir dans son beau cul très accueillant. Je le baise à fond, super fort. Je ne peux plus me contrôler et je le défonce sans prendre aucune précaution : je me défoule dans son cul. Je ne peux pas retenir longtemps mon orgasme mais je m’en fous. Je le déglingue et dans un ultime coup de reins, je m’enfonce au fond de lui et mon sperme jaillit telle l’éruption d’un volcan dans son anus.
Yannick me demande :
- Ça y est ? Tu l’as ensemencé ?
Je fais oui de la tête et mon copain dit :
- Trop bon ! A moi, maintenant !
Yannick et moi changeons de place. Il enfonce d’un trait sa bite dans le trou de l’Italien. Je vois mon sperme chassé hors du trou par la queue de mon copain. Il se met à donner de grands coups de reins et sa queue fait des bruits mouillés pendant ce temps. Il se met à le pilonner tel un marteau-piqueur. Je m’assois devant l’Italien et je lui roule de grosses pelles. Il sait trop bien embrasser ! Très vite, ma queue se dresse de nouveau. Simone la prend en bouche et la suce avec envie. Il faut peu de temps à Yannick pour dire :
- Putain, je viens !
Il ajoute alors sa semence à la mienne dans le trou de notre pouliche. Simone se redresse après que Yannick a quitté son cul. Il enjambe mon corps et il place ma bite à la verticale. Son trou dégouline de notre semence. Il enfonce ma bite dans son cul. Notre sperme est vraiment bien chaud ! Simone s’empale sur mon morceau qu’il se met à chevaucher. Il est hyper endurant et il se met à entamer un galop sur ma bite. A chaque passage, je sens ma queue frotter contre sa prostate, provoquant une coulée de precum hors de sa bite. Lorsqu’il veut se branler, je l’en empêche. Je suis désormais bien endurant et il doit me faire jouir avant lui. Les spermes mélangés coulent le long de ma bite et tapissent mes boules. Yannick admire le spectacle de derrière. Il semble apprécier le spectacle de ma grosse queue qui ouvre bien le petit trou rose. Puis, il enfonce un doigt dans son cul. Je me mets à sourire car je sais ce qu’il veut. Et en effet, je vois Yannick se placer derrière Simone. Je murmure à l’oreille de l’Italien :
- Détends-toi, on va te faire une double pénétration.
- Quoi ?
- Détends-toi. Ça va faire mal un peu au début mais après tu verras, ce sera génial.
- Oui, j’ai toujours voulu essayer !
Quelle salope, me dis-je ! Simone arrête sa chevauchée et je sens alors le gland de Yannick contre ma queue. Il essaie de faire entrer sa bite dont je ressens la pression. L’Italien gémit et souffle fort. Je sais, la queue de Yannick est vraiment épaisse... mais elle entre dans le trou, s’enfonçant centimètre par centimètre. La sensation est dingue ! Puis, je sens ses boules contre les miennes. Il est arrivé à entrer entièrement ! Yannick se met à faire de lents va-et-vient. Sa queue masse mon morceau... si intensivement et si fortement que je jute au bout de quelques minutes une deuxième fois mon sperme dans le cul de l’Italien. Yannick se met à défoncer Simone tandis que ma bite se ramollit. Simone gémit très fort. Peu de temps après, Yannick jouit à son tour. Je sens son sperme chaud jaillir violemment dans le trou et sur ma teub.
On ressort. Simone semble encore bien chaud. Yannick prend sa queue en bouche et il la suce jusqu’à ce que sa purée explose dans sa bouche. Yannick se redresse et on s’embrasse tous les trois, avec Yannick qui nous fait passer le sperme de Simone en bouche. Moi, je place Simone sur le ventre et j’enfonce ma langue dans son anus. Je me mets à récupérer notre sperme que j’avale avec grand plaisir.
Finalement, on se rhabille et il nous sert un café. Il nous propose d’être notre guide pour notre semaine ici et on accepte quand il nous propose de nous faire un prix d’amis. Il nous ramène à notre hôtel et on se donne rendez-vous le lendemain vers 8h30.
Yannick et moi nous endormons directement et je le baise le lendemain sous la douche, encore tout excité par les événements de la veille. Simone est à l’heure et il nous emmène voir des trésors cachés de la vieille ville. Dans un magasin de souvenirs, un « incident » me prête à sourire. Quand on entre, on regarde. Le vendeur nous accueille en anglais et il fait tout pour nous vendre des souvenirs. Soudain, dehors, il voit Simone. Il nous demande alors :
- C’est Simone ? Il est avec vous ?
- Oui, dis-je.
- Ah ok, répond-il d’un regard pétillant.
- Pourquoi ?
- Ah non rien. Donc, si je comprends bien, vous n’êtes pas des frères.
- Non, c’est mon copain.
- Et Simone était un bon coup ?
- Vous le connaissez ?
- Oui... c’est la petite pute de la ville, dit le vendeur en rigolant.
- Vous êtes homo ?
- Non, bi.
- Ok.
Yannick arrive avec quelques souvenirs. Il paie et on sort. Je lui fais part des révélations du vendeur. Puis, on continue la visite. Le soir, Simone nous laisse car il doit rentrer chez lui. On mange dans un restaurant et on va boire un dernier verre dans un bar. Nous ne voulons pas rentrer trop tard car Simone nous a donné rendez-vous à 7h car il veut nous montrer une ville tout à l’ouest de l’île, Masala.
Dans le bar, je souris quand je vois un mec qui nous regarde, au bar. Je fais signe à Yannick du coude et il reconnait immédiatement le vendeur. Quand il voit qu’on le regarde, il vient vers nous. Je l’observe attentivement : il a la quarantaine, il est grand, mince avec une barbe bien entretenue, un visage rond, des cheveux longs et ondulés. Il a un sourire craquant. Il se met à faire le plein et moi, je l’observe. Il a de larges épaules, des hanches plutôt fines. Il dégage une aura vraiment très masculine. Son t-shirt jaune moule un corps qui semble bien musclé. Il porte aussi un jean délavé... avec un paquet assez impressionnant.
Il demande s’il peut s’assoir et on acquiesce. Il nous pose des questions, mais très vite, il parle de lui : il vient d’une famille croyante. Il est marié. Il a de nombreux cousin, oncles, tantes, neveux et nièces dans la ville. Il parle de son enfance à la ferme de ses parents, du travail épuisant dans les champs etc. Il regrette de ne pas avoir vécu son homosexualité. Il avoue qu’il est bi mais s’il était né ailleurs, il pense qu’il aurait aimé vivre avec un homme... Mais il n’a jamais osé, à cause de sa famille. Je vois alors que Yannick s’impatiente. Moi, je trouve son récit plutôt touchant. Quand il a fini, on échange quelques banalités et je finis par lui dire :
- On va devoir y aller.
- Ah déjà, dit-il, déçu. Je suis bien chaud là.
- Ah oui ?
- Vous voulez pas venir dans mon magasin ? Dans l’arrière-boutique, j’ai un matelas sur lequel on peut bien s’amuser.
Il dit cela en s’étirant... et mon regard est attiré par son gros paquet. Yannick sourit. Le mec, du nom de Tindaro, nous paie les verres et on se dirige vers sa boutique. Dès qu’on est à l’intérieur, Yannick se met à genoux et il fait descendre son pantalon. Il renifle les poils de pubis hyper velu. Sa queue est marron foncé, elle fait bien 20 cm, elle est très épaisse avec un gros gland rouge foncé. Deux grosses veines la traverse. Il a aussi des couilles bien grosses, poilues. Mon copain prend la bite immédiatement en bouche. L’Italien passe une main dans les cheveux blonds tandis que l’autre triture un de ses tétons. Yannick lui fait directement des gorges profondes.
Quelques instants plus tard, Tindaro tire Yannick vers le haut et il plonge sa langue dans sa bouche, tout en masse ses fesses. Les deux se roulent une pelle sauvage. Puis, Tindaro fait retourner mon copain, il s’accroupit et il écarte ses deux fesses, laissant voir son petit trou rose. Il commence à le doigter avant d’y enfoncer sa langue. Puis, il se redresse et il saisit un tube de lubrifiant, il en enduit sa queue, puis le trou de Yannick, qui cambre son cul :
- Putain... quelle petit vide-couilles !
L’Italien place son gros gland contre la rosette de mon copain et il se met à appuyer. Yannick gémit doucement. Je ne vois pas ça souvent : son trou, qui se prend souvent des queues, a du mal à encaisser le morceau. Tindaro s’écrie :
- T’es vraiment serré, toi !
D’un coup de reins, Tindaro s’enfonce dans le trou. Il laisse Yannick se faire à son pieu, puis il entame des coups profonds. Je bande devant le spectacle de la bite de Tindaro qui va et vient de plus en plus vite dans l’anus de mon copain. Tindaro saisit ma queue et la branle. Je suis tellement excité que j’éjacule très vite 10 jets puissants qui volent dans la pièce pour s’écraser lourdement sur le carrelage.
L’Italien semble très endurant. Il pilonne la chatte serrée de mon copain. Au bout d’une dizaine de minutes, il enlève son t-shirt, laissant découvrir un torse musclé, bronzé, recouvert d’une forêt de poils. Ses tétons sont très gros, avec deux piercings. Il se met à sortir complètement du trou pour faire re-rentrer son pieu d’un coup. Je vois Yannick bien serrer ses deux fesses et très vite, Tindaro se met à respirer fort. Puis, il s’exclame.
- Je vais jouir !
Il jute alors dans le cul de mon copain. Puis, il tasse son jus avant d’en sortir, la queue mi-molle. Son sperme coule le long des fesses de Yannick et atterrit sur le sol. Je me précipite sur la bite qui dégouline de jus et je la nettoie comme il faut. Puis, je me précipite sur le trou de mon copain et je me délecte du nectar qui en coule. Tindaro s’exclame :
- T’es une vraie salope, toi aussi !
Je prends ça comme un compliment. Tindaro enfonce deux doigts dans le trou de mon copain et il se met à lui masser la prostate. Yannick gémit fort. Je prends sa bite en bouche et j’attends que Tindaro ait fini sa besogne. Mon copain éjacule très vite. Sa queue est prise de secousses, et les jets giclent directement dans le fond de ma gorge. Sa semence épaisse, composée de 9 jets.
Je me redresse et je vais embrasser Tindaro, lui faisant passer le sperme de mon copain dans sa bouche. Tindaro semble apprécier. Puis, il dit :
- T’es une bonne pouliche aussi ! Donne-moi quelques minutes et je vais te défoncer. T’en as besoin aussi, non ?
Je fais oui de la tête. Il masse sa queue tout en me malaxant les fesses. On va ensuite se poser sur le matelas et Tindaro m’embrasse. Ma queue se redresse... et la sienne aussi ! Je me précipite sur son morceau que je suce. Très vite, il me retourne et il me bouffe le cul. Quand il se redresse pour prendre du lubrifiant et il me lubrifie bien.
Ne tenant plus, il enfonce son gros gland dans mon anus. Je me sens alors comme ouvert en deux. Son pieu s’enfonce lentement. J’ai mal. Il doit s’y reprendre à plusieurs fois... mais sa queue finit par rentrer. Je me sens comme écarteler. La sensation est démente. Il se met à me baiser tout en enfonçant toujours sa queue. Ses boules se balancent d’avant et en arrière et elles commencent à taper contre mon périnée. Je sens très vite son pubis contre mes fesses. Il se met à accélérer la cadence et il me baise bien.
Au bout de quelques minutes, il me fait mettre sur le dos. J’hallucine quand il commence à aller et venir dans mon cul. Son gros gland masse ma prostate intensivement. Il se penche sur moi et il m’embrasse. Quand il se redresse, il entame une cadence puissante tout en me regardant dans les yeux. Mon copain nous regarde, il bande de nouveau et il se branle. Il caresse le dos de Tindaro en disant :
- Oui, baise-le bien, il en a bien besoin !
Tindaro accélère ses coups de bite. Il va de plus en plus vite. Je sens son gland se frotter contre l’intérieur de mon anus. Il se met ensuite à me pilonner. Sa queue va et vient rapidement. Ses grosses boules me fouettent le cul bruyamment.
Je sens ma prostate bien stimulée et lentement, je sens mon jus monter dans ma bite. Elle est alors prise de secousses incontrôlées et je finis par éjaculer sans les mains sur mon ventre. Le premier jet atteint mon menton. Il est suivi par 3 autres petits jets qui tombent sur mon ventre. Tindaro continue sa baise. Il me défonce pendant une vingtaine de minutes. Je suis comme un pantin entre ses mains. Et il finit par éjaculer aussi. Je sens sa queue pomper son jus dans mon trou qui se fait mitrailler par 12 jets hyper puissants et chauds qui me remplissent bien.
Il se retire. Cette fois, c’est Yannick qui se précipite sur mon trou et il en aspire le sperme contenu. On se pose sur le lit, les couilles bien vides. Tindaro s’exclame :
- Revenez demain soir !
- Ça marche !
On se rhabille et on sort. On rentre à l’hôtel. Je souris en me couchant dans le lit. Quelle journée !
On restera pendant une semaine à Palerme et on baisera beaucoup avec Tindaro ainsi qu’avec Simone qui nous montrera de jolis coins à Palerme ainsi que dans les alentours. Grâce aux deux, nous passerons un excellent séjour sur cette magnifique île qu’est la Sicile.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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