Travail à la pizzeria

Nico est un petit gars de 25 ans. Il fait des études de médecine, mais pour gagner sa vie, il doit faire des petits boulots. Il a d’abord essayé de travailler dans un fast-food, mais il a jeté l’éponge car le travail ne lui plaisait pas. L’attitude du manager lui déplaisait profondément. En passant devant une pizzeria un jour, il voit une annonce à la porte. Il y est écrit : « Recherche pizzaïolo. Étudiant bienvenue ». Il note les coordonnées et le soir, il appelle le restaurant. On lui dit de passer le lendemain vers 11h.

Le lendemain à 11h, Nico arrive devant la pizzeria. Il frappe à la porte et un homme d’une cinquantaine d’années lui ouvre. Il est petit, les cheveux grisonnants, avec une moustache, le teint halé : l’image type de l’italien. Ce-dernier lui tend la main et il se présente : il s’appelle Giovanni, il est le gérant. Il s’adresse à Nico avec un fort accent italien :

- Je vais t’expliquer en quoi consiste le travail : le soir, quand tu arriveras, on aura déjà fait la pâte. On te la passera, étalée, et il faudra les garnir puis les mettre dans le four. Il faudra que tu apprennes à reconnaître les différentes sortes. Il faudra bien sûr faire attention qu’elle ne crame pas pendant que tu en feras d’autres. Puis, il faudra la sortir du four et la mettre dans un carton. Mais il faut savoir qu’il y a beaucoup de travail, dit le géant, car c’est une pizzeria qui fait seulement de la vente à emporter. Donc, ils ont énormément de commandes. Ça défile. Il faut Il faut être réactif, rapide et travailler en coopération avec les autres. Est-ce que ça te dit d’essayer ?
- Oui.
- Alors viens ce soir à 17h, ça sera le coup d’envoi, je te présenterai à l’équipe et tu auras un jour pour essayer si ça te plaît.
- Avec plaisir.
- Donc, à ce soir, Nico.

Nico rentre chez lui, content d’avoir trouvé aussi vite un nouveau job. À 13h, il se rend à la fac. Il en sort à 16h00. Il va chez lui pour se changer et se préparer.

Nico est un jeune homme blond aux yeux bleus, pas très grand (1,70m), très mince, avec un cul en forme de poire. Son cul plaît à pas mal de meufs, mais des mecs aussi se retournent sur son passage.

Nico arrive donc à l’heure à la pizzeria et il remarque que des employés sont déjà dans la cuisine en train de préparer : Un est en train de faire la pâte à pizza. Un autre coupe des morceaux de légumes. Un troisième s’occupe de mettre du fromage dans des récipients. Tout semble bien ordonné. Giuseppe, le patron, fait donc les présentations :

- Alors Nico, voici Pier-Paolo.

Pier-Paulo lui serre la main chaleureusement : il doit avoir 25 ans. Il fait bien 1,90 m, il a un visage sympathique et souriant. Il a des cheveux épais et noirs, une barbe épaisse et longue. Il porte un t-shirt bleu et ample ainsi qu’un jean noir. Il a de larges épaules et il semble assez mince. Il a des bras musclés et recouverts de poils et de grandes mains.

- Et voici Salvatore.

Salvatore fait de même : il est grand (1,80m), il doit avoir 40 ou 45 ans. Il a des cheveux longs, noués en forme de tresse. Il a visage rond et joufflu, une barbe bien taillée. Il porte un t-shirt rouge qui moule un corps impressionnant : il a des épaules très larges, un torse puissant et un ventre rond et dur. Des gros bras un peu poilus dépassent de ses manches. Il porte un pantalon de jogging ample ... qui laisse entrevoir un paquet volumineux.

- Et enfin, voici Caramelo.

Carmelo lui présente son coude car il a les mains dans la farine : il est grand (1,85m), il doit avoir 35 ans. Il a les cheveux très courts et une barbe épaisse. Il a visage rond et il est bien en chair. Il a de larges épaules, un gros ventre. Ses larges cuisses sont bien mises en valeur par un jean bleu serré. Il a des bras poilus sortent de sa chemise blanche.

Nico est très impressionné par ces mâles qui se présentent devant lui : ils sont grands, ils sont forts, costauds, poilus. Ils respirent la virilité. Giuseppe reprend :

- Donc ce soir, tu mettras les ingrédients sur les pizzas. Voici la carte. Et tu seras aidé par Carmelo qui te montrera comment faire, comment mettre la bonne quantité. Familiarise-toi d’abord avec la carte. Et on ouvre dans une demi-heure.

Nico prend la carte et il essaie de la mémoriser. Camilo lui propose :

- Si tu veux, on fait un essai.
- D’accord.
- On fait une capriccosa.

Carmelo étale la pâte et il la passe à Nico sur une sorte d’assiette en métal. Nico met un peu de sauce tomate. Carmelo lui dit :

- Attention, pas beaucoup, sinon la pâte sera trop mouillée. Voilà, très bien. Maintenant, mets les autres ingrédients. Voilà. Donc une poignée de champignons, une poignée d’artichauts. Parfait ! Maintenant, passe-la à Salvatore. Tu es très doué, c’est cool.

Et c’est là que Guiseppe lance le coup de feu. Les premiers clients attendent déjà devant le restaurant. Le téléphone se met à sonner. Giuseppe prend les commandes qu’il envoie en cuisine. Et c’est là que Nico se rend compte que la cuisine est très petite en fait. Le restaurant se compose d’un comptoir où les clients rentrent et peuvent passer leur commande, mais c’est très étroit. Seuls 5 ou 6 personnes peuvent y loger. Derrière le comptoir où se trouve Giuseppe, il y a un couloir étroit où 3 personnes ne peuvent pas loger. Une personne se trouve au fourneau qui se trouve sur la gauche. Et au bout de ce petit couloir se trouve la cuisine où 3 personnes (et pas plus) peuvent travailler.

Nico se met au travail. Les Italiens lui donnent la pâte, il fait la garniture, il met la sauce tomate, du fromage, de la mozzarella, du salami ou des légumes. Et très vite, au fil de la soirée qui approche, le rythme s’accélère. À chaque fois que Carmelo lui fait passer la pâte à pizza, leurs mains se touchent. Nico est très impressionné par ces grandes mains de mâle que l’italien a. Soudain, Nico sursaute, car il vient de sentir quelque chose derrière lui. En effet, c’est Salvatore qui passe derrière lui, son gros ventre lui frottant le dos. Nico pousse, un soupir qui fait presque penser à un gémissement. Pier-Paulo et Salvatore passent sans arrêt derrière lui. Le gros ventre de Salvatore ou les bras poilus de Carmelo, qui lui donne les pizzas, lui frôlent soit les fesses, soit le dos, soit les bras. Nico se met à avoir une demi-molle dans son pantalon. Et durant toute la soirée, les 3 Italiens passent derrière lui ou ils le touchent le bras. Quand ils le frôlent, ça le rend toute chose. Il est vraiment très vite super excité.

Quand il sort vers 23h, il se rend chez lui. Il se jette sur son lit : il est dans un état d’excitation incroyable. Il sort sa queue et il se branle. Il éjacule presque immédiatement, tellement il est excité.

Giuseppe l’appelle le lendemain. Il lui dit qu’il était très content de son travail et qu’il aimerait l’embaucher. Il lui demande de passer pour signer le contrat. Nico et Giuseppe fixent des dates, des heures quand l’étudiant n’a pas cours et est libre pour bosser. Nico viendra donc bosser le soir les vendredis, les samedis et les dimanches, ainsi que le jeudi, 2 fois par mois.

Le samedi suivant, Nico arrive à la pizzeria à l’heure. Il entre à la cuisine. Et tout d’un coup, il voit les 3 Italiens devant lui. Il se remémore alors les rêves érotiques qu’il a fait de ces mecs. Il devient toute chose. Soudain, son regard se porte sur le short que Pier-Paolo porte. Il n’avait pas remarqué la dernière fois que son entrejambe était bombé. Mais là, le short moulant met bien en valeur son matos. Il semble vraiment ne pas porter de sous-vêtement. Son paquet laisse deviner un sacré engin ainsi qu’un gros gland, bien dessiné, ainsi que de très grosses couilles.

Pier-Paulo se dirige vers un tiroir et pendant qu’il marche, Nico voit son morceau se balancer de gauche à droite. Juste à côté de lui, il distingue son short mouler chaque centimètre carré de sa queue qui, au repos, bien molle, est posée contre le tissu. Nico essaie de dégager son regard du paquet. Il est parcouru de frissons. Mais il arrive à détacher son regard.

Nico se met alors à bosser pour se changer les idées et pour ne pas bander. Cette fois, il est chargé d’étaler les pâtes. Ça lui est difficile de prendre le rythme au départ. Mais très vite, Il se fait à la cadence de travail.

Alors que c’est l’heure où les commandes affluent, Giuseppe appelle Pier-Paulo qui passe derrière Nico. La cuisine étant étroite, l’Italien doit passer derrière Nico ... qui sent le matos de Pier-Paolo lui frotter les fesses. Nico tressaille. Il sent sa queue faire un bond dans son pantalon. Il ferme les yeux et il essaie de se ressaisir. Mais Pier-Paulo repasse derrière lui pour retourner à son poste de travail. Et c’est là que Nico sent la grosse bite de Pier-Paulo se loger dans la raie de ses fesses. Pier-Paolo appuie, il n’arrive pas à passer. Nico bande à fond. Pier-Paolo finit par réussir à passer. Nico ferme les yeux, il prend une profonde inspiration. Il se remet au travail, son sexe se calme.

Pendant toute la soirée, Pierre Paulo va passer comme ça dernière Nico qui essaie de ne pas faire remarquer son excitation. Quand la soirée de labeur se termine, Nico rentre vite chez lui… car il explose d’excitation. Il ferme les yeux en repensant à ce qu’il vient de vivre. Sa teub gicle de grosses quantités de jus.

Le lendemain, Giuseppe lui dit qu’ils sont tous satisfaits de son travail et que, s’il le veut, il pourrait bosser tous les jours chez eux. Nico accepte immédiatement. Les Italiens ne vont pas le savoir mais ça va être dur pour Nico d’allier autant de travail et de fatigue avec ses études… Mais sentir tous les jours la présence de ces véritables mâles qui respirent la testostérone le rend tout simplement dingue. Voir le gros paquet de Pier-Paulo, de sentir le contact avec le corps de Carmelo ou sentir le gros ventre de Salvatore glisser contre son dos… Tout ça le rend tellement fou d’excitation qu’il se branle chaque soir après le boulot et qu’il jute des tonnes de sperme en pensant à ces mecs.

Un jour, il est là plus tôt que d’habitude et seul Carmelo est arrivé. Ils discutent bien quand Pier-Paulo et Salvatore arrivent. Ils tapent la bise à Carmelo. Nico s’indigne :

- Et moi alors ?
Les trois Italiens le regardent surpris. Salvatore lui répond :

- On est cousins, tu sais…
- Ah, je ne savais pas..., répond Nico, l’air penaud.

Les Italiens rigolent et Pier-Paulo s’avance vers lui. Il lui tape la bise, puis Salvatore. Ils sourient et depuis, ils se font la bise dès qu’ils se voient. Nico est bien sûr aux anges. Il savoure le fait de sentir leur barbe sur sa peau, de sentir leur souffle chaud, de sentir leur peau douce et leurs grandes mains qu’ils posent sur ses épaules. Ça l’excite énormément. Mais il ne veut rien tenter avec eux car il aurait peur de briser ces instants magiques.

Un jour, Salvatore passe derrière Nico dans cette cuisine étroite. Son gros ventre frotte contre son dos et il lui touche l’épaule en même temps. Nico tressaille. Salvatore s’arrête et il se penche à son oreille :

- N’aie pas peur, c’est que moi !

Nico sent les deux mains puissantes sur ses épaules et il se sent presque défaillir. Salvatore hume alors le cou de Nico :

- Tu sens bon. C’est quoi ton parfum ?
- Sauvage de Dior.
- Génial. Je te croquerai presque.

Il lui dépose alors un baiser dans le cou et Nico bande immédiatement. Il essaie de cacher sa gêne tandis que l’Italien reprend sa besogne.

Les jours et semaines suivantes, Nico se met encore plus de parfum… mais Salvatore ne l’embrasse pas dans le cou. « Vraiment dommage », pense le jeune étudiant. Cependant, Salvatore se montre très tactile depuis cet instant. Les deux autres vont l‘imiter quelque temps plus tard. Quand ils passent derrière lui, ils posent leurs mains sur ses épaules. Quand ils parlent ensemble, ils lui posent une main sur le bras ou l’avant-bras. Quand ils travaillent, leur bras se frôlent et leurs poils chatouillent la peau de Nico. Ce-dernier est dans un état second désormais dès qu’il commence à travailler dans le restaurant jusqu’à ce qu’il en sorte.

Aujourd’hui, cela fait 4 mois qu’il travaille à la pizzeria. Quand il arrive, il voit Pier-Paulo à la caisse. Surpris, Nico demande ce qu’il se passe.

- Mon père est malade aujourd’hui, je le remplace.

Ils s’embrassent tous et Nico se met au travail. Il s’occupe du four ce soir et il aide aussi Carmelo à garnir les pizzas. Il adore ce poste car c’est là qu’il peut sentir au mieux ces mâles qui doivent sans arrêt passer derrière lui. Il décide de prendre un peu plus de place ce soir et il tend bien ses fesses.

Durant la soirée, effectivement, Salvatore et Carmelo passent souvent derrière lui, ils lui touchent le dos, les épaules. Ils frôlent ses bras. Parfois, Pier-Paulo passe aussi derrière lui et il sent sa grosse bite qui est aujourd’hui enfermé dans un short très moulant. A un moment, Pierre Paolo, qui vient donner une commande à Nico, se place derrière lui, son paquet collé contre sa fesse gauche. Il lui tend le papier et il lui dit qu’il fait un bon travail. Nico sent son souffle chaud dans son cou. Il se sent presque défaillir. Pierre Paolo fait glisser sa teub le long de la fesse, pour se retrouver dans sa raie. Pier-Paulo l’y frotte de haut en bas. Et Nico a directement une érection. La main droite de bien Pier -Paolo descend discrètement vers la fesse droite de Nico. Il la frôle. Nico a l’impression qu’un de ces rêves devient réalité. Et comme dans un de ses rêves, de façon incontrôlée, il passe sa main derrière lui et il se retrouve avec un gros morceau de Pier-Paolo dans sa main. Il a l’air bien plus énorme que ce qu’il avait imaginé. Pierre Paolo lui murmure alors à l’oreille :

- Il est temps que tu t’en occupes...

Pier-Paolo rejoint la caisse, laissant Nico rouge comme une pivoine… Carmelo s’approche de Nico et il lui demande :

- Ça va pas ? Qu’est-ce qu’il ta dit ?
- Euh... Rien…
- Il s’est pas frotté contre toi ?
- Euh si... J’ai pas fait gaffe, ment-il.
- Mais tu bandes là ?
- Euh non…
- Putain, le salaud…

Carmelo semble jaloux… Il passe alors son bras autour du cou de Nico et il lui murmure à l’oreille :

- Je sais que c’est moi que tu préfères. Te laisse pas manipuler par lui.

En disant cela, il caresse discrètement le cul de Nico.

- Moi, tu sais… je te ferais bien monter au 7ème ciel…

Il dépose un baiser discret sur la joue de Nico… avant de lui faire tourner la tête pour l’embrasser furtivement sur la bouche. Il retourne ensuite à son travail. Nico ne sait plus où se mettre. Il est excité comme tout. Il bande à fond. Ces deux mâles semblent le désirer. Ses fantasmes deviendraient-ils réalité ?

Salvatore le sort de ses pensées. Son gros ventre lui tape dans le dos. Il se met à lui caresser le bras et murmurant :

- Carmelo t’a embrassé ? Pourquoi ?
- Je sais pas…. Je…
- Tourne-toi !

Nico se retourne et Salvatore lui roule une grosse pelle, devant les clients et devant ses cousins, qui le regardent, bouche bée. Il relâche le pauvre Nico qui ne sait plus où se mettre. Il se détourne sans rien dire.

Il ne comprend pas ce qu’il se passe. Ces mâles, jusqu’ici chaleureux mais sans plus, ont l’air de le désirer. Ils n’ont pourtant jamais montré de signe de ce genre… Il est complètement déboussolé… mais aussi énormément excité.

Les quatre mecs terminent leur service. Chacun des Italiens caressent le cul de Nico quand ils passent ou lui caressent le bras quand ils lui donnent un truc. Le service se termine finalement. Nico range les derniers trucs et quand il se retourne, il doit lever la tête vers les trois grands italiens qui l’entourent et qui le regardent droit dans les yeux.

Nico murmure :

- Qu’est-ce qui se passe ?
- Qui de nous est-ce que tu choisis ?, demande Salvatore
- Comment ça ?
- Ça fait des mois que tu es ici… et je t’ai tout de suite trouvé beau gosse. Tu crois que j’ai pas vu que ça te faisait bander quand je passais derrière toi avec mon ventre ou quand je te caressais le bras ?
- Je savais pas que tu l’avais remarqué…
- Et moi, ajoute Pier-Paulo, j’ai bien vu que tu aimais bien maté ma queue que moulait mon petit short. Elle te fait envie, je le sais.
- Moi, je sais que tu aimes depuis le premier jour quand nos mains se touchent ou quand je te prends dans mes bras.
- Oui, vous avez raison, avoue Nico. Vous me faites tous de l’effet depuis le début. Vous m’excitez tous les trois…
- Et tu préfères qui ?
- Je ne pourrais pas dire…
- Allez, Nico. Tu peux le dire. Tu as envie de ma grosse queue avoue !, dit Pier-Paulo.

Les trois mecs se rapprochent et ils encerclent le jeune homme qui se sent tout petit. Il ferme les yeux et il réfléchit… mais il se dit qu’il n’a plus rien à perdre. Ils savent son attirance pour eux… et il est temps d’en profiter. Il réouvre les yeux et il dit :

- Vous me plaisez tous les trois. Et je ne veux pas choisir. Je vous prends tous les trois.

Les Italiens se regardent, surpris. Mais finalement, ils sourient, ils se collent contre moi et ils le serrent dans leurs bras puissants.

Pier Paulo attrape Nico par la nuque et il se penche pour l’embrasser. Il lui roule une grosse pelle. Carmelo passe ses mains dans son dos et parfois ses doigts descendent de temps en temps vers son cul :

- Il me fait envie depuis si longtemps, ton gros cul...

Salvatore presse son gros ventre contre Nico et il me serre dans ses bras. Quand Pier-Paulo retire ses lèvres, Salvatore se précipite sur lui et il lui roule une grosse pelle. Puis, c’est au tour de Carmelo. Les mains caressent son corps, son dos, ses fesses. Pier Paulo, toujours en embrassant Nico, enfonce la main dans son pantalon et il saisit sa bite qu’il sort pour la branler. Nico fait de même et il en sort un énorme morceau de bien 22 cm.

Très vite, Nico se retrouve à genoux et il enfonce la teub dans sa bouche. Pier-Paulo lui caresse la tête... quand il voit Carmelo prendre la tête de son cousin pour lui rouler une pelle. « Les cochons, pense Nico, ils n’en sont pas à leur première fois ensemble ! ». Salvatore observe le spectacle en se touchant l’entre-jambe. Carmelo présente sa bite à Nico qui la branle avant de la prendre en bouche. Elle est aussi bien grosse, elle doit faire 18 cm. Salvatore sort sa queue se met à se branler.

Nico repasse à Pier-Paulo qui commence à lui baiser la bouche. Ses grosses boules lui fouettent le menton. Il repasse ensuite à Carmelo. Salvatore s’approche et Pier-Paulo se met à le sucer. Carmelo défonce la gueule de Nico en murmurant :

- Enfin ! J’en rêve depuis si longtemps !

« Et moi donc », pense Nico ! Ce-dernier observe du coin de l’œil Pier-Paulo qui fait faire des gorges profondes à Salvatore. Le coquin doit apparemment avoir l’habitude de s’occuper des 22 cm de son cousin ! Carmelo finit par sortir de la bouche de Nico, puis Salvatore vient vers eux, il offre sa queue à Nico tandis que Carmelo va vers Pier-Paulo qui saisit sa bite. Nico s’occupe des 17 cm de Salvatore. Il les engouffre dans toute leur longueur et il se met à le sucer avec envie. Il fait ça sans les mains. Au bout de quelques instants, Salvatore pose une main derrière la tête de Nico et il se met à légèrement diriger le rythme de la suce... avant de donner des coups de reins pour limer la bouche.

Ensuite, il se penche sur Nico et il lui roule une grosse pelle. Puis, il le fait monter et Salvatore se met à le sucer. Nico est surpris que ces mecs bien virils s’abaissent à le sucer... mais il savoure le traitement et il gémit doucement pendant que l’Italien fait des allers-retours sur ses 17 cm. Il prend une cadence rapide. Puis, il se redresse, il embrasse de nouveau Nico tout en saisissant leur teub qu’il branle. Ensuite, il le saisit par les hanches, il le place sur le plan de travail de la cuisine et il finit par se déshabiller. Ces cousins l’imitent, tout comme Nico.

Carmelo est un vrai ourson italien : il a un ventre gros et mou, recouvert de poils noirs et drus, tout comme son torse qui forme de petits seins. Sa pilosité est très importante, elle recouvre entièrement son corps et son dos. Ses poils noirs excitent Nico à fond. Le pubis de Carmelo est très velu et sa queue est épaisse, elle fait 18 cm, elle est veinée, avec un petit gland. Il a d’énormes couilles rasées et bien rondes.

Salvatore est le type rugbyman : il a un torse puissant et un peu poilu. Son ventre est énorme, il forme une grosse boule bien dure, recouverte de quelques poils. Son pubis est dense et composé de poils longs et noirs qui forment un tapis moelleux. Sa bite est hyper épaisse, une main n’arrive pas à en faire le tour. Elle fait 17 cm. Il a aussi de grosses couilles de taureau très poilues.

Quant à Pier-Paulo, il a de larges épaules, un corps normal, avec des pecs assez bien dessinés et des bras musclés. Ses jambes sont tout aussi musclées. Son torse est recouvert de poils denses qui descendent en une ligne noire le long de son ventre qui atterrit dans son pubis ressemblant à une vraie forêt vierge noire. Ses jambes sont hyper velues, recouvertes de poils noirs, longs et épais. Sa bite de 22 cm est bien large, avec une grosse veine qui la traverse ainsi qu’un très gros gland. Il a d’imposantes couilles rondes bien velues.

Salvatore fait coucher Nico sur le plan de travail, il s’approche de lui et Nico avale sa queue qui arrive au niveau de sa bouche. Pendant qu’il s’occupe de sa tige, Salvatore enfonce un doigt mouillé dans son anus. Il utilise ensuite de l’huile d’olive présente sur une étagère pour enfoncer deux, puis trois doigts dans le trou de son employé... avant de lui faire lever les jambes et d’enfoncer sa langue dans son anus qu’il se met à bouffer, provoquant de forts gémissements à Nico. Puis, il se redresse et il enfonce lentement ses 17 cm, sans capote. Le trou de Nico accueille sans problème la teub. Salvatore pose ses mains sur les petites fesses de Nico et il entame une baise régulière sur la longueur de sa bite. Salvatore se penche sur le passif et il lui roule une pelle. Nico sent le gros ventre de l’Italien, qui ondule sous ses coups de reins, ainsi que ses poils qui lui chatouillent le corps. En tournant la tête, Nico observe alors Carmelo qui plaque son cousin sur une autre table et il s’enfonce en lui. Pier-Paulo encaisse bien les 18 cm, preuve qu’il y est habitué ! Carmelo reste quelques instants sans bouger avant d’entamer de petits coups de reins. Nico admire le cul poilu de Carmelo qui va-et-vient et qui vacille bien fort. Il est immédiatement envahi d’une envie pour ces fesses velues ! Il voit alors Carmelo accélérer ses coups de bite, ses cuisses rebondissant sur les fesses de son cousin ! Parfois, il s’arrête et il laisse Pier-Paulo se baiser lui-même sur la queue. Puis, Carmelo reprend la baise, ses mains sur les épaules du passif, en donnant de bons coups de reins !

Salvatore finit par sortir du cul de Nico et il le fait relever en l’embrassant. Carmelo sort alors du trou de son cousin et il se précipite sur les fesses de Nico qu’il masse avant de se pencher et de lui brouter l’anus. Salvatore embrasse Nico tendrement, du bout de ses lèvres charnues tout en lui caressant la tête. Carmelo enfonce ensuite sa teub dans le cul présenté devant ses yeux et il fait tendrement l’amour à Nico. Salvatore s’assoit sur la table et il donne à Nico sa bite qui la suce.

Au bout de quelques minutes, Carmelo se retire et il laisse sa place à Pier-Paulo. Nico soupire quand sa teub entre en lui car elle est bien épaisse ! Il s’enfonce lentement, puis il se met à donner de petits coups de reins. Puis, il accélère et Nico sent les cuisses musclées frapper contre ses fesses ainsi que son pubis poilu rebondir sur sa raie. Carmelo se place à côté de Salvatore et les deux se font sucer par le passif. Pier-Paulo se met en biais contre le mur. Nico comprend le message. Il se place entre ses jambes et il s’empale sur la teub sur laquelle il se met à monter et descendre. Quant à Carmelo, il descend de la table et il commence à sucer Salvatore. Ce-dernier pose sa main derrière sa nuque et il se met à lui baiser rapidement la gueule. Puis, il l’embrasse et il se met à genoux pour le sucer à son tour.

Pendant ce temps, Pier-Paulo prend les commandes et il se met à baiser Nico à fond. Finalement, ils se mettent tous debout et ils s’embrassent. Les lèvres se frôlent, les langues s’entrecroisent. Les 4 mecs forment une symbiose impressionnante. Puis, Nico se penche pour sucer Carmelo tandis que Pier-Paulo passe derrière lui pour lui bouffer le cul. Salvatore regarde le spectacle en se branlant... avant de s’enfoncer dans le cul de Nico qui embrasse Carmelo... qui se fait baiser par Pier-Paulo. Salvatore donne de petits coups de reins, tout comme Pier-Paulo. Ils adoptent la même cadence de baise.

Puis, les garçons se retirent et ils se mettent à s’embrasser et se sucer les uns les autres. Tandis que Carmelo suce Pier-Paulo à quatre pattes, Nico réalise enfonce son envie et il se met à bouffer le cul bien poilu de Carmelo. Sa langue s’amuse avec les poils mouillés autour de son anus tout en malaxant ses grosses miches. Puis, il se redresse et il enfonce ses 17 cm dans le trou bien accueillant. Arrivé au fond, il se met à donner de petits coups de reins tout en caressant le dos recouvert de poils de l’Italien. Il entame ensuite une cadence avec des coups de butoirs violents et profonds. Pier-Paulo finit par passer par derrière et il embroche ses 22 cm dans le cul de Nico tandis que Salvatore se laisse sucer par son cousin passif. Nico gémit fort. Il se retrouve pris en sandwich. Il commence à bouger mon cul : il gère le rythme de la baise en enculant Carmelo et en se faisant enculer par Pier-Paulo. Puis, ce-dernier commence à donner des coups de bite. Nico gémit car il ressent ses mouvements puissants qui les font bouger en cadence. Il reprend ensuite les choses en mains et il adopte une cadence rapide. Il enfonce sa queue au fond du cul tout en sentant bien la grosse teub de Pier-Paulo. Il adore aussi sentir ses boules venir frapper ses fesses.

Nico se retire cependant assez vite du cul de Carmelo car il ne veut pas encore jouir. Il veut encore profiter de cette situation bien excitante. Pier-Paulo enfonce alors sa bite dans le trou de Carmelo tandis que Salvatore baise de nouveau Nico. Les deux actifs se retrouvent l’un à côté de l’autre et ils s’embrassent tout en donnant de bons coups de teub réguliers. Puis, ils échangent de cul.

Par la suite, Salvatore attire Nico vers lui, il se pose sur la table et il écarte bien son cul. Nico comprend le message et il enfonce ses 17 cm dans le gros cul du mec. Il soupire fort car il a un trou bien serré ! Nico commence à donner de forts coups de butoirs. Salvatore crie fort son plaisir. Le céfran ressort avant d’éjaculer. Carmelo prend alors la suite pendant que Pier-Paulo se met contre un placard, le cul cambré. Nico s’enfoncer en lui admirant en même temps le gros cul velu de Carmelo bouger d’avant en arrière pour bien baiser son cousin. Il regarde ensuite sa teub aller et venir dans l’anus de l’Italien sportif au cul bien bombé. Sa queue rentre et sort, accompagnée des poils mouillés du cul du passif. Ça lui donne tout de suite bien envie et il se met à le pilonner. Il ne peut pas non plus résister longtemps et il en ressort assez vite. Les deux rejoignent ensuite Carmelo et Salvatore, ils grimpent sur les tables et ils baisent la bouche de Salvatore à tour de rôle qui tourne sa tête à droite ou à gauche pendant que Carmelo continue de le défoncer. Nico admire leurs deux corps qui vacillent sous les coups de reins de l’actif. Puis, c’est Pier-Paulo qui défonce Salvatore. Nico en profite pour offrir son cul à Carmelo qui s’y enfonce avec plaisir.

Pendant plus d’une heure, les quatre mecs se font plaisir, ils se baisent entre eux, se sucent, s’embrassent. Finalement, alors que Salvatore est en train de baiser Nico, il s’exclame :

- Je vais pas tenir longtemps... Tu veux mon jus où ?
- Dans le cul ! Je veux la semence de vous tous en moi !

Les trois Italiens sourient. Salvatore continue de baiser le passif, il donne de petits coups de bite. Nico ressent son gland prendre du volume avant de lui envoyer quelques rasades de sperme dans son anus. Quand il ressort, Nico sent le sperme couler doucement hors de son cul.

Carmelo est le suivant. Il tasse le jus de son cousin et il admire sa grosse queue aller et venir dans le trou, pendant qu’elle devient de plus en plus blanche. Il accélère ensuite le mouvement, faisant sortir sa bite de moitié en redonnant des gros coups de reins. Il finit par jouir. C’est un flot abondant et épais qui va se loger dans le cul de Nico, s’ajoutant à la semence de Salvatore. Quand il se retire, le sperme épais coule doucement hors du trou et tombe lourdement et bruyamment sur le sol.

Pier-Paulo prend la suite. Il est encore super endurant. Il pilonne Nico tel un marteau-piqueur pendant une dizaine de minutes avant de m’engrosser. Il gicle 7 jets puissants que Nico sent mitrailler le fond de ses entrailles. Quand il ressort, c’est un torrent de semence qui dégouline hors de son anus, un mélange du sperme des 3 Italiens.

Nico fait mettre les 3 trois culs alignés les uns à côtés des autres et il se met à les baiser à tour de rôle. Il sent la semence des trois cousins italiens couler le long de son cul et atterrir dans le trou de ceux qu’il baise. C’est dans le cul de Carmelo qu’il éjacule 5 jets puissants. Il se retire et il admire son jus dégouliner le long des poils noirs de l’Italien qui se relève et qui lui roule une grosse pelle. Les quatre amants se serrent fort les uns contre les autres, frottant leurs corps sublimes, sentant les poils chatouiller leur ventre et les queues à moitié molles déposer les dernières gouttes de sperme sur le membre des autres.

Nico et les trois Italiens sortent après s’être rhabillés et avoir nettoyé la cuisine. Ils se séparent. Nico rentre chez lui le cœur battant. Désormais, il va apprécier d’aller travailler, sachant que ces mâles italiens l’attendent avec la promesse non prononcée de se faire plaisir après chaque soirée de travail. Il rentre dans son appart, avec la certitude que le lendemain soir apportera de nouveau des moments bien torrides !

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