Salut à tous,
Je m’appelle Olivier, je suis métis, j’ai 30ans, je fais 1m70 pour 80kg. Je suis sportif. J’adore faire de la muscu. Je suis hétéro. Je suis marié à une femme qui s’appelle Cécile. Elle est magnifique. Elle est de taille moyenne, métis aussi. Elle est mince et elle a de beaux atouts. Je suis commercial et je voyage beaucoup. Ma femme est infirmière et il faut dire que les moments d’intimité sont rares en ce moment.
Un jour, je pars en mission ... je vais m’acheter des cigarettes avant de prendre l’autoroute... et quand je mets le contact, impossible de repartir... La voiture ne démarre pas. C’est une voiture qui appartient à la boîte dans laquelle je travaille. J’appelle un collègue et il envoie une dépanneuse. Le mécanicien ne peut rien faire sur place, il dit qu’il va amener la voiture au garage... et il me propose de me déposer chez moi.
Surpris, je lui demande :
- Pourquoi ? Je dois partir là !
- Ah non, pas aujourd’hui. Elle serait prête au plus tôt demain après-midi.
Je contacte mon patron et je lui explique la situation. Il me dit qu’il n’a pas d’autre véhicule et que demain matin, je pourrais prendre le sien. Je rentre donc chez moi. Quand j’arrive, je vois Cécile qui se précipite dans la voiture. Je lui demande ce qui se passe :
- J’ai été appeler d’urgence à l’hôpital.
- Ah dommage ! Ma voiture est en panne.
- Ok... Je t’appelle plus tard. A tout.
Et elle démarre en trombe. Je rentre dans la maison et je me pose sur le canapé. Je suis content. Je vais profiter de cette journée de liberté forcée. Je vais sur mon ordi et je mets un jeu vidéo en route.
Une heure plus tard, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je tombe sur un grand black baraqué. Il semble surpris de me voir.
- Cécile n’est pas là ?
- Euh non. Elle a dû partir. Une urgence au boulot.
- Ah...
- Et...vous êtes qui ?
- Jordan.
- Comment vous connaissez ma femme ?
- Je suis un ancien ami. Je la connais depuis un moment. Tu t’appelles comment ?
Je suis surpris par ce tutoiement direct...
- Olivier.
- Je savais pas que Cécile avait un mec aussi minus que toi !
- Pardon ?
- Tu veux pas la remplacer ? Je suis trop en manque !
- Quoi ?
- Oui, je baise ta femme ! Elle a besoin d’un gros calibre... et pas de ce petit truc que tu as entre les jambes !
- C’est quoi ton problème, mec ! Allez, dégage.
Le black se met à me regarder de façon mauvaise. Rapide comme l’éclair, il pose sa main sur mon épaule et je me retrouve propulser en arrière. Je tombe par terre tandis qu’il rentre et ferme la porte. Je suis fou de rage. Mais il m’agrippe le bras et il me soulève comme une brindille. Il me jette sur le lit conjugal et il met son sac au pied du lit. Il se fout alors à poil. Il sort des menottes de son sac et, rapide comme l’éclair, alors que je suis en train de m’enfuir, il me repousse sur le lit et il me fixe aux barreaux du lit.
Je commence à avoir vraiment peur... je l’observe.
Le black a dans les 30 ans. Il est grand, il doit faire deux mètres. Sa peau est marron. Il a des cheveux crépus et épais. Il a un visage lisse. Il a d’épaisses lèvres. Il a de larges épaules. Il est très musclé. Ses biceps sont énormes, ses pectoraux sont ronds. Son corps est imberbe. Il est aussi recouvert de tatouages tribaux, tout comme ses bras. Il a de grosses couilles noires et imberbes. Sa bite est énorme, elle fait bien 25 cm. Elle est assez épaisse. Elle est noire et le gros gland est rosâtre. Ses cuisses sont imposantes.
Il se met debout sur le lit et il me domine de toute sa hauteur. Je vois sa queue qui s’approche dangereusement de mon visage. Je garde bien ma bouche fermée. Il me dit alors :
- Ouvre ta bouche, salope !
Je refuse. Il me met alors une grosse baffe et il répète :
- Ouvre ta bouche !
Je n’obéis pas. Il me fout encore une baffe. Je commence à avoir les larmes aux yeux mais je résiste. Mais après la troisième gifle, je m’exécute. J’ouvre ma bouche et il me regarde en ricanant :
- C’est bien, petite salope ! Je vais te faire voir qui est ton maître. Je vais te faire obéir comme ta pute de femme !
Sa grosse queue approche et son gland se retrouve sur ma langue. Tout d’un coup, cette sensation jusqu’ici inconnue d’une bite dans ma bouche me fait immédiatement bander ! Très vite, sa teub s’enfonce à moitié et il me prend par les cheveux. Il commence à faire aller et venir ma bouche sur sa bite. Je le branle comme si j’étais son jouet sexuel. Un tiers de sa queue entre en moi. Mais assez vite, c’est la moitié que j’engouffre. Et au bout de quelques minutes, je supporte les deux tiers. Le black rigole et dit :
- Tu es une plus grosse salope que ta meuf ! Elle n’a jamais pris ma bite aussi vite et aussi bien que toi ! Tu es PD, c’est ça ?
- Non !
- Ta gueule ! Tu parles quand je t’y autorise !
Il me remet une baffe et il plonge sa bite dans ma bouche. Il se met alors à me pilonner la gorge. Je veux alors recracher sa bite. Le black me met alors une baffe. Il renfonce sa queue sans me laisser le temps de réagir. Je m’efforce de supporter ses assauts. Il me reprend la tête et sa bouche va et vient le long de son énorme morceau. Je prends sa queue en entier ! Il est satisfait :
- C’est bien ma petite pute ! Tu es une meilleure salope que ta femme, j’ai l’impression !
Il jette alors un coup d’œil sur ma bite et il éclate de rire :
- Tu as vu la taille de ta queue ! Elle fait quoi ? 14 cm !
Je le regarde et j’acquiesce.
- Pas étonnant que ta femme aille voir ailleurs ! Elle a besoin d’un gros calibre comme le mien pour la satisfaire ! Allez, petite bite, prends ça !
Et il me fait faire une gorge profonde. Puis il se défoule de nouveau dans ma bouche, pendant bien 15 minutes. J’en ai mal aux mâchoires, mais je supporte, ne voulant pas reprendre de baffe. Il ressort sa bite et il me baffe avec. Il la frappe contre ma langue et il dit :
- Voilà la vraie bite d’un mâle ! Vénère-la !
Il me la fait alors lécher. Puis il me plaque ma tête contre le mur derrière le lit et il me pilonne la bouche. Ses grosses couilles se balancent et frappent mon menton et mon cou. Il me baise encore pendant 10 minutes. Et finalement, il sort sa queue de ma bouche, il se branle 5 secondes et dans un rugissement bestial, il jouit un premier jet qui gicle et atterrit dans mon œil gauche. Trois autres suivent et peinturlurent mon visage ainsi que mes cheveux. 5 autres se posent sur mes lèvres que je ferme pour ne rien avaler. Il branle encore sa queue et les dernières gouttes tombent sur mon menton. Avec son index, il ramasse son jus qu’il approche de ma bouche.
- Ouvre !
Je refuse.
- Ouvre.
Je n’obéis pas ! Il me menace une dernière fois.
- Je te fous comme ça dans la rue si tu ne l’ouvres pas.
Je finis par ouvrir la bouche et il fait glisser le sperme sur sa langue. Ça s’amasse et quand il me dit d’avaler, je m’exécute et j’avale son sperme qui a un goût sucré et très fort. Je fais une grimace ce qui l’amuse.
- Tu es une bonne salope... et je n’en ai pas encore fini avec toi !
Il va chercher un truc dans son sac... il en sort des godes qu’il sur une table... et je blêmis. Un est vraiment énorme.
- Tu vas pas me mettre ça dans le cul ?
- Ta gueule !
Je veux protester. Ma bite se ramollit. Voyant ça, il vient vers moi et rapide comme l’éclair, il me met une cage de chasteté et il ferme tout. Je sens ma bite bien serrée dedans. Il me libère de mes chaînes et il me retourne sur le dos.
Il saisit un tube de gel et il en met sur mon trou. Je tressaille. Il introduit alors quelque chose de froid... c’est un gode. Il est assez petit et assez fin. Je ressens une gêne... mais pas de douleur. Il l’enfonce lentement. Il va au fond et il commence à me travailler. Puis, il le sort. Il en prend un autre et il le met sur mon trou. Celui-ci a plus de mal à passer. Je sens l’objet m’écarter le trou. Je me mets à gueuler bien que le black l’y mette lentement. Cependant, mes cris ne l’arrêtent pas. Une fois entièrement en moi, il commence de longs va-et-vient. Ma douleur se transforme lentement en plaisir et je me mets à gémir. Il accélère alors le rythme. Il me gode ainsi pendant 10 minutes. Puis, il le ressort et il met l’énorme gode qui trône sur la table, je dirais un truc genre 25x6. Il insère le gland dans mon trou mais la douleur m'envahit déjà. Je me retourne et je vois le black, la bite à la main, cuisses écartées, en train de prendre son pied tandis qu’il enfonce le faux pénis dans mon cul. Les dents serrées, le souffle coupé, je me dis alors que le plus dur est passé. Il continue d’enfoncer lentement le gode. Je cris de douleur :
- Arrête, j’ai trop mal !
- C’est pas toi qui décide, salope ! Tu obéis et tu fermes ta gueule !
Il continue de pousser lentement et je tâte le gode... je peux sentir que la moitié est dans mon cul. Je le sens en moi et je suis certain qu’il n’ira pas plus loin, mon trou vierge est trop serré. Il continue pourtant, il force, le gode rentre un peu plus. Heureusement qu’il prend son temps pour que je m’y habitue. Et au bout de quelques minutes, me voilà empaler sur le gros gode dont je sens le gland encastré dans mon ventre. Le black me gode ainsi pendant 10 minutes, Puis, il le retire après quelques minutes. Mon cul est largement ouvert.
Et d’un coup, il m’enfonce sa queue en entier, brutalement. Il commence alors ses va-et-vient. Il tape fort ! Puis ses gros bras musclés m’entourent et il me soulève comme si j’étais une brindille, sa queue toujours en moi. Il me plaque contre son corps et il se met à me faire monter et descendre sur sa bite. Il rigole en voyant ma petite bite monter et descendre sous ses coups de pilons.
- Comment tu peux contenter ta meuf avec une si petite queue !? Vois ce que c’est un vrai mâle !
Je me sens complètement transpercer par cet énorme morceau. J’en ai les larmes qui me montent aux yeux. Et malgré ce traitement qu’il m’inflige, ma queue se met à durcir. Ma bite, emprisonnée dans la cage de chasteté, commence à me faire souffrir.
Le black me pilonne le cul. Ensuite, il me fait assoir contre le lit, il enfonce sa bite dans ma bouche et il la baise comme si c’était une chatte. Les trois quarts de sa queue disparaissent dans ma gorge. Il se défoule dans ma bouche ... ce qui semble beaucoup lui plaire ! Puis, il me jette sur le lit. Ensuite, il reprend la baise de mon trou. La cadence augmente toujours plus. Le plaisir orgasmique fait place à la douleur. Ma queue est en demi-molle mais je sens un plaisir inconnu m’envahir. Je comprendrai plus tard que la grosse teub de black me massacre la prostate. Et soudain, ma queue se met à gicler du sperme. Je gémis fort, j’ai un orgasme tel que je n’en ai jamais eu. Le mec continue de me baiser. Il augmente même en rapidité. Mon anus est ouvert par cette énorme queue.
Le mec est super endurant. Il me baise pendant une vingtaine de minutes encore... ses coups de bite son profonds, rapides, sauvages. Je me fais pilonner et je gueule de plaisir. Parfois, il passe son bras autour de mon cou pour m’étrangler. Et bizarrement, je kiffe. Ou parfois, il plaque sa main sur l’arrière de ma tête qu’il enfonce dans les oreillers, m’empêchant de respirer pendant quelques secondes.
Dans un ultime coup de rein, il se plaque au fond de mes entrailles où il lâche une quantité gigantesque de sperme. Je sens sa queue lâcher son jus telle une fontaine.
Il sort de mon trou et je sens immédiatement le sperme couler en dehors de mon anus, dévaler mon périnée, sur mes couilles et dans ma cage de chasteté. Le contact de son sperme sur ma bite me fait bander à fond. Heureusement qu’il m’enlève la cage. Ma queue bande à fond. Elle n’a rien perdu de son érection. Je touche mon anus, il est béant, gluant...
Jordan se met à me taper doucement les couilles... puis un peu plus fort. Il m’enfile alors un ball stretching. Il s’amuse à distendre mes couilles qu’il recommence à torturer. Puis il vient derrière moi et il se met à m’étrangler à l’aide de son puissant bras. Et bizarrement, je bande encore plus dur ! Je sens sa queue raide dans mon dos.
Ensuite, il se met devant ma bouche et il m’oblige à lui téter sa queue comme un biberon. Puis, il se met à se branler et il me jute 10 gros jets dans la bouche. Soumis, je lui montre le résultat.
- C’est bien ! Tu es une bonne grosse pute ! Tu sais maintenant où est ta place !
Il me fout une baffe de félicitation. J’avale son divin nectar qui est très goutu. Un peu de jus est tombé sur mon menton. A l’aide de ses grands doigts, il le fait couler sur ma langue. Ses doigts me pénètrent ma bouche et il commence à les faire entrer et sortir... et moi, je les suce comme j’ai sucé sa bite ! Puis il les ressort. Sa queue pendouille toujours devant ma bouche. Je crois que je suis devenu accroc à cette bite... car je l’enfourne dans ma bouche de nouveau. Le black me met une baffe en souriant et tout d’un coup, je sens un jet chaud sortir de sa bite et atterrir directement dans mon œsophage ! Le mec me pisse dans la bouche ! J’essaie d’avaler docilement. Mais ma bouche se remplit et le mec sort sa queue. Mais il continue de pisser... sur mon dos. Quelle sensation incroyable !
- Tu aimes ça, petite salope ! Tu es encore une plus grosse pute que ta femme !
La pisse dégouline partout sur mon corps, mon cul. Je me retourne et le black se décharge sur mon corps. Moi, je me branle et je jute immédiatement sur mon ventre. Mon sperme se retrouve évacuer par la pisse. Quand le black s’arrête de m’arroser, il se relève et se rhabille.
- Je reviens dans une semaine et je vais bien m’occuper de toi !
- Mais je bosse...
- Démerde-toi ! D’ici là, interdiction d’enlever le ball stretching !
- Quoi ? Et je vais dire quoi à ma femme ?
- Pas mon problème, salope !
Et il disparait de la maison, me laissant trempé dans son sperme et dans sa pisse...
Merci à Olivier pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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