Chapitre 1
Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.
En ce moment, ma vie sexuelle est explosive. Tous les jours j’ai un amant différent dans mon lit : le lundi, c’est Claudio (mon black monté 22 cm), le mardi c’est Jo (mon céfran monté 19 cm), le jeudi, c’est Abdel, le samedi et le dimanche, Yannick et je vois deux fois par semaine mon daddy Eric. Mais je sens que ma vie sexuelle bien remplie va bientôt prendre fin.
En effet, un soir, je remarque que ma sœur a essayé de m’appeler plusieurs fois et que je devais la rappeler, c’est important... ce que je fais et elle m’annonce après les formalités d’usage genre « Ça va ? », « Commence se passe la fac ? »:
-Dis-moi, Thomas va venir faire un stage sur Toulouse. Tu pourrais l’héberger pendant 2 ou 3 semaines? Sûrement pas plus.
Il faut savoir que Thomas est le fiancé de ma sœur. Et là, je suis dégoûté... fini la liberté pendant 3 semaines ? Je ne vais pas pouvoir recevoir mes amants pour me faire baiser. Surtout que je la connais... « sûrement pas plus » signifie que ça pourrait durer plus longtemps que ça ! Mais que faire ? Quelle raison évoquer pour refuser ? L’appartement que mes parents paient est assez grand pour 3 personnes ! Je ne trouve pas d’arguments... et je réponds à contre-cœur :
- Bien sûr, pas de soucis.
Elle me remercie, je n’écoute pas son baratin et je lui dis finalement que je dois continuer mes révisions. Elle veut me faire parvenir dès demain par mail tous les détails etc. J’abrège et je raccroche. Je suis dégoûté. C’est la fin de ma tranquillité, j’en suis sûr... Je suis bien énervé, je ne vais plus pouvoir continuer de baiser comme je veux (je suis vraiment devenu accroc au sexe !).
Le jour avant l’arrivée du beau-frère, j’ai fait venir Éric... mon daddy. On baise toute la nuit, je profite de mes derniers instants de sexe avant une abstinence certaine... et le lendemain je dois renvoyer Éric chez lui pour nettoyer l’appart avant l’arrivée de Thomas, mon beau-frère. Selon ma sœur, il devrait arriver sur les coups de 14h.
Il est ponctuel. Je lui ouvre la porte, il m’embrasse chaleureusement et je lui fais visiter l’appart. Il prend ses affaires, je lui montre le canapé où il dormira, je lui ai fait une place pour ses affaires. Il semble satisfait et me remercie de l’accueillir : « C’est plus sympa que l’hôtel ». « Et moins cher », je me dis... Il faut savoir que Thomas est assez grippe-sou.
Laissez-moi vous le décrire. Il est de taille normale, brun, la peau un peu bronzée, les cheveux coupés en brosse. Il a 30 ans. Sa carrure est aussi normale. Sa chemise laisse entrevoir un torse poilu, tout comme ses bras. Il ne porte pas de barbe. Il n’est ni beau ni moche.
La journée se passe bien, on regarde un film sur Netflix et le soir, on mange un bœuf bourguignon que je nous ai concocté. Par contre, il ne m’a pas aidé. J’espère qu’il ne pense pas que je vais être sa boniche pendant 2 semaines. Avant d’aller au lit, il passe à la douche. Et il en ressort complètement nu ! Mon regarde se pose alors sur son engin... dont je ne peux en détacher le regard. Puis... pour sauver les apparences, je fais genre que je suis choqué qu’il se permette ça... En voyant l’expression de mon visage, il me lance :
- Fais pas cette tête, tu dois en voir pas mal de grosses bites au rugby dans les vestiaires.
- Non, c’est que...
- Je dors à poil, Nico ! Fais-toi y. Ou sinon tu me laisses ton lit et tu ne me verras pas en tenue d’Adam.
- Non, c’est bon. Je vais dormir. Bonne nuit.
Je me précipite hors du salon, le laissant faire le lit seul... car je commence à bander ! Il a un python entre les jambes ! Déjà qu’il a un corps vraiment pas mal... avec un petit ventre qui pointe le bout de son nez et un corps bien poilu. Son ventre est à moitié recouvert de poils, son pubis et ses couilles sont très velues. Je me remémore la scène... Sa queue pendait entre ses jambes... on avait l’impression qu’il en avait une 3ème ! Elle devait bien faire la moitié de la longueur de son avant-bras. Elle pendait et se balançait à chaque fois qu’il faisait un pas. Il a une bite et des couilles très foncées.
Je vais me coucher, je me branle en essayant de ne plus penser à ce monstre ! Thomas est quand même le fiancé de ma sœur. Et je ne pense pas qu’ils se doutent que je sois gay.
Le lendemain, je me lève, je vais me doucher à 6h car il faut que je sois à la fac à 8h. Au moment de me sécher, Thomas rentre dans la salle de bain et se met à se laver les dents.
- Dis, tu vois pas que la place est occupée ?!
- Oh, détends-toi ! Tu as peur de montrer ta petite quéquette ou quoi ?
- Non ! Mais j’aimerais que tu respectes mon intimité.
- Me les casse pas, je suis en retard. Sors maintenant au lieu de faire ta mijaurée.
Je sors en bouillant. Ça va mal se passer s’il continue comme ça...
Le soir, je rentre à 19h du rugby et je le trouve affalé sur le canapé devant la télé. Il me lance :
- Alors, on mange quoi ?
- Je sais pas, t’as qu’à cuisiner !
Je vais dans ma chambre et je m’enferme. J’écris à ma sœur que je ne vais pas tenir 2 semaines avec un comportement comme ça. Deux heures plus tard, la faim le pousse à se commander une pizza. Il vient me chercher et s’excuse de son comportement. Je marmonne que ce n’est pas grave et on mange. Puis je vais au lit, car je suis fatigué. Avant de quitter la pièce, même jeu qu’hier soir. Il va se doucher et se pointe nu, je vois alors une nouvelle fois sa trompe. Mais je détourne le regard. Il faut que je reste hétéro à ses yeux.
Le lendemain, le réveille me sort de mon sommeil. Et je sens quelque chose de bizarre... Genre une odeur de sperme... Je suis désorienté... je cherche d’où ça peut venir et c’est en me passant la main devant la bouche que je trouve du sperme à moitié séché au coin de mes lèvres et dans le cou. Je me dis que j’ai dû me branler cette nuit... surtout après avoir vu la trompe de Thomas. Je prends un mouchoir et me débarbouille avant de me précipiter dans la salle de bain. La cohabitation avec mon bof se passe plutôt bien le soir.
Par contre, le lendemain matin, je me retrouve avec du sperme, cette fois sur le torse, la joue... et ma bouche a aussi goût de sperme. Je me demande si j’ai une éjaculation nocturne... ou si Thomas... non ce n’est pas possible !
Le soir, je décide de m’endormir sur le ventre... il ne devrait rien se passer. Le lendemain, mon visage ne porte pas de trace de jus... mais ça sent le sperme quand même dans ma chambre. Je sens une gêne dans mon dos ... comme si... je touche et en effet, j’y trouve des traces de sperme. Je suis dégoûté et je commence à pester contre lui ... mais d’un coup, l’image du monstre de Thomas me revient en tête... et ma bite se dresse d’un trait. Je me branle, je jute... puis j’ai honte... c’est quand même le fiancé de ma sœur.
Le soir suivant, je décide de mettre mon ordi portable en mode enregistrement vidéo... et je me réveille le lendemain, la bouche pâteuse qui me semble... remplie de sperme. Je prends mon portable et regarde. Une heure après que je me suis couché, je vois en effet Thomas, nu, entrer dans ma chambre, se mettre debout à côté de moi. Il me touche le visage, va me chercher la bite et me la branle un peu. Il passe sa main sous mon t-shirt. Et on voit à l’écran sa trompe gonfler... elle gonfle, elle devient aussi longue que son avant-bras. Elle ne semble pas être très dure... mais elle est presque aussi longue que sa cuisse ! Plus de 30 cm, j’en mettrais ma main à couper ! Et elle est tellement épaisse qu’il ne peut pas en faire le tour complet d’une main. Ses couilles sont aussi grosses que des mangues ! Il se met à se branler et d’un doigt, il m’entrouvre les lèvres. De temps en temps il passe son gros gland sur mes lèvres mais il n’essaie pas de l’enfoncer. Au bout de 10 minutes de branle, il m’entrouvre de nouveaux les lèvres et sans un gémissement il jouit... je n’ai jamais vu ça ! Les deux premiers jets sont énormes et disparaissent de l’autre côté de mon lit, sur le sol. Il oriente sa bite vers mes lèvres, mais le troisième jet ne m’atteint pas... il va se perdre quelque part dans le lit. Trois autres suivent, ils vont moins loin mais plus haut et ils atteignent ma joue, mon torse ou mon cou. Le reste, moins puissant, va se perdre dans ma bouche... Six jets au total viennent s’y loger. Sa jouissance dure presque 40 secondes. J’ai un réflexe, je passe ma main sur mon visage et j’ai l’air d’avaler le doux nectar et de me régaler. Je pose un soupir de satisfaction et ma respiration de dormeur reprend. Je regarde par terre et je suis choqué. Je vois en effet des traces de sperme séchées sur le sol. Presque invisible quand on ne se doute de rien. Je suis choqué... mais j’ai la trique. Je me branle en me repassant la vidéo et j’éjacule en moins d’une minute. Et une idée me vient... je ne vais rien dire pour le prendre en flag la nuit prochaine.
La nuit suivante, je ne dors pas et je le vois comme la veille rentrer dans ma chambre. Je fais semblant de ronfler. Il n’y voit que du feu. Je n’ai aucune couverture sur moi et je suis nu. Repensant à la vidéo et aussi à ce qu’il était en train de faire, j’ai déjà une demi-molle. Je l’entends se toucher la teub tandis que de l’autre main, il caresse mon corps... ce qui me fait maintenant bander à fond. Sûrement surpris mais ravi par le spectacle, il me prend la bite en main et commence à me la branler délicatement. Je l’entends maintenant se branler et comme la veille, d’un doigt, il m’entrouvre la bouche et me passe son gland sur les lèvres... mais cette fois je fais genre dans un ronflement d’ouvrir ma bouche en grand. Il se fige puis met son gland sur ma langue. Il est tellement large qu’il remplit ma bouche... et là je referme délicatement la bouche. Il tressaillit mais il reste dans ma bouche... il commence alors à donner des coups de rein et son gland va chercher le fond de ma gorge. Toujours les yeux fermés, je fais un mouvement de main, il continue de me baiser la bouche et je prends son engin en main qui n’arrive pas à en faire le tour. Conscient de mon consentement, il donne des coups de bite plus forts, il l’enfonce de plus en plus profond, ma bouche est ouverte au maximum pour laisser passer ce monstre, j’en ai déjà mal à la mâchoire. Sa queue tape le fond de ma gorge. Elle entre de plus en plus loin à chaque mouvement dans mon gosier. Heureusement que je suis assez endurant de ce côté-là. Ma bouche doit s’ouvrir au maximum pour encaisser ce morceau. Je sens des quantités monstres de précum couler dans ma gorge. Sa queue doit être aux deux tiers dans ma bouche, je tressaute à chaque coup de rein, bavant de partout. Mes yeux pleurent sous la force des coups de reins dans mon gosier. Je sens au fur et à mesure qu'il me tape le fond de gorge un réflexe vomitif que j’essaie de contrôler... J’ai l’impression que mon estomac se tort comme une serpillère. Thomas me défonce le gosier. Je supporte, tout excité. Il enfonce sa teub de plus en plus profondément. Cette queue rigide qui se glisse dans des va-et-vient rapides et profonds me donne une trique d’enfer... j’en ai mal à la bite. Je sens alors sa bonne odeur de mâle, mon nez se rapprochant de ses poils. Elle m’enivre et me rend encore plus docile. Il s’enfonce de plus en plus. Je pourrais presque toucher ses couilles. Mais à ce moment-là je sens sa queue se raidir, son gland gonfler... et là, c’est l’explosion... un gros jet gicle dans ma bouche. Puis un deuxième et un troisième. Sa queue se contracte à chaque fois dans ma gorge pour expulser son sperme. Une dizaine de jets viennent me la remplir. C’est une vraie fontaine ! C’est vraiment une énorme quantité qui coule dans mon gosier. Un sperme liquide, chaud et goûtu. Il se retire quand son orgasme est terminé et une trainée de sperme coule encore de sa teub sur ma langue.
Il quitte ma chambre sans dire quoi que ce soit. Je suis effaré par ce viol buccal et par son comportement. Je me branle et je jouis très vite, je m’endors tout en me demandant comment va se passer le séjour avec lui.
Le lendemain matin, je ne le vois pas. Moi, je pars tôt pour la fac. Mais quand je rentre en fin d’après-midi, je le trouve assis sur le canapé...nu...
- Je t’attendais, Nico. Il est temps que tu t’occupes de moi. Viens à côté de moi.
Je m’assois à l’autre bout du canapé et je reste silencieux. Il se triture la teub et les couilles et me demande :
- Comment trouves-tu ma queue ? Elle t’a plu ? (Je ne dis pas un mot) Tu ne vois pas de quoi je parle peut-être ? (Je ne dis rien) Tu sais, il y a peu de personne que je connais qui encaisse une bite comme la mienne. Je crois que tu as de l’expérience dans ce domaine. Allez, viens vers moi, fais pas ton timide.
Voyant mon manque de coopération, Thomas s’approche de moi et me met sa main sur sa teub. Elle est bien épaisse et lourde, elle est impressionnante même au repos... et elle commence à grossir. Malgré le désir, je me dégage et lui dis :
- Tu es fiancé à ma sœur ! Et tu veux la tromper avec ton beau-frère ? Tu devrais avoir honte... moi, je peux pas faire ça.
- Je te croirais presque... si tu ne bandais pas !
En effet, au contact de sa queue, la mienne s’est tout de suite dressée. Il passe alors ses mains dans mon dos et se colle à moi. Je peux sentir sa grosse bite bien dure contre ma cuisse. Il se met à respirer très fort et se frotte à moi tout en me disant :
- Allez à genoux, elle est à toi !
Soudain, il prend ma main et la conduit vers son énorme bâton. A l’aide de sa main, il force la mienne à le branler. Mes dernières résistances lâchent et je le branle avec énergie. Voyant cela, il me pose ses deux mains puissantes sur les épaules et dirige ma bouche vers sa belle bite. Je n’oppose aucune résistance et je me retrouve à quelques centimètres de son chibre. Je sens les effluves de mâle, des restes de transpirations, mélangés à de la pisse... ce qui ne me dérange pas. Il entre son gros gland entre mes lèvres que je gobe avec appétit. Je commence à le sucer et il pousse des gémissements. Je me recule et j’admire cette grosse bite. C’est la première fois que j’ai un si énorme chibre entre les mains. Son gland rose est aussi gros qu’un abricot. Il se trouve au sommet de cet anaconda qui lui sert de bite. Elle est épaisse, toute brune, veinée. Elle surmonte ses grosses boules velues qui sont elles aussi très foncées... et énormes ! Aussi grosse que des mangues ! Je les caresse et les lèche. Puis je reprends sa teub en main et la branle tout en suçant le gland.
Mais ça n’a pas l’air suffisant... il me prend la tête et essaie d’enfoncer sa teub plus profondément dans ma bouche. Il continue sa progression doucement jusqu’à buter au fond de ma gorge. Puis il la sort et me remet dans la bouche son énorme morceau de chair qui est devenu dur comme du bois. Moi, docile, je me laisse faire et il va encore plus profondément. Il donne un grand coup de rein et sa queue coulisse dans ma bouche jusqu'à la glotte. Je le sens alors déboutonner mon short de son autre main et glisser sous mes boules à la recherche de mon trou. Son gland me touche le fond de la gorge... puis s’enfonce encore plus loin. J'ai par deux fois des hauts le cœur. Je tâche de bien encaisser son traitement ! Il arrête son mouvement et me libère la bouche. J’ai juste le temps de reprendre mon souffle... qu’il me l’y remet. Il pousse encore et encore, son gland passant ma luette et pénétrant ma trachée qui se contracte sur sa queue. Je dois bien avoir 2 tiers de sa teub en moi. Je sens son précum couler dans ma gorge. Et tout en m’obligeant le sucer, il caresse mon trou de ses doigts en jouant avec ! Il s’enfonce encore plus loin dans mon gosier. Puis il se met à me baiser la bouche. Il me la met bien au fond de la gorge, allant toujours de plus en plus loin à tel point que ses couilles claquent contre mon menton. Mais d’un coup, il appuie de toutes ses forces derrière ma nuque pour faire passer sa teub en entier. D’un coup elle y rentre, j’ai un haut le cœur et je tente de m'extirper de son emprise mais il me bloque, ma bouche est complétement fermée par sa bite et rien ne ressort de ma gorge. C’est comme si mes lèvres allaient se déchirer. En plus, ses couilles s'écrasent sur mon visage ! J'émets un bruit d'étouffement et il ressort entièrement, je vois beaucoup de bave reliant ma bouche à sa queue. J'avale de l'air ... et je reçois dans la foulée sa teub à nouveau à fond et profondément. Le passage de ma luette fait à nouveau se contracter ma gorge et un flot de salive envahit ma bouche. Il ressort et la salive coule sur mon visage. Il recommence de plus en plus vite. Puis il entame alors de long va-et-vient, chaque coup de rein me fait baver de partout, j’ai des larmes aux yeux. Je sens sa bonne odeur de mâle quand il me fait plonger mon nez dans ses poils. Sa queue n’est sûrement pas loin de mon estomac ! Il me démonte la bouche et la gorge pendant que j'étouffe, il me retient, puis me libère, puis reprend sa séance de limage de bouche pendant au moins 10 minutes. Il me nourrit de sa mouille abondante et âpre qui passe directement dans mon œsophage. Je sens à chaque fois son gland écarteler ma gorge.
Dans un ultime coup de reins, Thomas fait entrer sa bite encore plus loin qu’il ne l’a fait, me coupant entièrement la respiration, pousse un cri bestial et éjacule au fond de mon estomac. Cela dure beaucoup de temps, il y a tellement de sperme que j'ai l’impression qu'il pisse. Je manque de m’étouffer le temps qu’il retire sa bite. J’ai compté une dizaine de longs jets puissants que je n’ai pas eu d’autre choix que d’avaler. Il a vraiment une grosse production de semence. A la fin, je suis couvert de bave, de sperme qui dégouline encore de sa teub. Je branle ma bite pendant 10 secondes... et l’excitation aidant, j’éjacule des tonnes de sperme qui volent un peu partout. Il me dit :
- Tu as apprécié, n’est-ce pas ? Tu es une vraie salope en fait ! Personne n’a jamais réussi ce que tu viens de faire ! A partir d’aujourd’hui, tu viendras chercher ta dose tous les jours. Pendant 2 semaines, tu m’appartiens exclusivement !
Je n’ose pas protester. Il se dirige vers la salle de bain en disant :
- La prochaine fois, tu auras ma teub dans ton cul !
Je suis horrifié ! Jamais ça ne passera... mais... quoique... putain... il va m’ouvrir et me défoncer comme personne ne l’a fait.
Je suis mélangé entre la peur et l’excitation...
Le lendemain de cette baise buccale, je me réveille sans trace de sperme sur moi. Thomas n’est donc pas venu me souiller. C’est le week-end, aucun de nous ne travaille, je lui demande ce qu’il veut faire. Il a quelques trucs à finir pour le boulot. Je suis content, j’écris à Éric, mon daddy, et je vais le voir. On baise sauvagement puis je rentre vers 15h pour voir si Thomas veut sortir. Quand je rentre, il est encore penché sur son ordinateur, je passe donc dans ma chambre pour réviser. Au bout d’un instant, il rentre dans ma chambre et... me met une baffe !
- Tu pues le sexe ! Tu es allé baiser, c’est ça ?! Je t’ai dit que tu m’appartenais pendant le temps que je suis ici ! Je me doute que tu es une belle pute et que tu attires les mecs dans ta chatte ! Mais elle m’appartient exclusivement pour les prochaines semaines !
Il me met une autre baffe, me jette sur le lit, s’assoit sur moi, me prend par la gorge d’une main tandis qu’il ouvre son pantalon de l’autre. Sa queue en sort comme un anaconda, comme si elle se glissait hors de sa braguette.
- Ouvre ta bouche !
Je refuse, je ne veux pas prendre part à son petit jeu de psychopathe ! Il me met alors une baffe.
- Ouvre, je le répéterai pas !
Il prononce ces mots, menaçant, en me mettant une autre baffe. J’ouvre alors la bouche à contre-cœur et son python s’y faufile. J’ai tout de suite la bouche pleine. Il se positionne au-dessus de moi et commence à enfoncer son pieu dans ma gorge. Il prend moins de précaution qu’hier, il y va plus franco. C’est la troisième fois, donc ma bouche commence à prendre le coup... Puis il sort sa teub et me la remet ! Je le sens alors déboutonner mon short et caresser mon trou. Son gland me touche le fond de la gorge... puis s’enfonce encore et toujours plus loin dans mon gosier. Je dois bien avoir 2 tiers de sa queue en moi. Je sens son précum couler dans ma gorge. Il va en rester là. Il se relève et je le regarde. Sa bite est impressionnante ! Il bande comme un dingue et sa teub est si grosse qu’elle atteint les poils de son torse ! Il n’aurait qu’à se pencher pour sucer son gland.
Il me soulève et me jette sur le lit. Il m’ordonne de me mettre à quatre pattes... je sais ce qui m’attend.
- C’est du sperme qui coule de ton cul !? Tu es allé baiser avec un autre et il t’a fécondé ! T’es une vraie salope ! Mais tu es déjà bien lubrifié et préparé à ce que je vois... Tu vas me recevoir en toi.
Il positionne son gland sur ma rosette... et un grand coup de rein m’arrache un cri, il vient de faire rentrer son gland en entier dans mon cul. Ce n’est que le gland mais j’ai l’impression que mon cul va exploser. Faisant plus doucement, il enfonce petit à petit son engin plus profondément. Puis il ressort et re-rentre. Mes sphincters le laissent passer peu à peu pour ensuite se resserrer autour de son sexe... puis il se recule. Et il revient à nouveau, répétant son manège plusieurs fois. Son sexe s'enfonce toujours plus profondément. Il se penche sur moi en accélérant son rythme. Je le sens de plus en plus profond en moi. Je pousse des cris de douleur à chaque nouveau de coup de reins, mais lui continue à m'imposer son désir, tellement fort à chaque coup que sa grosse paire de couilles rebondit et retentit sur mes petites fesses tendues. Il ressort puis reprend sa progression dans mon cul. Centimètre après centimètre je sens mon cul s'ouvrir de force sous la poussée de son énorme queue. Il appuie sur ma prostate. Le tout est à la fois douloureux et agréable. J'imagine le spectacle de cette bite énorme disparaissant lentement dans mon petit trou dilaté. J’ai l’impression que mon ventre se remplit, gonfle sous sa teub qui s’enfonce.
Les derniers centimètres de sa queue s'enfoncent en moi et ses couilles viennent buter contre mes fesses. Ce gland est maintenant encastré dans mon ventre. Thomas reste immobile pendant quelques secondes encore puis se retire. J'ai l'impression que tout l'intérieur de mon ventre se retire avec lui. Mais d’un coup, il me renfonce sa queue en entier, cette fois beaucoup plus brutalement. Il commence alors ses va-et-vient.
Ses couilles claquent sur mes fesses à chaque mouvement. Sa queue dilate considérablement mon rectum. Je me cramponne à l'oreiller pour résister à ses coups de butoir. Je ne ressens plus que du plaisir maintenant. Tout son corps se démène sur moi, il me pilonne littéralement. Sans déculer, il me renverse sur le dos, met mes jambes sur ses épaules et continue à me pilonner... puissamment, retirant presque sa queue à chaque fois, et laissant retomber son bassin pour mieux me démonter. On ne m’a jamais baisé comme ça. Quand il ressort j’ai l’impression que mes entrailles vont sortir, et quand il rentre, son glaive va jusqu’à mon estomac. Il percute ma prostate à chaque fois qu'il me pénètre... ce qui me fait gicler de gros jets sur mon corps.
- Salope ! Tu m’as fait mal ! Incroyable comment ton orgasme a serré ton cul !
Le mec est très endurant. Moi, je ne perds rien de mon érection. Il me soulève sans quitter mon cul et me remet à 4 pattes. Il martèle mon cul de plus en plus vite. Je gémis de plus en plus fort. Il se couche sur moi. Il se met lui aussi à quatre pattes et me recouvre complètement. Je sens ses poils frottés contre mon dos. Je ne sens plus que mon cul explosé par ses coups de queue, mes fesses et mes cuisses martelées par ses couilles à chaque coup de rein. Il est super endurant. Il me détruit le cul pendant bien 30 minutes... sans en sortir. Je ne sens plus rien en moi... je ne suis qu’un pantin entre ses mains, qu’un jouet sexuel qu’il utilise pour assouvir ses besoins. Il n'a aucune pitié pour ce trou distendu. Je n’ai plus de prostate, elle est broyée par ce python... et alors je jouis une deuxième fois sans me toucher. Sa queue ravageant toujours mon anus, mes sphincters souffrent pendant l’orgasme. Lui serre les dents, la pression sur sa queue est trop forte, il gueule et je sens son orgasme en moi. Sa queue expulse des tonnes de sperme, je la sens travailler... et tout atterrit dans mon ventre. Une dizaine de gros jets puissants sortent de sa teub et viennent se loger dans ma chatte. Une quantité énorme de lait ! Il n’a rien perdu de son érection, il continue de me baiser. Et son jus coule sous la pression de sa teub hors de mon trou. Il dégouline le long de mon périnée et tombe sur le lit et sur le sol. Une flaque se forme. Le jus ruisselle de mon cul et tombe avec de gros plouf dans cette mare. Ses couilles projettent aussi une partie du ruissèlement sur mon ventre, sur mon dos, sur le lit... Il finit par ressortir de mon cul qui est baigné dans son sperme chaud abondant. Mon anus tente de se refermer... mais il semble rester ouvert et béant. Je m’effondre sur le lit, exténué... et lui quitte la pièce.
Pendant toute la journée, nous ne parlons pas beaucoup. Le soir, on se commande des pizzas et on se regarde un film sur Netflix que je ne suis pas beaucoup. A la fin du film, il va se doucher comme tous les soirs. A un moment, il m’appelle, me disant qu’il a cassé quelque chose. J’y vais, un peu énervé. En ouvrant la porte, je le vois devant moi, souriant, la bite bandée à la main.
- Allez, fais pas la gueule. Viens dire bonjour à mon anaconda. Il te plait, je le sais.
Je suis hypnotisé par sa bête... elle est énorme... gonflée à bloc, avec les veines saillantes. Son petit ventre surmonté de poils et son pubis me plaisent... il me sourit et me fait signe de venir vers lui. Je m’approche, tout comme hypnotisé. Je me mets à genoux devant lui et je m’approche de sa teub. Je la prends en main et la sens. Elle sent le gel douche... mais son odeur de mâle ressort. Je masse ses énormes couilles velues et je me mets à les renifler. Je sors ma langue et les lèche. Je le regarde : il me sourit et apprécie ma soumission. Je remonte et passe ma langue le long de sa queue et je prends son énorme gland sur ma langue. Je ferme la bouche autour de son gland et me mets à la sucer. Il pousse un gémissement. Encouragé, je l’enfonce un peu plus loin dans ma bouche. Je continue et son gland touche ma gorge. J’ai déjà la moitié dans ma bouche. Je commence à avoir la technique. Je suce son énorme bite mais il me prend la tête avec ses mains et enfonce son chibre encore plus profondément. Les deux tiers sont rentrés. Puis il me lâche et j’essaie de le sucer... mais le réflexe vomitif me le fait ressortir. Je le reprends en bouche et le suce avec la moitié de sa teub en moi. Il me reprend la tête d’une main et m’oblige à avaler son chibre. J’ai presque tout en bouche, je sens sa grosse trompe en travers de la gorge. A l’aide de sa deuxième main avec laquelle il empêche tout mouvement de recul, il me fait faire une gorge profonde... j’ai sa queue tout en moi et le nez dans son pubis qui sent déjà le mâle. Puis il me relâche et je déglutis, reprenant mon souffle. Il me tend de nouveau sa teub et je la suce mais je ne réussis pas à tout prendre en bouche. Je la ressors et me mets à lécher ses grosses couilles. Je le suce pendant une dizaine de minutes, il me fait de temps en temps des gorges profondes. Puis il se branle au-dessus de ma bouche ouverte et dans un cri de jouissance, il libère un flot de sperme composé de 7 éjaculations bien épaisse qui inonde ma bouche, mais aussi mon visage, mes cheveux, mon torse... son foutre est abondant et épais. J’avale tout d’une traite. A l’aide de sa bite, il ramasse le sperme sur mon visage et me la replonge dans la bouche. Je la suce et un reste de sperme coule encore de son gland. Il me relève, me pousse vers la bouche... et dans son élan, me prend la tête et me roule une pelle bien baveuse. Puis il s’en va sans rien dire. Je me douche et quand je sors de la salle de bain, il est déjà couché sur le canapé, lumières éteintes. Je me dirige à pas feutrés vers ma chambre. Je m’endors vite après cette journée assez « sportive » !
Au milieu de la nuit, Thomas me réveille en ouvrant ma porte et je le sens se faufiler dans mon lit. A mon grand étonnement, il me prend dans ses bras et me murmure à l’oreille :
- Jamais personne ne m’a laissé le baiser comme ça. Jamais personne n’a pu encaisser ma teub comme tu le fais, que ce soit dans la bouche ou dans le cul. Je ne sais pas de qui tu tiens ça mais malheureusement ta sœur n’en a pas hérité... Déshabille-toi stp.
Je m’exécute et il me doigte vite fait puis enfonce son gland en moi qui reste bloqué. Même s’il ne bande pas et que mon trou est encore bien ouvert de son traitement de l’après-midi, son gland est assez gros pour accomplir cet exploit. Mais à ma grande surprise, il ne veut pas me baiser.
- Reste comme ça, stp. Je veux qu’on s’endorme comme ceci.
Il dit ceci en me reprenant dans les bras et on s’endort ainsi. Après cette journée, je m’endors, exténué... mais un peu apeuré par ce qui m’attend...
A suivre...
J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des mails aussi pour me donner un retour. Précisez le titre de l’histoire.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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