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HISTOIRE

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Amis d’enfance

Salut,

Je m’appelle Nico, 35 ans, je suis blond aux yeux bleus. Un soir, alors que je sors d’un restaurant dans lequel j’ai passé la soirée avec des amis, j’entends mon nom être prononcé. Je me retourne, surpris, et je vois un jeune homme de mon âge. Hésitant, je l’observe : il est de petite taille, il a la peau bronzée, de couleur caramel, il a des cheveux courts et noirs, un visage imberbe et mignon. Il porte une boucle d’oreille en diamant aux deux oreilles.

L’obscurité n’aidant pas, je reste sans réagir. L’étranger reprend la parole :

- Nico, c’est moi, Rahul. On était ensemble à l’école. En primaire ! Et au collège ! Et on était assis à côté en cours de chimie en 4ème et 3ème.

J’ouvre alors de grands yeux et en effet, je reconnais les traits de mon pote Rahul, avec qui je m’entendais super bien. Je m’exclame :

- Rahul, quel plaisir !

Je lui tape la bise et je le regarde droit dans les yeux :

- En effet, je t’aurais pas reconnu. Mais tes yeux te trahissent, c’est bien toi ! Tu fais quoi, là ?
- Je rentre du boulot. Et toi ?
- J’étais mangé avec des amis.
- Tu peux pas savoir comme ça me fait plaisir. Tu as le temps d’aller boire un verre ?
- Bien sûr !

On se dirige vers un bistrot du coin. On entre, on commande une bière et je lui demande :

- Alors tu deviens quoi ?

Il me raconte alors qu’il est ingénieur chez Airbus, qu’il vit encore chez ses parents mais qu’il va bientôt se marier. Il a eu du mal à rencontrer des meufs mais ses parents ont fini par organiser un mariage arrangé et même s’il connait encore très peu sa femme, il est content d’être casé. Je l’observe en train de parler. Je bois ses paroles. Quand il a fini, je lui dis :

- T’as pas changé, en fait ! La coiffure peut-être. Ça fait remonter des souvenirs tout ça... Tu te rappelles du collège ? De Mme Mouraud, par exemple ?

Des souvenirs de notre temps au collège refont surface. Et pendant que Rahul parle, des sentiments remontent... Je le trouvais déjà au collège super beau. J’étais secrètement amoureux de lui. J’ai tenté à plusieurs reprises de lui avouer mon admiration et mon amour. Mais à chaque fois, j’ai eu peur des répercussions et j’ai abandonné l’idée.
On boit et on rigole bien. Le temps passe vite. Vers minuit, Rahul s’exclame :

- Merde ! Il est déjà si tard ! Faut que je rentre !

On paie les verres et on sort dans la rue. Je l’accompagne un bout de chemin. Je titube un peu, je dois dire que je suis assez pompette. Au détour d’une rue, ma cheville se tord et je manque de tomber. Rahul, rapide comme l’éclair, me rattrape et je tombe dans ses bras. Je lève la tête et je le regarde dans les yeux. Il me demande :

- Ça va ?
- Oui. Merci.

Je me redresse, sans le quitter des yeux. Mes mains, pour me redresser, ont pris appuis sur ses bras. Maintenant, elles ne les quittent pas... et elles passent doucement vers son torse que je caresse.

- Tu fais quoi, Nico ?

Sans répondre, je me précipite sur Rahul et je l’embrasse. Il se laisse faire ! Il répond même à mes baisers ! Je n’y crois pas ! Une de mes mains se met à caresser son bras nu. Mais en l’espace de quelques secondes, tout bascule. Il se redresse, il me regarde, horrifié, et ... il s’enfuit à toutes jambes. Pétrifié, je le vois s’éloigner. Je ne veux pas le rattraper. Je me sens mort de honte. Soudain, je vois un porte-monnaie par terre. Je l’ouvre : c’est celui de Rahul. Je le poursuis. Je remarque qu’il continue de courir... vers chez lui. Je sais où il habite. Quand j’arrive plus près de lui, je crie :

- Rahul ! Tu as perdu ton porte-monnaie !

Il s’arrête, se retourne. Quand j’arrive à sa hauteur, je prends la parole :

- Ton porte-monnaie a dû tomber !
- Merci, Nico.

Il le prend et il le fourre dans sa poche.

- Rahul ?
- Tu veux quoi ?
- Rien, je suis ...
- Va te faire foutre ! T’es une pédale, c’est ça !? Je m’en serais jamais douté !
- Ecoute-moi, je ...
- Va te faire foutre et laisse-moi tranquille ! Je te dis que je vais me marier et toi... tu fais ça ! Et si on nous a vus et ça vient à s’ébruter, tu sais ce que mes parents diraient ??
- Rahul, je suis désolé. Je me suis laissé submerger par mes sentiments. Je suis amoureux de toi depuis le primaire... C’est l’alcool...
- Quoi ? Depuis le primaire !?
- Oui. Ecoute, si tu veux parler de tout ça, voilà mon numéro.

Je lui tends ma carte de visite qu’il prend dans son poing.

- Dégage ! Tu m’emmerdes ! J’ai pas besoin de ça en ce moment !

Rahul repart en courant et je le laisse fuir. Une vague de tristesse m’envahit. Il me racontera plus tard qu’il avait eu peur de la réaction de sa famille car s’ils avaient su, ils l’auraient répudié. Sa famille est très conservatrice, elle est très à cheval sur les traditions hindoues et c’est déjà un miracle qu’il soit encore célibataire à 35 ans.

Quelques jours plus tard, alors que je suis au boulot, je suis surpris quand je vois un SMS que j’ai reçu d’un numéro inconnu. C’est Rahul : « Je m’excuse pour ma réaction. » Je réponds : « C’est pas grave, je comprends. ». Très vite, sa réponse arrive : « Non, j’ai pas bien réagi. Je savais pas pour tes sentiments. Si tu veux, on peut se voir pour parler. » Mon cœur s’emballe. J’écris un simple « Ok » comme réponse. « Pas en public par contre. » « Tu veux passer chez moi. » « Oui, ça serait mieux. » « Quand ? » « Ce soir ? » « Ok, 19h. » Je lui envoie l’adresse et je pose mon portable, songeur.

Le soir arrivé, je me mets sur mon balcon et je bois une bière pour me détendre. Je suis hyper nerveux. Je le vois arriver depuis le balcon. Je ne dis rien et je l’observe. Il semble vraiment hésiter. Puis, au bout de 10 minutes, il se met à sonner. Je lui ouvre et il monte. Il me tend la main que je lui serre. Je lui offre un truc à boire. Il me demande un verre de rouge. J’ouvre une bonne bouteille, j’apporte quelques trucs d’apéro et on trinque. Il prend la parole :

- Je suis désolé d’avoir réagi comme ça l’autre soir.
- Non, c’est moi. J’aurais pas dû t’embrasser... mais tu sais, la confusion causée par l’alcool... ainsi que le fait de te revoir... tout ça m’a submergé. Je suis désolé. Je n’aurais pas dû te faire part de mes sentiments, sachant que tu allais bientôt te marier.
- Je peux m’assoir à côté de toi ?

Je fais oui de la tête et il se colle à moi. Son bras et sa cuisse sont collés aux miens.

- Parle-moi de toi, Nico.
- Ben après le lycée, je suis allé à la fac, j’ai fait des études de lettres et maintenant je suis prof de français dans notre ancien collège.
- C’est pas vrai ?!
- Si et j’ai quelques collègues que j’ai eus en tant que prof quand on était élèves.
- C’est pas vrai !? Et qui ?

On continue de parler de mon boulot et on partage des souvenirs de notre scolarité, puis, il me demande si je suis avec quelqu’un :

- Non, je suis célibataire depuis 2 ans.
- Tu étais avec un mec ?
- Oui. Je suis homo. Je me le suis avoué à la fac. Ma vie a été plus facile après. Et toi alors ?
- Je bosse dans une société de consulting. Je m’occupe de l’informatique.
- Super ! Ici à Lille ?
- Oui.
- Et tu vis toujours chez tes parents ?
- Oui, tant que je ne serai pas marié...
- C’est ta première copine ?
- J’ai eu quelques copines, mais rien de sérieux. Ma famille est assez... compliquée... et comme je te l’ai dit, mes parents ont arrangé un mariage pour moi.
- T’as pas jamais de petits copains ?
- Non.
- Même pas de petites envies homos ?
- Je sais pas ...

Un silence s’installe entre nous. Et je me lance enfin :

- Rahul... j’ai envie de toi.
- C’est vrai ? Tu ne joues pas avec moi ?
- Non... dès l’école primaire, je suis tombé amoureux de toi.
- Pourquoi n’as-tu rien dit ?
- La peur de te perdre ? De m’avouer que j’étais homo ?
- Ok.
- Un simple ok ?
- Nico, je t’ai toujours beaucoup aimé...
- Mais ?
- Pas de mais... Je t’ai expliqué pourquoi c’était difficile pour moi.

Sans pouvoir résister, je l’embrasse tendrement. Cette fois, il ne me repousse pas. Il tremble un peu. Je lui demande :

- Tu es nerveux ?
- Oui...
- Je ne veux t’obliger à rien, Rahul.
- Je sais...

En disant cela, il se rapproche de moi et je le prends dans mes bras. Il se laisse faire. On se regarde droit dans les yeux. Il murmure alors :

- Embrasse-moi.
- T’es sûr ?
- Non...

Sa réponse arrive trop tard. Mes lèvres sont déjà sur les siennes et je l’embrasse tendrement. Il me rend mes baisers. Puis, il m’enlace, sa tête dans mon cou. Son bassin est posé contre ma cuisse... et je sens qu’il bande.

- Nico, j’ai envie de toi...
- Moi aussi, Rahul.
- Je veux que tu m’appartiennes.
- Quoi ?
- Dis-le.
- Rahul, je suis à toi.

Il pose sa main sur mon ventre qu’il se met à caresser. Puis, elle passe sous mon t-shirt. Il caresse ma peau, ses doigts jouent avec mes poils.

- La religion dit que l’homosex...
- Ne pense pas à tout ça...

Je lui enlève alors son t-shirt et son pantalon. Il se laisse faire. Je fais de même. On se retrouve en caleçon. Je l’admire. Il a un corps mince sans être musclé. Son torse est recouvert de poils noirs et drus, tout comme le milieu de son ventre.

Je me mets à caresser son magnifique corps. Il me demande :

- Je te plais ?
- Enormément... encore mieux que dans mes fantasmes...
- Tu as fantasmé souvent sur moi ?
- Depuis l’époque où j’ai commencé à me branler jusqu’à mon premier mec, je n’ai pensé qu’à toi !
- A quoi exactement ?
- A ce que je ferais si tu étais avec moi...
- Je suis avec toi maintenant... Montre-moi ce que tu m’aurais fait...

Le regard pétillant, j’obéis à Rahul. Je me baisse alors devant lui et mes mains parcourent son corps. Mes fantasmes deviennent enfin réalité. Si mon moi de 18 ans pouvait me voir...

Je passe délicatement mes doigts sur sa peau, entre ses poils drus. Ils frôlent aussi son paquet qui ne reste pas insensible à mes caresses. Puis, je me redresse et je l’embrasse tendrement sans que mes mains ne puissent s’arrêter de le caresser. Lui aussi commence à me caresser. Ses doigts passent sur mon torse, mon ventre, mon entrejambe et mes fesses. Nos lèvres se séparent et les miennes passent dans son cou. Il se met à gémir. Je viens de découvrir une de ses zones érogènes. Puis, je passe à son oreille et là aussi, il gémit fort. Deuxième zone. Puis, ma langue descend vers son torse, titille ses tétons (sans trop de réactions). Je continue de descendre plus bas. J’embrasse son ventre, puis ma langue passe sur sa queue bandée, toujours emprisonnée de son caleçon. Elle fait des va-et-vient sur son morceau.

Ensuite, je me redresse et je le conduis sur mon lit. Là, on se couche, face à face et je le prends dans mes bras. Il semble plus calme et ses yeux reflètent son envie. On s’embrasse, on se caresse. Au bout d’un moment, je vais chercher sa bite et je la branle. N’en pouvant plus, je lui enlève son caleçon, je descends vers son entre-jambe et je l’observe. Son pubis est hyper velu, ses poils y sont noirs, frisés, longs et épais. Il a des couilles de taille normale, noires et poilues aussi. Sa queue est plutôt épaisse, circoncise, complètement noire. Elle doit faire dans les 17-18 cm. il a un gros gland, noir aussi.

J’enfonce son morceau dans ma bouche. Je me mets à la sucer lentement, tout en caressant ses couilles. Quelques minutes plus tard, j’accélère les mouvements qui deviennent aussi plus amples. Très vite, il m’attire vers lui et il me roule une grosse pelle. Il sort ma queue de mon caleçon et il la branle doucement.

- C’est drôle... C’est la première fois que je touche la queue d’un autre mec.
- Je suis pas n’importe quel mec... Je suis ton ami d’enfance.
- C’est vrai.

Il se penche sur moi et il m’embrasse tendrement. J’adore la sensation de ses lèvres douces sur les miennes. On se couche sur le côté, toujours en s’embrassant et je prends nos queues que je branle lentement. Puis, je redescends vers sa bite que je suce tout en en tenant la base fermement. Je le regarde : il ferme les yeux et il savoure mon traitement, je le remarque quand il se mord les lèvres. Parfois, je sors sa queue de ma bouche et je passe ma langue le long de son morceau.

- A moi maintenant, dit-il après quelques minutes.

Je me couche alors sur le lit et je le laisse faire. Il se débrouille plutôt bien, même si des fois je dois lui dire de faire attention à ses dents. J’adore que sa langue joue avec mon gland pendant qu’il me suce. Magnifique ! Il suce d’abord la moitié de mes 17 cm. Mais très vite, il essaie de faire des gorges profondes. Il n’y arrive d’abord pas. Mais au bout d’un moment, il arrive à les garder entièrement en bouche. Sa bouche est trop bonne, bien chaude.

Il vient ensuite se poser dans mes bras et je lui dis que c’était trop bon. Il sourit et il m’attire vers lui. Je me retrouve couché sur son corps et on s’embrasse, je me redresse lentement et je frotte ma raie sur sa queue tendue. On se roule toujours des pelles que je fais glisser son gland dans mon anus. Il ne bronche et je continue lentement, sans m’aider de mes mains. Sa queue entre dans mes entrailles. Elle glisse en moi, sans capote. Je soupire quand je sens sa bite au fond de moi, ses couilles collées contre ma raie et mes boules posées dans ses poils de pubis.

Je me mets à faire des allers-retours tout en embrassant Rahul. Il semble bien aimer. A un moment, il se redresse et il se met à malaxer les fesses pendant que je continue de monter et descendre sur son morceau. On s’embrasse, nos corps se frottent l’un à l’autre. J’adore sentir sa toison caresser ma peau ! Lui aussi semble pleinement apprécier l’instant présent. Lorsque je marque une pause, il me dit :

- A moi de prendre les commandes maintenant !

Il me fait mettre à quatre pattes et il enfonce sa teub en moi. Il se met à faire de lents allers-retours. Je sens encore mieux sa bite m’ouvrir. C’est magnifique. Il s’enfonce entièrement en moi et il ressort lentement. Il me baise sur la totalité de sa teub. Ses mains caressent mes fesses et mon dos. Je le vois admirer sa queue aller et venir, sans capote, dans mon anus offert.

Ensuite, il augmente la cadence, par petits à-coups, ne faisant sortir que la moitié de sa queue. Il agrippe mes épaules et il me baise. Parfois, il ralentit, il fait sortir entièrement sa teub, la replonge lentement en moi avant de reprendre ses mouvements rapides et courts. Il marque de temps en temps des pauses, laissant sa bite en moi tout en caressant mes fesses. Puis, il appuie de tout son corps sur mon dos et je me retrouve sur le ventre. Il colle son torse ainsi que son ventre contre ma peau, il me prend dans ses bras, il m’embrasse sur les lèvres ou dans le cou et il entame de petits coups de bite. Seules ses fesses bougent. Je regarde ce spectacle dans le miroir de mon armoire et j’admire son corps sportif ainsi que son cul qui se démène, faisant de rapides va-et-vient au-dessus de moi. Je caresse sa tête et ses cheveux noirs pendant qu’il m’embrasse dans le cou. Ses coups de teub deviennent de plus en plus sauvages, je sens sa bite perforer mon anus. C’est trop bon. Je crie de plaisir. Il se donne à fond, il n’a plus de gêne, il est bestial, il libère ses pulsions et il me donne ce dont j’ai besoin. Mon corps tremble sous ses coups, le lit vibre. Je tourne la tête et je l’embrasse à pleine bouche. On forme une symbiose véritable. Ses couilles tapent bruyamment contre mon cul. Qui aurait cru il y a 2 heures que je serais là dans mon lit à faire l’amour avec mon ami d’enfance, l’amour inavoué de mon adolescence, le mec de mes rêves sur lequel je me branlais sans arrêt... Mes fantasmes sont enfin devenus réalité !

Après 5 minutes, il me fait changer de position. Il me met sur le dos, le cul au bord du lit. Il reste debout. Il se replonge sa bite en moi et il se colle de nouveau contre moi. Il m’embrasse et il recommence de me défoncer sur toute la longueur de sa queue. Ses cuisses ainsi que ses couilles rebondissent contre mes fesses. Il libère enfin ses pulsions trop longtemps refoulées ! Il se redresse et il me regarde dans les yeux. Ils sont remplis d’envie et de désir. Mes mains passent sur son corps mince, sur son torse, entre ses poils drus. Quelle belle sensation !

Rahul se redresse et il agrippe mes chevilles. Il fait sortir sa bite de mon anus, admirant mon trou rose formé un O bien ouvert. Puis, il la renfonce, sans les mains, et elle se fait happer par mon cul. Il répète plusieurs fois l’opération avant de reprendre ses va-et-vient sauvages.

Au bout de 2 minutes, il me dit :

- Je peux jouir ?
- Vas-y !
- Où ?
- Remplis-moi ! Fais-moi des bébés, Rahul !

Rahul sourit et il redouble la violence de ses coups de queue. Il murmure alors :

- Putain ! Je jouis !

Il ralentit la cadence mais il coulisse toujours en moi pendant qu’il éjacule. Je sens sa bite se contracter et me remplir de bien 6 jets peu puissants mais abondants et crémeux qui envahissent les entrailles. Il donne un dernier coup de rein et il tombe sur mon corps, épuisé mais visiblement heureux. Il me serre dans ses bras.

Il se redresse, puis il se retire et je sens un peu de sperme dégouliner hors de mon anus encore ouvert. Je me couche sur le lit et je me branle. Rahul se place devant ma queue et il en lèche le gland. Je jouis en un temps record, tellement je suis chaud. Je le préviens mais il reste la bouche ouverte devant ma teub. Je ferme alors les yeux et je savoure son souffle chaud sur mon gland, peu avant que je jouisse : la première giclée est peu puissante et elle dégouline le long de ma teub. Mais les deux suivantes sont hyper puissantes et elles atterrissent directement au fond de sa bouche. Les 2 dernières le sont moins, elles retombent sur mon ventre, mais Rahul, après avoir avalé ce qu’il avait en bouche, se penche sur mon corps pour lécher et avaler ma semence.

On reste pendant de longues minutes voir bien pendant une heure (je perds la notion du temps) dans les bras l’un de l’autre à se câliner, se caresser et s’embrasser sans dire un mot. C’est moi qui brise le silence :

- Rahul. C’était ta première fois avec un mec ?
- Oui...
- C’était génial, j’ai rarement connu ça... T’es un superbe amant. C’était génial !
- On formait une symbiose parfaite, c’est vrai, renchérit mon bel Indien.

Je le prends dans mes bras et je lui caresse la peau douce de ses épaules. J’aimerais tellement que cet instant perdure. Rahul s’assoupit. Une ou deux heures plus tard, il se réveille et il se lève en panique :

- Merde ! Je dois rentrer ! Ils vont se demander...

Il ne termine pas sa phrase mais je sais ce qui le préoccupe. Je l’accompagne à la porte et je lui donne un gros baiser avant de lui demander :

- On se revoit bientôt ?
- Oui, j’espère...

Il me roule alors une grosse pelle et il disparait. Je vais sur mon balcon et je le regarde s’éloigner. Il se retourne et il me sourit à pleines dents. Il m’envoie un baiser discret et il disparait au coin de la rue. Je rentre dans mon appartement, souriant.

Quelle merveilleuse soirée. Je ne sais pas comment tout ça va continuer, s’il va réussir à surmonter le poids de la tradition... mais j’essaie de ne pas y penser. J’ai enfin eu dans mes bras (et dans mon cul !) mon ami d’enfance, l’amour inavoué de mon adolescence, le mec de mes rêves... Mes fantasmes sont enfin devenus réalité ... et c’est merveilleux !

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