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Professeurs à l’université

Salut à tous,
Je m’appelle Nicolas Parlet, j’ai 38 ans, je suis professeur à l’université de Lille. Je suis blond aux yeux bleus, de stature normale, un peu poilu. Je suis gay, certes pas ouvertement, mais je ne le cache pas non plus. J’enseigne l’histoire antique et je me retrouve souvent devant des centaines d’étudiants qui prennent en notes mes cours puis s’en vont. Je suis réputé pour être juste mais sévère, ce qui se reflète dans mes notes.

Aujourd’hui, je fais cours aux 2èmes années. Notre thème, « la démocratie au temps de la Grèce antique », n’a apparemment pas été facile pour tout le monde. Je rends les partiels avec une moyenne d’environ 9/20. Un des étudiants vient me voir à la fin du cours :

- M. Parlet... je pourrais vous parler ?
- Bien sûr. De quoi s’agit-il ?
- Voilà... J’ai eu une mauvaise note...

Il me tend sa copie : 1/20.

- Oui, en effet, ce n’était pas glorieux, M. Ngoa, Éric !
- Je sais, je me rends compte que je n’ai pas assez révisé.
- Je suis sûr que vous ferez mieux la prochaine fois...
- C’est ça, le hic... Je sais pas s’il y aura une prochaine fois...
- Comment ça ?
- Si je ne compense pas cette note, je ne vais pas pouvoir avoir ma bourse l’année prochaine et je ne pourrais pas continuer mes études.

Je regarde le jeune homme. Je dois avouer que c’est un vrai beau gosse. Eric Ngoa est un noir de 23 ans. Il est de taille moyenne. Sa peau est foncée. Il a le crâne rasé et il porte le bouc. Il a aussi des boucles d’oreilles. Il a un petit nez et de grosses lèvres. Il est baraqué. Et je dois avouer qu’il m’a tapé dans l’œil dès le début de l’année. Mais je suis resté professionnel et je n’ai rien laissé paraître.

- M. Ngoa. Je vais y réfléchir. Venez me voir demain à 10h dans mon bureau.
- Je vous remercie, monsieur.

Il s’éloigne d’un pas hésitant. Mes yeux s’attardent sur son cul bombé... Je secoue la tête et je commence à ranger mes affaires avant de quitter l’amphithéâtre. Dans le couloir, je rencontre Noah Tamboul, un des autres professeurs de l’université et un bon ami. Je le scrute de haut en bas avant de lui parler : Noah a à peu près le même âge que moi, il est brun, il a des yeux noirs. Il est grand, il mesure dans les 1m85. Il est métis (antillais & français), il a une peau noire. Il est aussi musclé. Il a un tatouage sur la main.

- Ah, Noah, tu as une minute. Je voulais te parler d’un étudiant là.

Le lendemain, M. Ngoa. arrive à l’heure devant mon bureau. Je le fais rentrer et je ferme la porte. Il me sourit d’une manière énigmatique.

- J’ai réfléchi et je veux bien vous laisser une autre chance. Par contre, je ne fais pas de cadeaux, même si votre situation est délicate. Vous allez devoir faire un devoir qui est un peu complexe. Il mélange deux sujets différents, celle du ma matière, l’histoire antique, et celle de Noa... de M. Tamboul en littérature classique, que vous avez aussi en cours. Correct ?
- Oui, monsieur.
- Vous pouvez aussi aller le voir pour obtenir plus d’informations.

Je lui tends alors une feuille avec le sujet ainsi que les exigences du devoir. L’étudiant regarde la feuille, mal à l’aise.

- Quand est-ce que je dois vous le rendre.
- Vous avez 1 mois pour finir ça ... jusqu’au 15 juillet avant que je ne rende les notes au secrétariat.
- Merci monsieur.
- Si vous avez des questions ou besoin d’un peu d’aide, n’hésitez pas.
- Merci monsieur. Si je ne me retenais pas, je vous sauterais au cou...
- Retenez-vous, s’il-vous-plait, dis-je en rigolant.

Je le regarde partir en pensant : « et moi, si je ne me retenais pas, je t’aurais déshabillé depuis longtemps ! »

Le samedi soir, je sors avec Noah. Je lui ai proposé d’aller à une soirée dans un bar dansant de la ville. Il est venu avec plaisir. On entre dans le lieu et on s’assoit après avoir commandé 2 cocktails. J’admire ses deux bras vraiment bien musclés et imberbes. Il ne porte pas de chemise comme à la fac mais seulement un t-shirt qui laisse voir ses muscles et ses tatouages sur les bras. Noah me dit :

- Ah, j’ai oublié de te dire... ton étudiant... Éric...
- Qui ?
- M. Ngoa.
- Ah, tu l’appelles déjà par son petit nom ?
- Nicolas... Je ne suis pas aussi conservateur que toi... Je n’arrive pas à vouvoyer les étudiants.
- Une belle faute, mon cher.
- Peut-être. Bref. En tout cas, il est venu et je lui ai longuement expliqué ce que j’attendais de lui. Je lui ai donné des bouquins pour ses recherches.
- Parfait !
- Il a l’air très motivé en tout cas.
- On verra bien, dis-je un peu sceptique.
- En tout cas, il ne tarit pas d’éloges sur toi !
- Ah bon ?
- Il n’a cessé de répéter que tu es le meilleur prof qu’il ait, etc.
- J’aurais pas cru en voyant ses résultats...
- Bon, on arrête de parler boulot ! Trinquons !, dit Noah quand la serveuse nous apporte nos boissons.

On trinque et on va ensuite danser. On s’amuse bien, on boit quelques verres et on se met à rigoler. Noah devient très tactile, il me prend dans ses bras, on danse ensemble.
Vers minuit, quand je quitte la piste pour aller aux toilettes, je vois alors M. Ngoa planter devant moi. Il me fait un grand sourire :

- Bonjour, M. Parlet.
- Bonsoir, M. Ngoa, dis-je surpris, que faites-vous ici ?
- Rien... Je viens faire la fête avec des potes de notre promo. Regardez derrière vous.

Je me retourne et je vois des étudiants de mon cours d’histoire antique. Ils me font un grand salut. J’y réponds, un peu blasé, puis je me retourne vers M. Ngoa.

- Je vois. Je vous souhaite une bonne soirée alors. Amusez-vous bien.
- Merci.

Je me dirige vers les toilettes et je me mets à une pissotière. Je lâche les vannes quand j’entends de nouveau l’étudiant qui vient se mettre à côté de moi pour uriner. Comme si c’était normal, il se met à me parler :

- Vous êtes seul ici ?
- Non, je suis avec M. Tamboul.
- Vous vous amusez bien ?
- Oui.

Je ne me sens pas à l’aise. Mais mon regard tombe sur le morceau de mon étudiant et je reste bloqué quelques secondes dessus, répondant par monosyllabe à ses questions. Je vois sa bite en premier plan. Je suis impressionné : sa bite au repos est énorme. Elle est flasque, avec un prépuce qu’il a décalotté, complètement noire avec un gland rosâtre ! Elle doit faire 14 cm au repos ! Elle a l’air lourde. Ses couilles sont énormes.

Moi, je finis assez vite mais lui continue de pisser. Il en avait vraiment envie ! Par contre, je ne me prive pas de mater son matos. Un long et puissant jet de pisse sort de son urètre. Une fois fini, il étire sa grosse queue, il la secoue, plusieurs fois avant de la remballer. Je détourne alors immédiatement le regard. Je vais me laver les mains et on sort. Il continue de parler :

- J’adore votre cours d’histoire.
- C’est vrai ? Je ne pensais pas !
- Pourquoi dites-vous ça ?
- Vous n’avez pas énormément travaillé...
- Oui, vous avez raison. Mais je trouve votre cours très intéressant, bien structuré et bien expliqué. J’adore votre voix... mais pas que... vous êtes rayonnant et passionné, ça vous rend si charmant.
- Arrêtez les compliments, vous allez me faire rougir.

L’étudiant me frôle le bras de sa main... et je me laisse faire. Ce contact m’électrise. Je me ressaisis et je lui souhaite alors une bonne soirée. Je pousse un soupir de plaisir. Une chose est certaine, c’est que je penserai à cette bite la prochaine fois que je me branlerai !

Je retourne vers Noah et on commande de nouveau un cocktail. Il est très tactile, il me prend dans ses bras mais je ne m’en offusque pas. On se connaît depuis très longtemps et il a été toujours comme ça. On boit notre boisson et on rigole beaucoup. Je vois au bout de quelques minutes mon étudiant à la grosse queue venir vers nous. Il nous demande alors :

- Vous vous amusez bien !
- Oui, Éric, merci, répond Noah.
- Et vous ?, lui demandé-je.
- Pas autant que vous apparemment.

Je crois alors reconnaitre un regard furieux... Je n’arrive pas à l’interpréter. Soudain, mon portable émet une sonnerie... Je me rends compte que j’ai oublié de le mettre sur silencieux. C’est la sonnerie bien reconnaissable d’une application de rencontres gay... Je le mets en silencieux après avoir balayer d’un geste le message. Je regarde Noah qui ne semble rien avoir remarqué. Quant à M. Ngoa, il sourit mystérieusement et il nous quitte après nous avoir souhaité une bonne soirée. On reprend alors notre conversation et on continue de boire.

Puis, on va danser et Noah se frotte à moi en dansant. Il veut même danser un slow avec moi. Hésitant, surtout à cause de la présence de nos étudiants dans le lieu, j’accepte quand même. Il prend alors ma main et il colle son corps contre le mien. Il se met alors à mener la danse. Cet instant est très agréable. Quand on revient s’assoir, il rigole beaucoup. Il me prend dans ses bras et il me fait boire dans son verre pour me faire goûter son cocktail. Il me dépose un baiser sur la joue et il se met alors à me parler de sa vie privée, ce qu’il ne fait que très rarement. Il m’avoue qu’il a quitté sa copine il y a quelques semaines parce que ça ne collait pas. Et il me raconte qu’il est de nouveau à la recherche d’un partenaire féminin... ou masculin !

- T’es bi, m’écrié-je.
- Ouais !
- Putain, je l’aurais jamais cru !
- Ah bon ? Pourquoi ? Parce que je marche pas comme une folle ?
- N’importe quoi ! Parce que mon radar gay n’a rien vu venir !
- C’est pas grave, j’espère ?
- Mais non ! Tu es mon pote, peu importe hétéro ou bi !
- Pas plus !
- Pourquoi ? Tu as envie de sortir avec moi ?

Il me regarde droit dans les yeux et je me mets à rire. Lui aussi et je l’embrasse à mon tour sur la joue.

La soirée se termine pour vous vers 3h. Je rentre chez moi et je m’effondre sur le lit. Je suis bourré, je suis fatigué et je m’endors très vite. Je me réveille le lendemain vers midi. Je me fais un café et je me pose devant mes corrections... mais j’ai tellement mal à la tête que je renonce. Je me pose devant la télé et je saisis mon portable. Je vais voir les messages de mon application de rencontres. Celle d’hier soir a déjà disparu. Encore un qui était bourré et qui voulait tester son côté homo avant d’effacer son profil. Je soupire. Je vois alors que j’ai un autre message : « Salut, ça va ? ». Je réponds et je vais voir le profil. La description du mec est déjà alléchante : grand, baraqué, noir, TTBM. Ça me donne grave envie d’en savoir et d’en voir plus. Puis, je pense tout de suite à Éric, mon étudiant. Je vais voir sur le profil et je vois que le mec est âgé de 30 ans. C’est bon, ça ne peut pas être lui. Le mec est en ligne 30 minutes plus tard. On se met à tchater et à échanger nos photos. Je suis content de constater qu’il ne s’agit pas d’Éric. Par contre, je trouve son corps magnifique et sa bite est gigantesque ! J’ai vraiment envie de me la prendre. Je ne suis pas du genre à baiser avec tous les mecs des sites de rencontres, mais là, ce renoi me fait vraiment envie ! On discute un bon moment. Je suis vraiment excité. N’y tenant plus, je lui demande s’il a envie de passer me voir. Il répond immédiatement « oui ». Je lui envoie mon adresse et je vais me préparer.

Une demi-heure plus tard, on sonne à la porte. Je vais ouvrir... et je me retrouve nez à nez avec ... Éric Ngoa ! Je blêmis et j’arrive à balbutier :

- Que faites-vous ici ?
- On a un rendez-vous.
- Ça m’étonnerait ! Pas ici.
- Je veux plutôt dire un plan !

Il me montre alors son portable et les messages qu’on s’est échangé. Pour ne pas attirer l’attention des voisins, je le fais entrer. Je lui demande ce qu’il veut boire et je lui sers un coca. Il est assis dans le canapé, je m’assois dans le fauteuil, en face de lui. Je prends la parole :

- J’attends des explications !
- M. Parlet. Je vous kiffe depuis un moment. C’est pour cela que j’ai choisi votre matière et...
- M. Ngoa, écoutez...
- Laissez-moi finir. J’ai essayé de nombreuses fois de vous aborder mais j’avais peur, je ne savais pas si les rumeurs de votre homosexualité étaient fondées. Puis, je vous ai vu l’autre soir au bar. Je voulais danser avec vous... mais je n’ai pas osé. Mais tout a changé quand je vous ai vu mater ma queue... et quand j’ai entendu la sonnerie reconnaissable de l’application de rencontre. J’ai changé mon âge sur le site et je vous ai contacté... ainsi que ma photo de visage. Sinon toutes les infos sur mon profil sont vraies... Et maintenant, me voici ici.
- Je comprends ... mais vous comprenez que je ne peux pas avoir de relation avec un étudiant ?
- Je sais bien. Mais je suis un mec rencontré sur un site de rencontres, je ne suis pas votre étudiant ici.
- Je ne pense pas que le doyen ... verrait... ça de la même façon...
- Oui, vous avez peut-être raison. Vous auriez pas un truc un peu plus fort que ça ?
- Une bière ?
- Vous avez du Malibu ?
- Oui... Un Malibu ananas ?
- D’accord, mais après il faudra partir.

Je lui prépare son cocktail, je m’en sers un aussi et je m’assois. Éric me demande alors :

- Parlez-moi de vous.
- Qu’est-ce que vous aimeriez savoir ?
- Vous avec des loisirs ?
- J’aime bien lire et regarder des films.
- Vous faites du sport ?
- Non pas du tout. Et vous ?
- Moi, j’aime jouer à des jeux sur console et sinon je fais du rugby.
- Ah oui, vous en avez la carrure, dis-je, en regrettant immédiatement mes paroles.
- Vous aimez ?
- Je n’ai pas dit ça, essayé-je de me rattraper.
- Moi, je vous ai toujours trouvé très sexy. Et c’est vrai que vous aimeriez faire tout ce que vous avez écrit sur le tchat ?
- Ecoutez, Éric, j’étais chaud comme la braise après toute cette discussion et...
- Et les photos ?
- Oui. Mais maintenant que je sais que vous m’avez « piégé », je me doute qu’elles étaient fausses.
- Pas du tout ! A part la pic de visage, les autres étaient bien de moi !

Je reste bouche bée car Éric s’est levé et il s’est déshabillé. Il se retrouve nu devant moi. Je ne sais pas comment réagir. Mais j’en profite pour mater son corps parfait... Il ressemble vraiment à un taureau : Il a de larges épaules, de gros bras et des pecs assez rebondis et musclés. Il a un petit ventre un peu rebondi et dur, un mélange de muscles et de graisse. Il a un piercing à chaque téton et un tatouage sur le pec droit. Son corps est imberbe et son pubis est rasé. Il a de grosses cuisses musclées.

- Alors ?
- Non, ce sont bien des photos réelles que vous avez utilisées, dois-je avouer.
- Et ça vous plait toujours autant en live ?
- Je ... sais pas...
- Soyez sincère. Moi, je me trouve un peu trop gros.
- Non, moi, je vous trouve parfait, dis-je en regrettant une nouvelle fois de parler si vite.
- Et que pensez-vous de ma bite ?
- Votre pénis est vraiment... magnifique. Il doit être très beau en érection...
- Vous aimeriez en avoir le cœur net ?
- Oui.. euh... non ! Enfin, je ne sais pas !

Je sens cependant ma queue prendre du volume. L’étudiant s’approche alors de moi et je me retrouve à quelques centimètres de moi.

- C’est un piège... ?, demandé-je, inquiet.
- Non, je vous aime, monsieur, depuis longtemps... Je peux vous appeler Nicolas...
- Non... euh... oui...
- Nicolas, j’ai envie de vous.
- Moi... non... peux pas...
- Je vois que vous me désirez aussi...

Il pose alors sa main sur mon entrejambe qui est bien gonflé. Je vois sa teub prendre du volume.

- Ce n’est pas correct... je ne ...
- Regardez l’effet que vous me faites...

Il bande maintenant à fond. Sa queue est épaisse, ma main n’arrivera pas à en faire le tour, et longue : bien 22 cm. Il a aussi de grosses couilles de taureau, aussi rasées.

- Prenez-la en main, comme on l’a écrit sur le site.
- Je ... non...

Il s’approche alors ses grosses lèvres de ma bouche et il m’embrasse longuement. Ses lèvres sont si douces, si pulpeuses. Je ne peux plus me contrôler. Je passe mes bras autour de son cou et je lui rends ses baisers. Il saisit alors mes hanches et il me fait lever. Il me colle contre lui. Je sens ses pecs puissants ainsi que sa teub coincée contre mon ventre. Je ne me contrôle plus. On se roule des pelles tandis que nos mains caressent le corps de l’autre. Ce moment est sauvage et intense. Quand nos lèvres se décollent au bout de quelques minutes, je l’entraîne dans ma chambre. On se jette sur le lit et on continue de s’embrasser un long moment. Cet instant est sensuel et magique.

Mais finalement, n’y résistant plus, ma langue descend le long de son cou, de ses pecs musclés, de son ventre pour arriver devant sa queue dressée. Je la saisis et je me mets à la lécher tel un esquimau. Éric me pose une main sur mon épaule et il m’encourage de son regard. Je prends alors sa grosse queue en bouche et son gland passe au fond de ma gorge. Je fais alors des allers-retours sur sa bite dont j’arrive à prendre la moitié en bouche. Au bout de quelques minutes, je saisis sa queue et je le branle tout en le suçant. Quel engin ! Quel monstre ! Je n’ai jamais eu aussi gros ! Mais je suis bien décidé à en profiter. Je le regarde et je vois qu’il m’observe en souriant d’un sourire satisfait mais bienveillant.

J’essaie de faire des gorges profondes mais seuls les trois quarts de son morceau rentrent dans ma bouche. Je suis quand même fier de moi pour la première fois avec un tel monstre ! Je lèche ensuite sa teub et ses boules avant de reprendre ma suce et ma branle. Je le fais gémir. Je m’occupe de son morceau pendant une dizaines de minutes. Puis, il me fait remonter vers lui et on s’embrasse. Il me prend dans ses bras, il me serre fort contre lui pendant que ses mains me malaxent les fesses. Au bout d’un moment, il murmure :

- Elles me font trop envie....
- Elles sont à toi ! Fais-en ce que tu veux. Mais fais gaffe... Je me suis jamais pris un tel monstre dans le cul !
- Ne vous inquiétez pas, je sais y faire.
- Tu peux me tutoyer, Éric, dis-je en le regardant tendrement.
- Je vais essayer...

De ses bras musclés, Éric me soulève et il me mettre sur le ventre. Il se pose derrière moi, étendu sur le ventre. Il écarte alors mes fesses et il se met à titiller mon anus. Je gémis immédiatement, involontairement. Il enfonce alors sa tête entre ma raie et il entame un bouffage de cul dans les règles de l’art. Je sens sa langue tournoyer dans mes entrailles. Je gémis fort. On m’a rarement fait un anulingus de la sorte. Il s’occupe de mon trou pendant une dizaine de minutes, puis il se relève et il se plaque contre moi. Il prend du lubrifiant et il enfonce deux doigts dans mon anus déjà bien ouvert. Je mouille bien. Il me doigte, puis je sens son gland entrer en moi. Je veux l’arrêter car il n’a pas mis de capote... Il me murmure à l’oreille :

- Monsieur... je veux vous faire un enfant.
- Vas-y, Éric, mets-moi enceinte...

Je sens alors sa queue s’enfoncer en moi, prendre possession de mon anus. Je respire fortement, telle une femme en train d’accoucher. Il donne de petits coups de teub, entre, ressort puis re-rentre. Il ne me fait pas mal. Il est très doux et sa bite dure et énorme s’enfonce lentement mais sûrement en moi. Il me fait tourner la tête et il m’embrasse sensuellement tandis que son monstre m’écarte les sphincters les uns après les autres. Au bout de quelques minutes, au terme d’une interminable descente, sa queue est entrée en moi. Je sens ses lourdes boules posées contre mes cuisses. Il me serre contre lui et il entame de lents va-et-vient. Il passe ses bras autour de mon cou et il m’attire vers lui. Il m’embrasse tendrement. J’adore ses grosses lèvres super moelleuses contre les miennes. Puis il se redresse, je prends ses mains dans les miennes. Il donne des coups de queue lents mais de plus en plus amples. En arrivant au fond de mon cul, il donne un coup sec qui me fait bien hurler de plaisir. Je regarde et admire ce beau mâle droit dans les yeux.

Peu à peu, il accélère la cadence. Il est de plus en plus sauvage. Sa queue me perfore bien l’anus. J’admire son monstre entrer et sortir de mon petit anus qui semble super dilaté par cette teub noire. Au bout de quelques minutes, il pose ses mains sur mes hanches et ses coups de reins deviennent plus rapides et plus amples. Il me baise sur la totalité de sa bite ! Il malaxe parfois mes fesses. Mon corps tremble sous ses assauts toujours plus sauvages. Éric est super endurant.

Au bout de quelques minutes, Éric ressort de mes entrailles et je sens mon cul formé un gros O qui ne se referme pas. Je me mets immédiatement à genoux et j’enfourne la teub du beau black dans ma bouche. Je la suce avidement. Puis, je me mets sur le dos, le cul au bord du lit : j’ai envie de regarder mon amant dans les yeux pendant qu’il me fait l’amour. Je lève mes jambes et il s’enfonce doucement en moi. Je gueule bien quand je sens sa grosse queue m’écarter les sphincters. Il reprend une baise lente qui devient très vite très sauvage, avec de longs va-et-vient, sortant presque toute sa queue pour la renfoncer immédiatement au fond de mon cul. Je gémis de plaisir. Je sens ses couilles se balancer sous moi et frapper mes fesses.

Il me baise ainsi pendant une quinzaine de minutes. Ses coups sont puissants et profonds. J’admire son magnifique corps aller et venir devant mes yeux. Puis, il accélère toujours plus la cadence. Soudain, je sens un sentiment inconnu en moi qui vient de mon anus. Une décharge fulgurante s’empare alors de moi. Je viens de jouir du cul ! Je sens un liquide envahir mon anus et tapisser sa bite. Oui ! Je viens de jouir du cul ! Éric continue sa baise endiablée. Il me pilonne désormais tel un marteau piqueur. Il entre sa queue entièrement de mon cul pour s’y renfoncer violemment, sans s’aider de ses mains ! Sa bite trouve immédiatement le chemin et elle va se plaquer au fond de mes entrailles. Il répète cette opération plusieurs fois. Ensuite, il reprend son pilonnage et il se penche sur moi, il m’embrasse tout en me caressant le corps. Il me pilonne à fond. Sa queue dure me fait gémir fort. Ses couilles me fouettent les fesses, son ventre cogne contre mes boules. Il me secoue comme un prunier. Il me donne de grands coups de bite qui lui défoncent le fond de son cul. Il me possède complètement.

Sa grosse bite me masse la prostate. Et je sens que peu à peu ma jouissance approche, sans que je touche à ma teub. Et en effet, au bout de quelques minutes, 5 jets de sperme puissants viennent s’écraser sur mon ventre. Mon sperme est blanc et épais. Éric passe alors sa main sur mon corps, récupérant le sperme, il en enduit sa queue qu’il replonge dans mes entrailles. Mon sperme chaud doit lui faire de l’effet car je sens sa bite durcir et ses coups de reins devenir plus rapides.

Pendant sa baise, sa bite me masse la prostate ce qui fait bizarrement souffrir ma queue. Ses coups de bite deviennent plus violents, ses mains puissantes m’écrasent les mollets. Il jouit au bout d’une dizaine de minutes. Dans un cri, il se vide dans mes entrailles. De sa grosse teub jaillissent des dizaines de jets qui me fécondent. Je sens sa bite expulser le jus en de longs traits de sperme liquide qui me fouettent le fond des entrailles. Mon anus se retrouve rempli de sa semence. Éric tombe sur moi, je me retrouve prisonnier de son corps puissant et de ses gros bras. Puis, il se relève et sa queue sort de mon cul. Je sens un grand vide en moi. Mon cul est béant, il reste bien ouvert comme un O. Son sperme coule lentement hors de mon trou et il dégouline le long de ma raie sur le lit.

Je suis au nirvana. C’était la meilleure baise de toute ma vie. Éric est un amant hors-pair. Je n’avais jamais jusqu’ici ressenti un orgasme anal... et je n’avais jamais juté sans me branler. Je saisis Éric et je le plaque contre moi. On reste ainsi sans parler alors que je sens mon trou béant libérer petit à petit le jus de mon bel étudiant black. Au bout de quelques minutes, Éric finit par briser le silence :

- Je peux vous ... te demander un truc ?
- Oui, Éric...
- L’autre soir, vous aviez l’air bien complice, le professeur Tamboul et tout...
- Oui, on se connait depuis très longtemps. On est collègue et ami. On s’adore.
- Moi, je pense qu’il y a quelque chose d’autre.
- Non, Éric !
- Je parle du côté de M. Tamboul. Il vous... te kiffe ! Il flirtait avec vous !
- Dis pas de bêtise. Et si même... tu es jaloux ?
- Non, je dis ça comme ça. Ça paraissait évident.

Je prends Éric dans mes bras et je lui caresse ses cheveux tandis que je pense à la situation compliquée qui est en train de s’installer... le prof qui a couché avec son étudiant... et apparemment l’autre prof qui kiffe le dit-prof.

A suivre...

Merci à Noah pour ses idées.

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