Après mon bac, il y a de cela 8 ans, je m’étais dit que je ne voulais pas rester dans ma petite ville natale et j’ai donc décidé de commencer à étudier la médecine à Strasbourg. A l’époque, ma décision avait attristé mes parents, même si je leur avais promis de leur rendre visite souvent.
Et j’ai tenu ma promesse. Comme aujourd’hui. C’est les vacances de Pâques, on a deux semaines de libre et je suis en route pour rendre visite à mon père, Ali... qui habite désormais seul. A ma grande surprise, mes parents ont divorcé il y a 2 ans de cela. Ils m’ont donné comme seule explication qu’il ne s’entendait plus du tout. Ma mère était repartie vivre dans sa famille en Algérie, là où elle était née. Mon père a déménagé à Tours, où son frère, mon oncle Mustafa, vit.
Moi, je m’appelle Karim, je suis enfant unique... et je suis homo, ce que je n’ai jamais avoué à mes parents. J’ai toujours pensé qu’ils l’accepteraient car ils sont assez ouverts et modernes... mais je n’ai jamais ressenti le besoin de leur parler de ma vie amoureuse.
J’arrive donc à Tour. Mon père vient me chercher à la gare et je le trouve vraiment en forme. Il est grand, comme d’habitude... mais quelque chose a changé en lui. Surpris, je lui demande ce qu’il fait :
- Ah, je me suis inscrit dans une salle de sport et je m’entraine au moins 3 fois par semaine.
- Eh ben, tu es vraiment pas mal pour un vieux !
- Merci mon fils ! J’ai que 45 ans !
Il me serre dans ses bras malgré ma boutade et je suis assez impressionné. Il semble suivre mon modèle car moi aussi, je vais souvent à la salle et je suis assez musclé. Il ne fait pas ses 45 ans. Il a le crâne rasé et une barbe épaisse.
Il est 17h quand on arrive à l’appart de mon père. Je suis pour la première fois dans son nouvel appart... qui se trouve dans un immeuble moderne. Son logement est impressionnant. Il a un grand salon, deux chambres (la sienne et une chambre d’amis), une grande cuisine, une salle de bains stylée et un balcon. Ses affaires semblent bien marcher ! Je me sens alors très fier de lui.
Mon père me fait visiter, puis il me dit de me mettre à l’aise et de me reposer pendant qu’il va faire quelques courses. Je me pose sur le canapé et je mets la télé après avoir défait mes affaires... et je m’endors... Je suis réveillé par une sonnerie de portable. Ce n’est pas le mien car il est toujours en mode silencieux. Il vient d’une autre pièce. La sonnerie reprend de plus belle. Je me dirige vers la chambre de mon père ou je trouve un portable sur son lit : il a sûrement oublié son téléphone. Je regarde alors : il y a 3 appels manqués de mon oncle Mustafa. Je me demande ce qui se passe, ayant peur d’une urgence. Je prends mon téléphone et je rappelle mon oncle qui semble content d’entendre ma voix. Ça fait bien 4 ans qu’on ne s’est ni vu ni parlé. Mustafa dit :
- On pourrait faire une soirée entre mecs, si tu veux, ce soir. Tata est à la maison. Je viens vous voir, t’en penses quoi ?
- Oui, c’est une bonne idée, dis-je.
Après avoir raccroché, je me rends compte que j’ai toujours le portable de mon père dans la main droite. Je vois que mon oncle lui a aussi envoyé des SMS. Curieux, j’ai envie de les lire. Je devine son code au bout de la deuxième tentative : trop facile, c’est ma date d’anniversaire. Je lis alors :
Mustafa : « T’es dispo aujourd’hui ? »
Ali : « Non, Karim arrive vers 16h »
Mustafa : « Il peut se joindre à nous ! LOL »
Ali : « Dis pas de conneries ! C’est mon fils ! »
Mustafa : « T’es bien coincé ! »
Mustafa : « J’ai les burnes pleines ! »
Mustafa : « Ali ??? Allô ??? »
Mustafa : « Allô ! Réponds ! »
Mustafa : « J’ai trouvé un petit Bodybuilder, il a 22 ans ! Attends, je te le montre »
Je vois alors un MMS que j’ouvre aussi. C’est le selfie d’un rebeu canon qui est torse nu et qui montre son corps magnifiquement sculpté. Il est vraiment beau gosse ! Surpris par cette découverte, je monte vers le haut de la conversation et je remarque que mon père et son frère s’envoient souvent des photos de mecs à poil... jusqu’à ce que je tombe sur une photo prise le mois dernier : mon père est nu, le cul cambré sur son lit. Sous la photo, il y a ceci d’écrit : « Ce soir ? Soirée entre frérots ? Seulement toi et moi ? »
Je suis choqué... Je retourne dans le salon et je me laisse tomber sur le canapé. Mon père et mon oncle font des plans cul ... avec d’autres mecs ? Et ils baisent aussi ensemble !? Avant même que je puisse digérer ces informations, je remarque que je bande à fond ! Surpris, je sors quand même ma queue pour faire vite redescendre la pression avant que mon père ne rentre. Je me surprends alors à fermer les yeux et à essayer de me souvenir des photos des SMS. Je dois avouer que je les ai trouvés depuis toujours très canon ! Je me les imagine alors en train de baiser sous mes yeux. Mais peu avant que je jute, j’entends une clé s’enfoncer dans la serrure de la porte d’entrée. Je remballe vite fait ma queue et je soupire... Putain ! J’étais presque sur le point d’éjaculer. Je vois alors rentrer mon père avec des cabas pleins à craquer.
- Mais t’es ouf d’avoir acheté autant !
- J’ai pris le meilleur pour mon fils. J’ai acheté tous les trucs que tu aimes.
Je me sens touché par le geste de mon père. Je lui dépose alors un baiser sur la joue... et je me sens complètement retourné. Savoir que mon père s’envoie aussi des mecs me fait vraiment bien kiffer. Je lui raconte alors que Mustafa a appelé et qu’il devrait venir ce soir.
- Ah ouais ?, s’étonne Ali. Si tu veux voir ton oncle, pas de soucis. Tu as dû lui manquer aussi !
Mon oncle arrive vers 20h. et lorsqu’il rentre, j’en ai le souffle coupé. Il ressemble vraiment au daddy des films X : il porte un t-shirt serré qui moule bien son corps baraqué et musclé. Son jean est beau. Il a 50 ans… mais il ne les fait pas ! Il a des cheveux courts et grisonnants, une barbe de trois jours aussi grisonnante, mais pas une seule ride. Tout comme mon père, mon oncle est aussi poilu. Je prends alors peur que ma bite se dresse...
On s’assoit dans le salon et on boit des bières. Mon oncle parle de ses enfants, mes cousins et cousines, de sa femme et de son travail. On évoque aussi des souvenirs des vacances passées ensemble en Algérie et c’est marrant de se rappeler des moments drôles. Je remarque qu’après la troisième bière, je suis plus joyeux. Au bout d’un moment, mon oncle me demande :
- Allez, Karim, parle-nous de ta vie à Strasbourg. Tout se passe bien ?
- Oui, j’ai pas à me plaindre.
- Et comment ça se passe avec les fille ? Tu as une petite copine ?
- Euh... non...
- Ah ! T’es beau gosse ! Je te crois pas ! Avec ton physique, tu dois pas avoir de mal à en attirer dans ton lit !
- Arrête, tonton !
- Oui, tu as raison ! Pourquoi en avoir une seule ? Profite de ta jeunesse et baises-en le maximum !
- Mustafa !, s’indigne mon père
- Ben en fait... c’est que je ne suis pas trop attiré par les meufs, dis-je.
Le silence se fait dans la pièce. Je n’arrive pas à croire moi-même ce que je viens de dire ! Mon père et mon oncle me regardent, surpris, puis leur regard se croise.
- Qu’est-ce que tu veux dire, Karim ?, demande mon père.
- Ben... je suis attiré par les hommes... Ça fait un moment que je voulais te le dire... mais je savais pas comment..., dis-je en baissant le regard et en observant mes mains.
Puis, je redresse la tête... et je vois que mon oncle sourit sans rien dire. Mon père reprend la parole en posant une main sur mon épaule :
- Ça me fait plaisir que tu sois honnête, Karim... Ça explique aussi les pornos gays que j’ai trouvé sur l’ordinateur familial quand t’étais plus jeune...
Il se met alors à rire. Je rougis de honte.
- Ah, Karim. C’est pas grave ! On sait ce que c’est, on a tous regardé des pornos, n’est-ce pas Mustafa ?
- Oui, c’est clair !
- Oui... mais pas des pornos gays, hein ?, demandé-je innocemment.
Je souris un peu car je veux maintenant les percer aussi à jour. Je trouve mon père et mon oncle vraiment beaux gosses depuis ma découverte de cet après-midi et je pense que Mustafa me trouve aussi à son goût... car il passe inconsciemment sa main sur son paquet depuis ma révélation !
- Mouais… c’est vrai que tout le monde ne regarde pas des pornos gays, commence à expliquer mon père avant que mon oncle lui coupe la parole :
- Ah, arrête, Ali ! Ne commence pas à raconter des histoires à ton fils ! C’est plus un gosse !
Mon oncle se penche alors vers moi et il me regarde droit dans les yeux en disant :
- Ecoute, Karim, tu n’es pas le seul dans la famille à baiser avec des mecs. Ok ? Moi aussi, je le fais… et ton père aussi. Et parfois, on baise ensemble, entre nous ou avec d’autres mecs. C’est rien de grave… tant que personne ne le sait. Tu sais, c’est une sorte de tradition dans la famille.
- Quoi ? c’est vrai ?, m’écrié-je
- Oui, c’est vrai. Même ton grand-père l’a fait.
Me laissant devant ces révélations plus qu’inattendues, mon père se lève et il va chercher une bière dans la cuisine. Je me mets alors presqu’à crier :
- Quoi ? Vous vous foutez de moi là ??
- Non, Karim. Même ton grand-père baisait des mecs. Un jour, alors qu’on était ados, ton père et moi l’avons surpris en train de s’envoyer en l’air avec son propre cousin dans la cave de notre maison !
- Putain, dis-je comme seule réaction.
- Oui, comme tu dis ! Ils baisaient comme des lapins en chaleur !, dit mon oncle en riant.
Mon père revient, me tend une bière fraîche et il dit :
- Allez, c’est bon, je crois qu’on a assez parlé de ce thème pour aujourd’hui.
- Pourquoi ?, demande son frère, en ricanant. Tu as peur d’être excité !?
- Oui !
- Ben moi, je le suis déjà, renchérit Mustafa.
Soudain, il se lève et il enlève son t-shirt. Il se tient torse nu devant nous. Je mate son corps parfait qui s’offre devant mes yeux. Il a un corps de taureau : il a de larges épaules, de beaux pecs et des bras énormes. Il a un gros ventre, dur, un mélange de muscles et de graisses. Son torse est recouvert de poils noirs et parsemés qui descendent en une ligne le long de son gros ventre et qui s’étendent plus on s’approche de son pubis qui lui est décemment velu. Mais ses bras et ses jambes sont très poilus.
Mustafa dit alors :
- A vous, maintenant !
Sans hésiter, mon père se lève et … il retire son t-shirt ainsi que son pantalon. Il se retrouve en slip. Putain ! Quel spectacle ! Mon père a le crâne rasé et une barbe épaisse. Il est musclé et il est très poilu. Il a de beaux pectoraux et des bras gonflés. Il a vraiment l’un d’un macho. Ses poils démarrent dans son cou et ils descendent sans interruption jusqu’à la pointe de ses orteils. Ils sont frisés noirs et plus ou moins parsemés, sauf au milieu de son torse et sur son ventre, où là ils sont extrêmement épais. Ils forment une forêt vierge qui ne laisse pas entrevoir la moindre parcelle de sa peau. Ses aisselles sont aussi très velues.
Je mate les deux mecs et je remarque vite que ma queue commence à prendre du volume dans mon pantalon ! Mon oncle dit :
- A toi, petit !
Pareillement, sans hésiter, je me lève et je me retrouve en caleçon devant eux. Moi, j’ai les cheveux courts, presque rasés, et une barbe de 3 jours. Je suis, selon les mecs, très mignon, un vrai canon. Je suis mince mais bien musclé sec. J’ai de beaux pectoraux, des tablettes de chocolat et de gros bras ainsi que des cuisses musclées. J’ai des tatouages tribaux sur le bras droit et la cuisse gauche. J’ai un fin duvet de poils qui me recouvre le torse ainsi que le ventre. Mon pubis et mes jambes sont recouvertes de poils drus et noirs, bouclés.
Mon oncle s’exclame, tout en massant son paquet :
- Putain ! Tu es vraiment canon, Karim ! Pas vrai, Ali ?
- Oui, Karim, tu es vraiment bien foutu !, répond mon père qui est en train de me mater de la tête aux pieds.
Je vois que son entre-jambe se met aussi à bouger. Je me dis que je kiffe voir mon père et mon oncle me mater … et pour leur montrer que tout ceci me plait, je retire alors mon caleçon, libérant ma bite dure. Elle fait 18 cm et elle est asssez épaisse, marron foncé. Mes boules sont grosses, noires et velues.
- Putain ! Quelle teub , s‘exclame mon père… qui s’avance vers moi et qui s’empare de ma queue.
Il se met à me branler lentement tandis que je pousse un soupir :
- Putain... papa…
Je mate mon oncle qui nous observe tout en se massant toujours son paquet. A son tour, mon père retire son slip et je reste sans voix devant son morceau. Tout d’abord, la pilosité de son pubis forme une énorme buisson volumineux. Il a une grosse bite et aussi épaisse que la mienne, mais plus longue, 20 cm je dirais. Elle est noire. Son gland est large et ses boules pendent lourdement, elles sont noires aussi.
- Putain ! Elle est énorme, papa !
- Attends que tu voies celle de ton oncle !
Il n’en faut pas plus à Mustafa pour retirer son pantalon. Je suis alors sans voix. C’est la plus grosse bite que j’ai jamais vue ! Son gland est rouge et très volumineux. Sa queue est veinée, épaisse et elle doit bien faire 24 cm. Elle est marron et ses couilles sont presque noires, elles ressemblent à des couilles de taureau, grosses, bien formées, bien rondes.
- En effet, tu gagnes !
Soudain, mon père se met à genoux… et il prend ma queue en bouche ! Il l’enfonce immédiatement en gorge profonde et il me suce tout en branlant ma bite. Sa bouche est hyper agréable. Il se débrouille vraiment bien.
- Putain ! Papa ! C’est trop bon !
Mustafa s’approche de nous et il se met à me masser les fesses d’une main. Moi, je saisis sa queue que je mets doucement à branler. Ma main arrive à peine à se refermer dessus.
- Alors, Karim ? Tu es passif ou actif ?
- En fait, je suis actif.
- Très bien… donc, je crois que c’est ton père qui va passer à la casserole !
Mon père bouge un peu, de telle sorte à avoir les deux bites tendues devant sa bouche. Il se met à alterner nos queues. Il se débrouille vraiment bien. Quel beau spectacle de voir mon père s’occuper de mon oncle et moi… Quand il me suce, Mustafa dirige le rythme de ses va-et-vient en lui imprimant une légère pression sur la tête. Puis, il retire ma bite de sa gorge et il tend sa langue. Mon oncle et moi tapotons dessus avec nos glands. Puis, Mustafa le biffle. Alors, mon père saisit nos deux queues et ils essaient de prendre les deux glands en bouche... qui se retrouve bien écartelée !
Ensuite, alors qu’il se fait sucer, mon oncle, à l’aide de ses grosses mains, me fait tourner la tête vers lui… et il me roule une grosse pelle. Je me laisse faire au début… puis je l’embrasse à pleine bouche aussi. Mon père finit par lâcher nos queues et par aller dans la salle de bains d’où il restera 10 minutes. Pendant ce temps, Mustafa et moi allons dans la chambre de mon père. Directement, il me demande :
- Tu veux pas me sucer ?
- Si !
- Tu peux… mais d’abord, tu vas t’occuper de mes pieds !
Il me place alors son pied droit devant le visage. Moi qui d’habitude ne suis pas fan des pieds, je me laisse faire. Mon oncle est un vrai mâle … et ça me fait de l’effet ! Je me mets alors à sucer ses orteils et à lécher la plante de son pied. Puis, il place son engin devant mes yeux. Ses grosses couilles disparaissent vite dans ma bouche. Une odeur de mâle envahit mes narines.
Quelques secondes plus tard, je me retrouve avec sa bite en bouche. Je lèche d’abord son gland avant d’engloutir la moitié de son morceau dans ma bouche. Je me mets à le sucer… et je ne peux plus m’arrêter. Sa bite est un vrai délice. Je fais des va-et-vient plutôt lents sur sa queue qui m’ouvre bien la mâchoire pendant que je caresse ses grosses couilles. Je le regarde bien dans les yeux tandis qu’il m’observe en train de s’occuper de son morceau. J’arrive finalement à prendre les trois quarts de sa teub en bouche. Au bout de quelques minutes, il donne des coups de reins pour que sa bite s’enfonce plus loin dans ma gorge. Et soudain, il m’attrape les cheveux et … il retire sa bite de ma bouche. Il me biffle tout en disant :
- Putain ! Karim, tu suces trop bien ! Mais je veux pas encore jouir !
Il me fait me lever et on s’embrasse fougueusement sur le lit. Puis, sa langue descend le long de mon corps. Il lèche mes tétons avant de passer à mon ventre et finalement à ma bite.
- Tu as une belle queue… tu baises beaucoup de mecs avec ? demande-t-il avant de la prendre dans sa bouche.
- Oui… beaucoup… en fait, je suis toujours chaud, je cherche tous les soirs un petit passif qui a envie d’un étalon rebeu et je le fais venir pour le baiser à fond.
- Et tu leur donnes ta semence dans le cul ?
- Oui, je baise que sans capote. Je suis sous prep.
Ces révélations semblent l’exciter car il me suce en redoublant d’ardeur. Il prend même ma bite en gorge profonde. Quand mon père rentre dans la pièce en disant qu’il est prêt, mon oncle sort ma queue de sa bouche et il s’exclame :
- Ton fils a une queue trop bonne ! Allez, viens voir, Karim, je te montre comment on baise ton père !
Mon père se place en levrette sur le bord du lit. Mon oncle et moi nous tenons devant le cul musclé de mon père. Mustafa reste debout et il crache sur le trou d’Ali.
- Vas-y, baise-moi, le supplie mon père.
Je suis assez vraiment surpris de voir que mon père est en fait une grosse salope qui quémande des bites ! D’un seul coup, mon oncle pénètre mon père de sa grosse bite. Il la prend sans broncher. Je me dis alors qu’il doit souvent se la prendre !
Mustafa entame de lents mouvements de reins. Il me dit :
- Je baise Ali souvent. Mais son trou est bien serré ! Bien mieux que les chattes de n’importe quelle meuf !
Il me prend par le bras et il me fait approcher.
- Admire comme ma queue rentre et sort. C’est pas excitant de voir ma grosse teub baiser ton vieux père ?
En effet, c’est une superbe vue. Sa bite distend bien le petit trou paternel. Elle entre et sort de ce trou rosâtre. Elle coulisse parfaitement dedans et j’admire le pubis velu atterrir moelleusement contre les fesses de mon père. Je me recule et j’observe le magnifique cul musclé de mon oncle qui impose des mouvements bien profonds. Sa raie est une forêt vierge de poils noirs et bouclés qui descend le long de son périnée. Magnifique ! Ses couilles velues se balancent d’avant en arrière pour atterrir lourdement contre le périnée paternel.
Mustafa se met à accélérer ses mouvements de reins tandis que mon père gémit de plus en plus fort. Mon oncle se transforme en une véritable bête. Il défonce mon père de toutes ses forces et ce-dernier gueule de plaisir. Je vois sa queue bandée se balancer sous lui d’avant en arrière. Mustafa s’empare de ses épaules et il accélère le rythme. Soudain, mon oncle attire son frère contre son torse puissant et il lui roule une grosse pelle. Quel magnifique spectacle ! Parfois, il sort entièrement sa queue de l’anus de mon père qui forme un O béant. Sans les mains, il s’y renfonce et il reprend son pilonnage. Tout ceci m’excite tellement que je pousse mon oncle qui sort de l’anus de mon père en disant :
- Allez, baise ton père, Karim !
Je me penche et j’embrasse mon père dans le dos… puis sur les fesses. Sa raie est bien humide, signe que son cul a bien sous le pilonnage de son frère. Je dis alors à mon père de se mettre sur le dos. Je veux en effet voir son visage quand je vais le pénétrer. Je pose mon gland sur son trou et je commence à pousser. Pendant ce temps, je le regarde dans les yeux. On se sourit mutuellement.
- Oh oui, mon fils, baise ton père, souffle Ali.
J’enfonce alors entièrement ma queue dans son trou et j’entame des coups de reins amples. Putain ! Je suis en train de baiser mon père… et je ressens ça comme quelque chose de normal. Oui ! Ça reste dans la tradition familiale ! Le trou de mon père est vraiment bon. Je passe mes mains sur son corps qui remue à chaque coup de bite que je lui donne. Il me regarde, fier de moi pendant que je la lui mets bien profonde.
- Embrasse-moi, mon garçon !, dit-il.
Je me penche sur lui et nous commençons à nous embrasser sauvagement. Je prends un rythme cadencé lent, je baise mon père sur toute la longueur de ma queue, tout en massant son magnifique cul. Mustafa se penche sur lui et il l’embrasse goulûment. J’admire ma grosse bite entrer et sortir. J’accélère le mouvement et je tape bien au fond de son cul. J’entends alors mes boules frapper son petit cul musclé. Mon oncle enfonce sa bite dans la bouche de notre passif et il se met à lui baiser la gueule. Quand il en ressort, je me colle contre le corps velu paternel et je l’embrasse tendrement tout en le pilonnant. Puis, je me redresse, je pose mes mains sur ses cuisses et j’entame une longue baise ample et profonde dans son anus effectivement serré.
- Tu es un magnifique étalon, mon fils !
Ceci me fait accélérer mes coups de bite… et mon père gémit bien fort. Mes couilles cognent bruyamment contre ses fesses musclées.
- Je vais jouir, Karim…
- Moi aussi, papa !
Mon père gueule et je vois son sperme sortir de sa queue sans qu’il se soit touché ! Le premier jet jaillit hors de sa bite et recouvre son torse. Les deux suivants tombent sur son ventre et les deux derniers coulent lentement le long de sa queue. Son sperme chaud a bien recouvert son torse poilu et son ventre. Je me penche et je lèche sa semence.
- Putain ! Ton jus est trop bon ! Je vais juter !
Soudain, mon oncle se baisse et il écarte mes fesses.
- Tu fais quoi là, lui demandé-je.
- T’inquiète, continue de le baiser, m’ordonne Mustafa.
J’obéis et je sens alors sa langue qui se met à titiller ma rosette tandis que je donne toujours de bons coups de reins. Au moment où je vais jouir, je gémis fort et mon oncle fait glisser un doigt dans mon trou tandis que son autre main me masse les couilles. Mon orgasme est incroyable. Je sens ma bite gicler bien 7 jets puissants qui fouettent le fond des entrailles de mon père et qui remplit bien son cul d’une grosse quantité de semence.
Je donne quelques coups de hanches pour tasser mon jus... qui se met à sortir par vagues hors de son trou. Au bout d’une minute ou deux, ma bite, flasque, sort de son anus, accompagnée d’un torrent de jus. Complètement épuisé, je me laisse tomber sur le corps de mon père. Je reste ainsi pendant quelques secondes avant de remarquer que Mustafa joue toujours avec mes boules et mon trou.
- Tiens bien ton fils dans tes bras, Ali.
Mon père passe alors ses bras musclés autour de moi et il serre fort. Mon corps trempe dans le sperme de mon père. Je comprends alors ce que mon oncle veut faire. Il pose son gland sur mon trou et il pousse. Je ne résiste pas. Je me laisse faire… car j’en ai en fait envie depuis que j’ai vu sa teub ! Mon oncle veut me dépuceler du cul !
- Tu vas aimer, laisse-toi faire, me souffle mon père à l’oreille.
Je le crois et je me laisse faire. J’essaie de me détendre. Je sens le monstre de mon oncle pousser contre mon trou… avant qu’il s’enfonce en moi lentement mais sûrement.
- Putain ! Ça fait mal !, crié-je.
- C’est normal que ça fasse mal au début, me rassure mon père.
Je sens la moitié de la queue de mon oncle dans mon cul et il se met à me baiser, tout en enfonçant toujours plus son anaconda dans mes entrailles.
- Fais doucement, Mustafa, souffle mon père.
Il arrive au bout d’un moment au fond de mon anus et je sens sa queue m’écarter les sphincters à fond. Mais au bout d’un moment, je commence à faire moi-même des allers-retours légers sur son monstre. Je me baise toujours plus rapidement sur sa teub tandis qu’il me caresse le cul. Puis finalement, il se met à prendre les rênes : il pose ses mains sur mes fesses et il commence à me baiser, d’abord lentement. Je suis logé dans les bras de mon père et je subis avec plaisir les coups de queue de mon oncle. Ils se regardent, complices et de temps en temps, Mustafa se penche vers lui pour l’embrasser. Parfois, il sort de mon trou, il tape avec son gland sur ma rosette avant de se renfoncer complétement.
Peu après, il commence à accélérer le rythme, à être plus agressif. Je sens mon trou devenir de plus en plus distendu par le gros morceau de mon oncle. Je gémis à fond. Les coups de marteau-piqueur s’accélèrent et deviennent plus forts, plus sauvages. Mon père me tire la tête vers lui et il me roule une grosse pelle bien sauvage. Mustafa prend alors de l’élan et il se laisse tomber dans mon anus. Je gémis fort. Il me pète bien le cul. Il se fait bien plaisir en moi.
- Ton trou est encore plus serré que celui de ton Père ! Trop bon !
Je me fais défoncer par mon oncle... et je me rends compte que je deviens accro à sa grosse teub. Parfois, il ressort et mon trou se met à happer de l’air, comme s’il était en manque de cette bite monstrueuse ! Il re-rentre et il reprend sa défonce. Au bout d’un moment, j’ai l’impression que sa queue prend du volume en moi. Putain… il va jouir. Mais à ma plus grande surprise, il sort sa bite hors de mon trou en hurlant :
- Ouvrez bien vos gueules !
Il est debout et mon père et moi nous mettons à genoux devant sa grosse teub qu’il branle. Nous tirons bien la langue. Mon oncle jouit alors une grosse quantité de sa semence. Sa queue sulfate nos deux langues. Je reçois la première giclée. Elle est chaude, épaisse, puissante, elle tapisse ma langue mais elle gicle aussi dans le fond de ma gorge. La deuxième gicle dans la bouche de mon père. Et soudain, la rapidité des jets augmente. Ils sortent telle une mitraillette et mon oncle se met à nous nourrir avec sa queue à tour de rôle. Puis, il continue de branler sa bite quand les jets se réduisent. De grosses gouttes de sperme liquide sortent toujours de sa teub et vont se loger dans nos bouches. Au plein milieu de son orgasme, il gueule :
- N’avalez pas !
Au total, j’ai bien compté 11 giclées. Je crois que c’est la première fois que je vois autant de sperme d’un coup ! Après qu’il s’est complètement vidé sur nos langues, il se baisse et il me saisit nos têtes. Il roule alors une grosse pelle à mon père ainsi qu’à moi en même temps pour qu’on ait bien le goût de sa semence.
Complétement dégoulinant de sperme et de sueur, on se relève et on va dans le salon, nus, afin de boire une petite bière. On se met un film. En plein milieu de la soirée, mon oncle vient se placer à genoux et il se met à triturer la queue de mon père ainsi que la mienne. Bien sûr, nos bites réagissent et elles se mettent à bander… Et c’est reparti pour un tour ! Je crois que je vais adorer ce séjour chez mon père !
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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