Je tiens à préciser que cette histoire est réelle, qu’elle m’est vraiment arrivée. J’étais à l’époque étudiant, j’avais 21 ans, je faisais 1,78m pour 65 Kg, avec une bite de 17 cm. Cette histoire s’est passée pendant mon année Erasmus. Je bossais à côté des études et j’avais rencontré d’autres français qui faisaient la même chose que moi. Je m’étais lié d’amitié entre autre avec Séb, un mec 100% hétéro (tout du moins, c’est ce que je croyais) qui était même fiancé avec une meuf qui était restée en France. On se voyait assez souvent les week-ends avec d’autres potes.
Un jour, nous avons décidé d’aller au carnaval de Cologne en train mais vu que Séb et Karima, une autre collègue, habitait dans la pampa, je les avais invité à dormir dans mon petit studio pour prendre le train tôt le lendemain. J’avais donné mon lit à Karima et j’avais demandé à Séb si ça le dérangeait de dormir sur le matelas gonflable à côté de moi (je le pensais toujours hétéro). Il n’y voyait pas d’inconvénients.
Après une petite soirée sympa, on se couche assez tôt pour pouvoir se lever le lendemain aux aurores. Je m’endors vite de mon côté du matelas. Mais dans la nuit, quelque chose me réveille. Une sensation qui ne m’est pas inhabituelle me tire de mes rêves. Une main me caresse le cul pendant qu’une autre est en train de me toucher sous la couette. J’ai déjà une demie-molle. Puis je sursaute quand je me rends compte que c’est mon collègue qui me tripote ! Je ne m’y attendais pas à celle-là. Il s’arrête de me caresser, attendant sûrement de voir ma réaction. Mais je ne bronche plus, je me laisse faire quand il recommence à faire coulisser mon prépuce sur mon gland. J’écoute attentivement : Karima semble dormir, sa respiration est régulière. Mais je ne peux pas trop bouger, le matelas gonflable fait du bruit à chaque mouvement. J’aimerais sucer Séb. Avec ma main, je cherche sa bite. Je la trouve, hors de son caleçon, bien droite. Je me mets aussi à l’activer. Dommage qu’elle ne soit pas très grande. Il arrête de me branler. Il utilise sa bave pour me dilater le trou, il entre un doigt, puis deux et commence à faire des va-et-vient.
Il se rapproche de moi, frotte sa bite à mon cul, m’écarte le trou et il y enfonce direct sa queue. Je suis assez serré… mais il force le passage ! Même si sa teub n’est pas bien grande, je la sens passer ! Il n’a pas utilisé de gel ! Ni de capote ! J’essaie de supporter la douleur. Puis après quelques mouvements de sa bite dans mon cul, la douleur se transforme en plaisir. Je bande très dur, cette situation m’excite. Je ne m’occupe plus du matelas qui doit bien couiner. Puis après quelques minutes, il me jute dans le cul. Moi, je me branle et j’éjacule de grands jets sur le drap pendant que sa queue est encore plantée en moi. Il se retire, moi je vais dans la salle de bains… et à mon retour il me prend dans ses bras. Puis il se retourne et on fait comme si de rien n’était. Karima semble dormir encore.
Nous n’avons plus reparlé de cette nuit. Le lendemain, nous nous sommes levés comme si de rien n’était. Nous avons pris notre train. Mais le soir à l’hôtel, Karima a fait une allusion genre « cette nuit, ne faites pas comme la nuit dernière et laissez-moi dormir tranquille ».
J’espère que cette histoire (réelle !) vous a plu, n’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires si vous voulez que je continue à publier mes histoires.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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