C’était il y a quelques années, dans une soirée pince fesses. On fêtait la promotion de la légion d’honneur d’une amie, il était 19h30 dans cette salle bondée de gens élégamment sapés.
On était très nombreux. Mais que faisait-il là, lui ? LE beau brun de mon quartier, qui me sourit tout le temps, quand il est en débardeur, sa toison noire explose de son torse puissant, ses jambes et ses bras sont très velus. Il est sapé comme un dieu, costume noir, chemise ultra blanche, cravate bleu ciel, chaussures noires. Sa barbe est soignée, ses pattes sont bien taillées. Sa ligne est mince, élancée, ses épaules sont impressionnantes, virilement viriles de chez viril…
A quelques mètres, il est orienté face à moi, il me fixe intensément. Ce qui se passe sur le podium ne l’intéresse plus, tous ces discours blablateux lassants, j’en suis gêné, il a ouvert sa veste, un bouton de sa chemise est défait… des poils noirs s’échappent du tissu ajoutant au côté bestial de l’homme. Il se touche, souvent en me fixant.
Je me surprends à être troublé, le souffle coupé. Je regarde ce qui se passe sur le podium sans le quitter du regard. L’homme m’a accroché. Je suis sûr qu’il me regarde avec envie, une envie primaire d’assouvir un besoin sexuel. Il me calcule tellement que mes fesses se serrent sans mon contrôle.
Le public applaudit le fin du discours de la récipiendaire, il me fait un signe de la tête, je le suis aux toilettes.
Grande classe ces toilettes, les cabines sont bien fermées, il y a un lavabo dans chacune d’elle, Il me pousse dans l’une d’elle. Il se jette sur ma bouche. Il me tient la tête, sa langue explore profondément ma bouche, elle est grosse, puissante, elle sent le menthol. Il renvoie des senteurs de parfum de qualité. Je pose ma main sur sa braguette, un énorme gourdin est orienté sur sa cuisse. Je défais la ceinture du pantalon, baisse le zip, son pantalon tombe à ses pieds. Il continue de me galocher, je caresse ses cuisses puissantes velues.
Il me pousse vers le bas, je me mets à genoux. Le lèche son zob à travers le tissu de son boxer, puis je descends sur sa cuisse, son sexe est à découvert, il est palpitant, son gland est découvert, un filet de mouille fait un fil translucide.
Je descends son boxer, sa queue se redresse, me tape en remontant et envoie un jet de précum. Il me biffle, il me fait mal avec sa queue hyper dure, son gland force ma bouche, je l’ouvre grand, il pousse jusque dans mon gosier, j’ai un haut le cœur, lui s’en fout et force ma gorge.
Elle est trop grosse, je ne peux plus respirer, comme je déglutis en réflexe, il gémit de bonheur. Je la prends à deux mains et l’extrait de ma gueule. Une flaque de salive s’en suit, je lèche son gland, agace son frein, je retourne à son gland, essaye d’entrer ma langue dans l’urètre, il souffle fort. Il caresse ma tête. Je le branle rapidement en aspirant son gland.
Lui « Putain tu vas me faire jouir chéri. »
Je redouble d’efforts, je le veux son jus, il agrippe mes cheveux, sa queue gonfle, il féconde ma bouche d’une demi-douzaine de jets de sperme très épais, sucrés. Il a jouit en grognant virilement. Je le regarde, le fixe dans les yeux, bouche ouverte.
Lui « Avale le jus de ton nouveau mec mon chéri »
J’avale par petite gorgée, il caresse mes joues, tient ma gorge le temps de sentir son fluide passer, il me relève, et me galoche à nouveau. Il est en sueur, je bande comme un fou. Je rote discrètement, il flotte une odeur d’hommes dans cette cabine, je sors rapidement en 1er. Lui me suit. Un homme est en train de ses laver les mains, il nous a gaulé, il sourit gentiment, il rougit. On se lave les mains, un homme entre dans les toilettes et dit :
L’homme « Putain ça sent la baise là-dedans ! »
Je positionne ma queue verticalement, mon blouson au bras, je cache la preuve de mon excitation.
Lui « File-moi ton 06, je te baise cette nuit »
Je glisse ma carte de visite dans sa main.
Je retrouve mon amie, je la félicite.
Amie « dis donc tu as crevé, tu as de ces cernes ! »
Moi « ouais j’ai un peu mal à la gorge en ce moment… »
Il ne m’a pas encore appelé, mon pantalon est tâché au plus mauvais endroit, une petite auréole de mouille sûrement.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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