(Merci pour vos encouragements, vos gentils messages, c’est très agréable, vos demandes de suite aux histoires sont très nombreuses, je les fais au fil de l’eau. Bises fraternelles, surtout prenez soin de vous !)
J’ai un pote dans ma commune, Rodolphe, très cool, très sympa, plutôt bien sur lui avec qui je m’entends super bien, on court ensemble, piscine et ciné, je reçois un texto ce samedi matin :
« Yo Bastien, soirée pyjama chez Narcisse ce soir à la ferme, on t’y attend vers 21h, apporte de la binouze, on sera une trentaine, bisous »
La perspective de cette soirée d’été chez ce mec m’enchante à moitié, je le sais assez brut de décoffrage, assez imbu de lui-même… bref je ne suis pas emballé, mais il n’y aura pas que lui…
J’arrive vers 20h, je mets les packs de Kro et de Despé au frais. Rod m’accueille chaleureusement, Narcisse lui me tape la bise, me remercie pour les bières et disparait. Mon pote a la même forme de pyjama que moi, un haut et un short… comme il est tbm, son bulge fait un gros paquet mal tenu par ce short léger… on dirait que sa teub va s’échapper par le bas…
J’aide à dresser le buffet, assez copieux, des salades délicieuses, des fruits, de la pastèque, du melon, de l’eau du vin et de la binouze. Je suis troublé, sur un guéridon un saladier de capotes, de gel, de poppers et autour des paquets de mouchoirs… ça va être chaud ce soir ?
22h, tout le monde est arrivé, 3 grands écrans diffuse NRJ hits, la sono crache assez fort, des petits groupes se sont créés autour du buffet, je discute avec Taylor, un anglais à l’accent délicieux. La chemise bien échancrée de son pyjama ne cache rien de sa belle toison rousse, dans sa poche un portable reçoit des messages continuellement. Il me parle de son pays, de son appartement de Londres, qui est trop cher. Il va venir s’installer à Lyon, plus abordable et les mecs sont bien plus beaux. En disant cela il dépose un bisou sur ma joue. Mes cheveux se dressent, ce contact me fait de l’effet, il l’a vu et sourit en coin.
Rodolphe nous a rejoint, il exhibe une demi-molle imposante qui n’a pas échappé au scan de Taylor. Le bel anglais va nous chercher 3 despés bien fraiches…
On part s’isoler, il y a une grande grange non loin de là, des mecs sont déjà là, allongés sur leur bras, ils exposent leur sexe au travers d’un pyjama qui ne cache pas grand-chose de leur envie.
On s’est mis à l’écart, sans dire un mot, Taylor pose sa main sur le short de Rod, je dégrafe sa chemise et caresse son beau torse velu, la queue de Rod est sortie, Taylor se penche pour la sucer. Je galoche Rod avec passion, il titille ma rosette, je soupèse ses grosses couilles, Taylor bisoute ma main et reprend sa fellation. Je n’ai jamais embrassé mon pote, cela s’est fait naturellement, sa langue a retourné la mienne, sa bouche sent la bière et la cigarette.
Son doigt a réussi à se frayer un passage dans mon cul, c’est Taylor qui l’a humidifié, il s’applique avec la queue de Rod, énorme, bien veinée, il la lèche sur toute la longueur, je pose ma main derrière sa tête et l’oblige à des gorges profondes, il me regarde avec ce sourire craquant… Rod craque et envoie la purée dans la gueule anglaise qui recrache tout, il se relève et me retourne… son annulingus est divin, le travail du doigt de Rod, la langue de Taylor et mon envie de prendre une grosse queue m’ouvre d’avantage.
Taylor s’est équipé d’une capote et en collant à mon dos m’investit à la sauvage. J’hurle ma douleur et mon plaisir, Taylor met une main sur la bouche, la queue anglaise est énorme, elle me destroy le cul, je sens ses couilles taper et bien racler les bords de mon intestin. Il est entièrement nu, les poils de son torse chatouillent mon dos, je m’accroche à deux pitons du mur, il me baise maintenant sauvagement, il remonte pour aller plus en moi, je ferme les yeux.
Rod me caresse partout, j’essaye de choper son membre qui a repris de la vigueur. Elle est vraiment grosse, elle palpite dans la main, je le branle, il prend possession de ma bouche avec sa grosse langue, je suis baisé des deux côtés. Je me pends à son cou. Taylor est en furie, mon colon me brûle de ses assauts virils, il sort de moi, les deux se sont concertés, Rod rentre en moi difficilement, il ne me ménage pas, il tient à me posséder complètement, Taylor embouche mon zob, il gémit en permanence, cette double sensation créée en moi une jouissance terrible, j’inonde une nouvelle fois la gueule du rosbif qui avale tout. Dans mon cul, j’ai déclenché celle de Rod, il remplit une nouvelle fois la capote. Taylor rote fort, ça pue le sexe dans notre coin, ce rot fait rire des mecs pas loin.
On entoure Rod, on veut le faire cracher, il se libère rapidement d’un « oh my God, my God, so crazy ! I love France »
On finit la despé, et retournons nous restaurer, Taylor croque dans une tranche de pastèque, du jus coule jusqu’à son torse, je kifferai lécher ce jus, mais trop de monde autour de nous, une femme mate nos bas ventre, elle est fasciné par nos queues qui n’ont pas trop débandées…
Un couple de nounours anglais nous a rejoint, Taylor doit leur relater nos exploits à ses potes, ils rougissent et me fixent intensément, je rougis comme une jeune fille qui va se faire dépuceler. On ingurgite plusieurs bières, ces oursons sont adorables, ils me prennent par les épaules et m‘entrainent dans la maison de Narcisse, on le croise, il leur fait des clins d’œil…
On entre dans une chambre avec un baldaquin, un des ourson me gaze plusieurs fois, la tête me tourne, j’ai chaud, mes orifices se détendent… l’un des oursons le plus grand, se fout à poils, il s’allonge sur le dos, il me demande de le rejoindre, de m’asseoir sur son gourdin, je suis effrayé par la bête, son copain asperge de gel cette masse, branche le tube dans mon cul et appuie, j’enjambe le mec et ma main dirige sa queue… je descends sur cette grosse queue, le poppers a bien aidé, j’en ai le souffle coupé, son copain me gaze à nouveau, il me prend par les aisselles, me soulève et me lâche sur cette grosse teub. Je m’y attendais, mais quand il a présenté son gland a côté de celui de son copain, j’ai paniqué, j’ai appelé mes potes, personne ne venait, alors il a poussé, j’ai essayé de rejeter ces sexes, sans succès.
Quand ils m’ont limé, j’ai adoré cela, mon colon était déformé, rien à voir avec une seule queue. Leurs ventres me bousculaient, leurs queues très longues ont craché en moi, j’ai jouis sur leurs poils tout ce qui me restait de sperme. Complètement défoncé, j’ai eu du mal à descendre les escaliers pour rejoindre mes potes Taylor et Rod.
Ils ont tout de suite compris quand ils ont vu que les oursons me suivaient, ils ne m’ont pas jugé, ils m’ont fait assoir et sont restés avec moi.
J’avais atrocement mal au cul, je l’avais fait, j’étais fier… quelle connerie ! J’ai mis un mois à m’en remettre, pommades cicatrisantes, anti inflammatoires… je redoutais d’aller aux toilettes… je ne recommencerais pas…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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