L’autre jour, je me promenais dans Valence en attendant mon rendez-vous professionnel. La ville est belle. Sans savoir pourquoi, je perdais connaissance en pleine rue, devant une boutique de fringues. Je me réveillais quelques instants plus tard dans l’arrière-boutique, deux jeunes hommes sont penchés sur moi. Les deux me tiennent les mains et me parlent avec douceur. J’ai dû faire un malaise vagal sans gravité. Mes hormones se réveillent instantanément face à ces deux jeunes mâles, bien musclés qui sentent très bon.
Ils m’aident à m’asseoir, je reprends des couleurs ; c’est une boutique de vêtements branchés, les deux mecs sont d’ailleurs super élégants. C’est l’heure de la fermeture, la boutique rouvre dans 3 heures. Ils me proposent de déjeuner avec eux, je refuse poliment, je reçois un texto : mon rendez-vous est reporté au mois prochain. Je suis donc libéré de toutes obligations et je décide de me laisser faire, j’accepte leur invitation mais je passe à la pâtisserie à côté pour prendre un petit gâteau et une bouteille de cidre.
Le repas est délicieux, le bœuf bourguignon est splendide. Les deux gars sont charmants, ils me disent qu’ils sont en couple depuis 3 ans et que leur affaire marche très bien. Ils sont très musclés, je suis sous le charme. Ils sentent mon attirance, le gâteau est vite expédié. Ils s’assoient à côté de moi, et entreprennent de me caresser, une énorme barre déforme mon chino, le clic-clac bascule en lit, je suis à leur merci. Ils me déshabillent entièrement, ils me caressent par effleurement des mains, ce qui me provoque des chairs de poules… et n’arrange pas mon érection.
Ils ne touchent pas mon sexe qui bat au rythme de mon cœur, qui suinte d’un précum abondant faisant une petite flaque sur les poils de mes abdos. Ils refusent que je les touche, je suis les bras en croix, les jambes bien écartées, mes couilles très pendantes, mon sexe réclame une bouche ou une caresse… je les supplie… rien n’y fait. Je suis chaud bouillant, j’ai envie de pénétrer, de me branler, d’éclabousser leurs jolis visages barbus, de remplir leurs conduits, bref de me vider. 10 jours d’abstinence me torturent…
Ils se désapent enfin, ils sont canons, très secs très musclés et surtout TTBM !
L’un prend possession de ma bouche dans un combat de langue viril, l’autre embouche mon gland ce qui me fait crier de bonheur. Mes testicules se resserrent immédiatement, ma queue me fait horriblement mal, elle est tellement tendue. Mon suceur me fait que des gorges profondes en déglutissant quand ma queue est dans sa gorge, cette sensation est fantastique. Il masse doucement la bourse de mes couilles, préparant mon éjaculation. Celui qui m’embrasse ne lâche pas l’affaire et viole ma bouche en permanence. Je saisis son énorme queue et la tire vers ma bouche, elle sent fort l’homme qui a bossé toute la matinée, un peu de sueur, un peu d’urine, un gout de cigarette. Je peux à peine engouffrer son gland, ma main branle les 20 cm de cette verge puissante. De l’autre côté le jeune mâle m’a habillé qu’une capote, dépose une grosse noisette de gel, et il s’assoie face à moi sur ma grosse queue en poussant un soupir grimaçant.
Je ne peux que subir leurs assauts, mon bas ventre s’envole vers des sensations exquises, ma queue le remplit bien et se prépare une agression spermique de grande ampleur. Je ne maitrise pas ses aller venus sur mon chibre et mon plaisir explose sans que je puisse l’arrêter, je remplis la capote d’une bonne douzaine de jets de sperme bien blanc. Lui arrose mes abdos de longs jets jusqu’à mes tétons. Il sort ma queue de son cul et s’allonge en posant sa tête sur mon sexe qui redescend en mollesse… celui de ma bouche asperge le visage de son chéri de 4 éjaculations. Il s’allonge de l’autre côté, on sombre dans une sieste réparatrice.
« Très bien madame, vous serez livrée jeudi comme convenu, au revoir madame »
Ils ont repris le travail, moi j’ai dormi 3 heures chez ces beaux mecs gentils. Depuis on se voit régulièrement pour des moments de plaisir intense, dans le respect de chacun.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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