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Chapitre 18
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci. Six mois plus tard, à la naissance de sa fille et de ma nièce, il m’a entrainé dans un coin de la clinique où il m’a baisé avant de m’avouer son amour. Je lui ai dit que je l’aimais aussi. Il a trouvé alors une solution pour mentir à sa femme et pour passer une semaine chez moi qui a été particulièrement intense. Puis, il lui a dit que je traversais une mauvaise passe et elle m’a ordonné de venir chez eux pendant quelques temps. Thomas venait me rendre visite la nuit. Mais un soir, alors qu’il me baisait, sa femme, et donc ma sœur, est entrée dans la chambre et elle nous a pris en flag alors que j’avais la queue de Thomas plongée dans mon cul... Après des jours à réfléchir, elle nous a surpris en proposant ceci : « Vous pouvez continuer de vous voir et de baiser ensemble. Thomas pourrait passer une semaine chez toi, Nico. Nico, tu pourrais venir un week-end ici. Je ne suis pas jalouse. Je veux votre bonheur. Moi, de mon côté, je vais aussi rencontrer d’autres mecs. » Et depuis, les deux amants profitent de leur liberté offerte.
Cela fait deux ans que cette entente entre ma sœur et nous a été prise. Depuis, je partage Thomas une semaine sur deux avec elle. Thomas et moi nous nous sommes pacsés en secret. Nous avons acheté un appartement ensemble, un qui est plus grand et qui est entre Toulouse et la ville où ma sœur vit. Je sais que ma sœur a un nouveau gars qui la comble sexuellement. Il s’appelle Matthias, il est plus jeune qu’elle et il accepte que ma sœur partage entre lui et son mari. Thomas et moi sommes plutôt fidèles mais quand l’occasion se présente, on fait des plans à trois ou à plusieurs. Thomas aime bien et il adore me voir me faire troncher ma chatte béante que personne n’arrive bien sûr à combler.
Notre appartement se trouve dans le centre-ville et il a un concierge, Rodrigue, très sympa. On a sympathisé et nous l’invitons parfois à manger, ainsi que son fils, Julien, qui a 19 ans et qui est blond. Ça constrate avec son père qui est d’origine espagnole mais ce-dernier était marié avec une femme suédoise et son fils en a hérité les traits. Julien est sympa, il vient souvent squatter chez nous car il aime bien jouer à la PS avec Thomas qui est aussi un geek de ce côté-là. Je me suis souvent dit qu’il aime bien mon mari et je surprends souvent ses regards sur le gros paquet de Thomas. Ça me fait sourire car je sais que c’est impressionnant.
Aujourd’hui, en revenant du travail, Thomas m’apostrophe :
- Tu veux savoir un truc ?
- Vas-y.
- L’ascenseur ne marchait pas ce matin donc je suis monté à pied. En passant par le premier, j’ai vu Julien sortir de l’appart de nos oursons.
Un couple gay habite au premier étage, ce sont deux gros oursons que je trouve pas mal mais que Thomas ne kiffe pas. Je réponds :
- Et alors ? T’es jaloux qu’il aille jouer avec d’autres gays ?
- Attends ! Tu as déjà vu ses fesses bien « présentes ».
- Ben oui quand même, elles sont bien bombées.
- Il est passé à côté de moi, il m’a salué et je me suis retourné discrètement pour mater son cul... Il avait des grosses tâches de sperme sur son jogging qu’il portait, comme toujours, au ras du cul !
- C’est pas vrai, quelle petite salope ! Je m’en serais pas douter !
Deux jours plus tard, quand je rentre dans l’appart, je me précipite vers Thomas.
- Tu vas pas le croire ! J’ai vu Julien, il sortait de l’appart des oursons ! Il portait un short court. Quand j’ai maté son cul, j’ai certes rien vu... mais il avait un filet de sperme qui dégoulinait le long de ses jambes !
- Putain ! Je m’en doutais ! Les deux l’utilisent comme vide-couilles ! La chance ...
- La chance ?
- Ben oui... Son petit cul fait bien envie !
- Ah... donc, tu fantasmes sur lui ?
- Bébé, on se dit tout, non ?
- Oui !
- Depuis que j’ai remarqué qu’il zyeutait sur mon paquet, je m’imagine en train de baiser son beau cul !
- Je savais pas que tu aimais la chair fraîche !
- Putain, tu peux pas savoir comme ce petit me fait bander... Je fantasme sur lui, comme cuve à jus !
La semaine d’après, semaine où Thomas est chez ma sœur, je croise de nouveau Julien qui rentre chez lui. Son jogging est de nouveau recouvert de sperme. Je me mets à sourire et Gérard, un de des oursons, me tire de ma contemplation :
- C’est une bonne salope !
- Quoi ? Euh.. Je...
- Je vous ai vu mater son cul. Il est énorme... et si serré ! J’adore le remplir !
Je prends le mec alors à part et je lui demande :
- Putain, j’ai vu ça ! Son cul a l’air génial ! Il ressort souvent de chez vous, dégoulinant de sperme ! Comment vous avez fait ?
- Venez chez moi, je vais vous raconter comment ça a commencé.
Le mec m’offre un café et il commence son récit :
- Un jour, il y a bien un an, le petit m’a abordé dans le couloir et il voulait savoir comment s’il pouvait savoir qu’il était gay. Je l’ai invité à rentrer dans l’appart. J’étais seul, mon mari était en voyage d’affaires. On a parlé. Je lui ai raconté que je le savais en fait depuis le début mon adolescence que j’étais gay. Il m’a dit qu’il a longtemps fantasmé sur un ami de son père, un policier beau gosse et bien musclé. Mais il n’avait jamais franchi le pas. Il a essayé de sortir avec une fille de sa classe mais ça l’a vite dégoûté... Et il se posait depuis beaucoup de questions. Je l’ai félicité pour le courage dont il a fait preuve de venir me parler. Je lui ai posé des questions sur sa vie puis il m’a demandé comment c’était le sexe « gay ». Je lui ai parlé dans les grandes lignes de ce qu’on pouvait faire mais il a posé des questions précises et personnelles sur mes envies, etc. Puis, quand il m’a demandé si j’étais fidèle, je lui ai parlé de la relation ouverte que Pierre (mon mari) et moi avions. Son regard s’est illuminé. Il m’a alors demandé en se levant qu’il trouvait son cul très gros... très féminin. Je lui ai simplement dit qu’il était bien foutu et que beaucoup de mecs seraient contents de se faire plaisir. Il s’est retourné, il a posé sa main sur mon entre-jambe en demandant : « Et toi alors ? ». Sans laisser le temps de me répondre, il m’a roulé une pelle et on a baisé ensemble. Depuis, c’est notre plan régulier.
- Et donc il vient ici se faire utiliser quand il est chaud ?
- Oh pas que ! Il vient en en effet dès qu’il est chaud. Mais il a une réputation sulfureuse dans le quartier. Je sais que le voisin du 4ème l’a pris en flag en train de sortir de chez moi, le cul plein de sperme... et il l’a alors dragué. Ils ont baisé ensemble. Officiellement, tous les autres couples ici sont hétéros mais Julien a couché avec les trois quarts des gars. Le rugbyman du 2ème et l’intello maigre du rez-de-chaussée sont ses plans réguliers... dans l’immeuble. Je sais de source sûre qu’il baise avec une bonne dizaine de mecs du quartier.
- Putain... Mais il semble insatiable.
- En effet... Mais il a un de ces putains de cul ! Trop bon à l’intérieur ! Il se fait baiser au moins 6 fois par jour. Minimum. Je sais aussi que le rugbyman a filé le tel du jeune à certains de ses coéquipiers de rugby... Tout comme le mec du 4ème qui en fait profiter ses potes. Je te dis... insatiable ! Et il prend toutes les bites sans faire le difficile ! En un mot, c’est un vide-burnes, accro à la teub depuis ses 18 ans.
Je discute un peu avec le voisin avant de ressortir, assez impressionné par ce jeune qui profite du sexe comme il le veut... Je l’en admirerais presque !
Une semaine plus tard, je rentre du boulot et je croise le jeune qui sort du 2ème ... Il a dû s’en prendre plein le fion par le rugbyman car, comme souvent, son pantalon de jogging qu’il porte au ras du cul est souillé par des grosses tâches de sperme. Je l’arrête alors et innocemment, je demande :
- Dis-moi, Julien, c’est quoi sur ton pantalon ?
- Oh je sais pas....
- Moi, je m’en doute... Mais par contre, je crois que tu fixes beaucoup le paquet de mon mari quand tu es avec lui.
- Quoi ? Moi ? Euh... Non... Désolé... Je voulais pas créer de problème entre vous...
- Tu sais, il a une queue hors norme. Elle fait 30 cm !
- C’est pas vrai !
- S, si ! Tu as envie de l’essayer ?
- Quoi ? Sérieux ?
- Tu te sentirais capable de prendre un morceau pareil ?
- Je sais pas... Mais j’avoue que j’aimerais bien essayer.
- Viens alors.
J’entraîne Julien à l’appart et quand on y entre, je dis à Julien de se déshabiller, ce qu’il n’hésite pas à faire. Julien a un corps mince, imberbe. Il est tout frêle. Il a une petite bite marron qui pend entre ses jambes, de bonnes couilles rasées. Son cul est une merveille, bombé, rond, musclé et imberbe.
Je vais voir Thomas et je lui annonce :
- J’ai une surprise pour toi...
Julien entre et Thomas est estomaqué.
- T’es sûr ?
- Oui, il sort juste de chez le rugbyman du troisième et je me suis dit que cette lubrification gratuite pour tester l’élasticité de son jeune trou à zob est une aubaine, qu’en penses-tu ?
- Tout à fait !
Thomas se dirige dans notre chambre où il se déshabille.
Thomas a un corps normal, avec un petit ventre qui pointe le bout de son nez et un corps bien poilu. Son ventre est à moitié recouvert de poils, son pubis et ses couilles sont très velues. Sa queue est posée contre sa cuisse. Elle lui fait comme une troisième jambe. Elle fait bien la moitié de la longueur de son avant-bras.
Julien va s’assoir à côté de lui, impressionné par ce morceau. Thomas prend sa main et la conduit vers son énorme bâton. Julien se met à la branler avant de diriger sa bouche vers la belle bite. Il prend le gros gland entre ses lèvres qu’il gobe avec envie. Julien commence à le sucer et Thomas pousse des gémissements. Il se retire et il admire, tout comme moi, le gros chibre : son gland rose est aussi gros qu’un abricot. Sa queue est épaisse, toute brune, veinée. Elle surmonte ses grosses boules velues qui sont elles aussi très foncées... et énormes ! Aussi grosse que des mangues !
Julien branle la bite et il branle. Sa main n’arrive pas à se refermer sur le gros membre. Il est impressionné. Puis, il essaie de l’enfoncer plus profondément dans sa bouche. Il continue jusqu’à ce que la queue bute au fond de sa gorge. Puis il la ressort et la remet dans sa bouche. Thomas le laisse faire en lui caressant les cheveux. Julien s’y reprend à plusieurs fois et il avale encore un peu plus la bite. Quant à moi, je me place derrière Julien et j’écarte ses fesses. Il a un beau petit trou rose et imberbe. Je regarde le jeune : je crois que le gland touche maintenant le fond de sa gorge... mais il la ressort car il a des hauts le cœur. Il s’y reprend à plusieurs fois mais il s’y fait lentement. Il enfonce la queue et il en les 2 tiers de sa teub dans sa bouche. Je sais qu’il doit avaler le délicieux precum de Thomas. Pendant ce temps, je me mets à jouer avec son trou.
Julien ne réussit pas à prendre plus des deux tiers. Mais il les suce avec envie. Je vois sa mâchoire déformée par le gros morceau. Moi, je lui fais un bon anulingus, me nourrissant en même temps du jus du rugbyman du 2ème. Quand il retire la queue de Thomas de sa bouche, je me précipite dessus et je lui montre ce que je sais faire. J’avale sa bite bien au fond de ma gorge. Thomas se met à donner de petits coups de reins avant d’entamer de long va-et-vient, chacun de ses coups de rein me faisant baver de partout. Sa queue n’est pas loin de mon estomac et je supporte tout ça très bien. Thomas se met à me démonter la bouche et la gorge. Cette séance de limage de bouche dure quelques minutes. Il me nourrit de sa mouille abondante et âpre qui passe directement dans mon œsophage. Je sens à chaque fois son gland écarteler ma gorge. Julien prend la suite et il essaie de m’imiter. Il accueille encore un peu plus de la teub de Thomas dans son gosier. Il est doué ! Dans quelques temps, il la prendra en entière, j’en suis persuadé.
Julien et moi alternons pendant 30 minutes la grosse queue de mon mari. Puis, je dis à Julien de se mettre à quatre pattes. Thomas est ravi quand il voit le trou déjà ensemencé du jeune. Il joue avec le sperme à l’aide de son gland ... avant de l’enfoncer dans l’anus. Julien crie. Il vient de se prendre le gland en entier dans son cul... Je connais cette sensation, je me souviens de ma première fois : ce n’est que le gland mais il a déjà l’impression que son cul va exploser ! Thomas donne de minuscules coups de reins qui font enfoncer petit à petit son engin plus profondément. Puis il ressort et re-rentre. Il prend son temps et de longues minutes passent, son sexe s'enfonce toujours plus profondément. Julien pousse des cris, un mélange de douleur et de plaisir. Je le sais : il sent sa prostate se faire écraser, ses sphincters se faire écarter. Centimètre après centimètre, le cul de Julien s'ouvre sous la poussée de l’énorme queue. Je vois l’énorme bite disparaître lentement dans le petit trou dilaté. Le sperme du rugbyman est comprimé et il ressort par vagues hors de l’anus et il tombe par terre. Je me place sous le ventre du jeune et j’assiste à un spectacle extraordinaire : son ventre se remplit et prend du volume sous l’effet de sa teub qui s’enfonce. Au bout de 10 ou 15 minutes, Julien se retrouve avec la grosse paire de couilles contre ses petites fesses tendues. Thomas reste immobile pendant quelques secondes, puis il se retire. L’anus de Julien est béant. J’en vois l’intérieur rose ! Thomas renfonce sa queue en entier, qui entre comme dans du beurre. Il entame alors des va-et-vient. Très vites, ses couilles grosses comme des mangues claquent contre les fesses du jeune. Sa queue dilate bien le trou. C’est impressionnant de voir ce tronc d’arbre empalé dans ce petit cul. J’admire les fesses poilues de Thomas son cul poilu se contracter et sa grosse bite qui disparait dans Julien, ses couilles poilues qui se balancent et qui fouettent le cul. Et à chaque fois qu’il en ressort sa bite tendue, je vois la chatte de Julien ouverte comme un énorme O ! Il s’y renfonce et je n’ai de cesse d’admirer cet anaconda, cette massue qui détend la chatte du jeune, qui l’ouvre et la déforme, comme s’il avait un tronc d’arbre dans l’anus.
Voyant que Julien résiste bien à son anaconda, Thomas le baise plus rapidement, avant de le pilonner à fond. Julien gémit fort. Je connais cette sensation de la teub qui percute sa prostate à chaque fois qu'il se fait pénétrer. Au bout d’un moment, je me place à côté de Julien et Thomas vient plonger sa queue dans mon anus. Il se penche sur moi et je me retrouve sur le ventre. Julien se lève et il assiste au spectacle de mon trou béant qui se fait défoncer par le gros anaconda de mon mari. Thomas me martèle le cul hyper vite. Je gémis de plus en plus fort. Son corps est plaqué contre mon dos. Je sens ses poils frottés contre ma peau. Mon cul se fait exploser par ses coups de queue, mes fesses et mes cuisses sont martelées par ses couilles à chaque coup de rein. Je me transforme en un jouet sexuel entre ses mains qu’il utilise pour assouvir ses besoins. Je repense à notre première fois. Je crois que Julien lui plait vraiment et qu’il lui fait découvrir une bestialité passée. Il n'a aucune pitié pour mon trou distendu.
Il ressort de mon trou au bout de 10 minutes et il fait mettre Julien sur le dos, le cul au bord du lit. Je vois que son anus tente de se refermer... mais il semble rester ouvert et béant. Mais Thomas gémit quand il s’y renfonce : il n’a rien perdu de son étroiteté. Julien supporte la teub sans trop broncher et Thomas le baise. J’admire ses couilles qui tapent le petit cul. Thomas devient très sauvage, très bourrin et il commence à défoncer le petit jeune à fond. Il le baise maintenant avec une rare violence. Chacun de ses coups arrache à Julien un cri de jouissance. Thomas rentre en tapant fort au fond de son anus. Il se penche sur Julien et il l’embrasse sauvagement. Il accélère toujours plus la cadence, sortant entièrement sa queue avant de la replanter toute entière dans le petit anus, ses couilles claquant contre le cul. Thomas est comme une bête. J’admire alors le ventre de Julien : je vois l’énorme gland de Thomas entrer dans le ventre avant que le reste de sa bite passe. Elle est tellement longue et tellement épaisse qu’on entrevoit dans son ventre une masse bouger à l’intérieur. Elle remonte le long du ventre pour s’arrêter sous mes poumons.
Thomas se pose sur le lit. Julien et moi allons nous occuper de sa teub. Chacun d’un côté, on lèche le gros morceau sur toute sa longueur, ainsi que ses couilles. Ensuite, je prends son énorme gland sur ma langue. Je ferme la bouche autour de son gland et je me mets à la sucer. Thomas pousse un gémissement. Je continue et son gland touche ma gorge. J’ai déjà la moitié dans ma bouche. Je suce son énorme bite mais il me prend la tête avec ses mains et enfonce son chibre encore plus profond jusqu’à ce que tout soit rentré. Puis il me lâche et je le suce. Je sens sa grosse tombe en travers de la gorge. Pendant ce temps, Julien lèche ses grosses couilles. Puis, on échange de rôle.
Par la suite, Thomas me pénètre, alors que je suis posé sur le dos. Je sens ses grosses couilles se frotter à mon cul et sa teub au fin fond de mon ventre en train de bouger. Il commence de petits va-et-vient et il me baise tendrement. A un moment, il se penche pour me rouler une pelle baveuse. Puis, il commence à me défoncer tel un marteau-piqueur. Ses coups de bite sont très rapides et brutaux et ses grosses couilles brunes frappent bruyamment mon cul.
Ensuite, il fait mettre Julien en levrette sur le lit et j’admire la pénétration. C’est assez incroyable de voir cet anaconda rentrer petit à petit dans ce petit trou. Une fois tout enfoncé en moi, ses grosses couilles au bord de son cul comme si elle lui appartenait, Thomas commence à faire des va-et-vient. Il sort sa bite à moitié de mon cul et la réenfonce. Il est assez doux. Finalement, il ressort, il se pose sur le lit et Julien va immédiatement le chevaucher. Il fait coulisser la grosse bite dans son trou que je vois disparaitre dans son antre jusqu’à ce qu’il soit complètement assis dessus et que les poils de ses couilles forment un tapis contre son cul. Je vois son ventre poilu que j’aime tant bouger à chaque claquement de cul sur son corps. Thomas plaque ses 2 mains sous les fesses de Julien et il le fait glisser le long de son bâton. Sa queue coulisse sur toute sa longueur et son bassin claque bruyamment contre les fesses. Julien gémit.
Thomas fait coucher Julien sur lui et j’ai une belle vue de 10 cm de sa teub qui sont dehors... le reste étant encore dans Julien. Et il le baise, les 20 cm restant en lui continuent de le labourer. Il le baise à fond. Julien pousse alors un cri et je vois sa queue qui éjacule sans qu’il se soit touché ! Il gicle de gros jets sur le corps de Thomas qui sent ses sphincters masser sa queue, il accélère les va-et-vient Julien ressemble à un pantin disloqué qui monte et descend sur le gros manche. Et au bout de 10 minutes, Thomas pousse un cri bestial. Je vois sa queue grossir encore plus, son membre viril est pris de spasmes et je sais alors que le cul de Julien est en train de se faire inonder. C’est comme si je ressentais moi-même son foutre gicler dans mon bide tellement la pression est forte, comme s’il était en train de pisser. Thomas gueule bestialement, les jets ne semblent pas vouloir s’arrêter. Il gicle bien 15 jets en Julien. Tout atterrit dans le ventre du passif. Il se retire quelques secondes et son sperme coule abondamment sur les couilles et les cuisses de Thomas.
Julien se redresse puis se couche. Je regarde son cul béant qui laisse encore échapper le sperme. Une flaque se forme sous lui car le jus ruisselle hors de son cul qui est super ouvert, ruiné, béant et qui est baigné dans le sperme chaud abondant. Thomas se place à côté de Julien et j’en profite pour lécher le sperme qui est resté sur les 30 cm. Puis, je vais les rejoindre. Thomas nous prend dans ses bras et il nous câline.
Au bout d’une demi-heure, Julien dit qu’il faut qu’il rentre, que son père l’attend pour manger. Il se rhabille et avant de partir, il demande :
- Je pourrais revenir ?
- Quand tu veux !, nous exclamons nous en même temps.
Il sourit, il nous dépose un baiser sur les lèvres, puis il part. Thomas se retourne, rayonnant :
- Nico, je crois qu’on a trouvé une superbe salope qui va t’égaler pour servir ma bite et être mon vide-couilles !
C’est le début de nombreux moments torrides entre le fils du concierge et nous durant lesquels il devient une chienne soumise aux 30 cm de Thomas ! Et malgré la situation particulière avec ma sœur, une vie épanouie continuera entre mon beau-frère et moi-même.
FIN
Merci à Thierry pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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