Il attendait comme moi dans la salle d’attente de la banque. Tout vêtu de noir, teeshirt cintré, pantalon chino noir enserrant un gros bulge. Barbe de trois jours, doigts fins et très longs, touffe de poils débordant du col, il fixe son smartphone. Il doit jouer.
Je ne peux détacher mon regard de cet homme jeune si bien bâti, aux épaules larges, aux biceps et pectoraux bien dessinés. Il lève les yeux et me fixe avec un petit sourire, puis replonge sur son téléphone.
On se lève en même temps pour nos entretiens avec nos conseillères.
30 mn se sont passés, je sors de la banque, il m’attend au distributeur :
Lui « salut mec ça va ? J’ai remarqué que tu me matais sans arrêt, je te plais alors ? »
Moi « euh… je ne sais pas… je…»
Lui « mais oui je te plais, tu fixais mon paquet, tu m’intéresses, je kiffe les daddies quadras… tu me suis j’habite à deux rues de là »
Son ton est tellement assuré, que je le suis, matant au passage son beau petit cul bombé, il se retourne souvent pour s’assurer que je le suis… il est magnifique aussi de dos, il est en V, je distingue des muscles, ses épaules sont bien arrondies. Il me fait entrer dans son appartement au rez-de-chaussée.
Lui « fous toi à oilpe, on va baiser, je vais détruire ta techa »
Comme hypnotisé par ce mec, je m’exécute sans broncher, je me retrouve à poil dans le couloir qui mène à sa chambre, il se colle derrière moi, son souffle puissant chauffe mon cou, les poils de son torse agacent mon dos, et une grosse barre horizontale cogne contre mes fesses.
Il est plus grand que moi, il tourne ma tête et farfouille ma bouche avec sa langue, je descends son boxer, sa teub se redresse et colle à ma cuisse, longue puissante, déjà très mouillée. Le contact de sa bite sur moi (prélude à mon enculage) et sa salive me font tourner la tête. Ses aisselles sentent un peu la transpiration, j’adore ça. Il retire mon boxer, ce qui soulage ma queue et permet à la sienne de coller mon périnée, entre mes cuisses. La lourde barre puissante entre mes jambes me fait rêver, j’ai envie de lui, je ne suis pas trop passif, mais là je veux me faire chienne. Sa longue queue pousse mes couilles vers l’avant, je serre mes cuisses…
Lui « tu as l’air d’être une bonne chiennasse, je vais te défoncer… »
Moi « nan je n’ai pas trop l’habitude, je suis actif… »
Pour toute réponse, il me pousse sur le dos sur son lit défait, badigeonne sa teub de gel chauffant, et avant que j’ai eu le temps de protester pour l’absence de capote, il entre la moitié de sa queue, je pousse un cri de douleur. Il a un visage d’ange et un corps hyper viril et musclé. Je suis sous le charme, sous son emprise, il ressort un peu puis m’investit plus loin. Ses abdos se contractent au rythme de ses poussées… quant à moi je suis écartelé, dilaté au maximum, quand je sens ses couilles, je suis ouvert en deux.
Il se calme, pause un peu, sa bite tressaille en moi au rythme de son cœur, je caresse ses cuisses velues, enserre sa taille et l’attire davantage vers moi, il me sourit et m’embrasse. Il saisit ma tête, ouvre ma bouche et me galoche virilement, pendant qu’il me baise, sa queue m’arrache des gémissements. Quand il rentre en moi, je saisis ses fesses pour qu’il aille plus loin encore.
Soudain il ressort, largue deux jets de sperme et reprend sa place, sa baise est plus violente, il n’y a plus de gel, mon cul chauffe incandescent… sa queue a encore grossit, elle déforme outrageusement mon rectum, mon cul est à vif, mes fesses sont hyper sensibles. Son bassin cogne mes fesses, ses énormes couilles tapent mon périnée. Je vais jouir, ça se prépare dans mes reins, j’explose en serrant son membre, j’hurle mon bonheur.
Lui me pilonne à l’horizontale, je bois sa sueur, il n’est que muscles bandés, je suis sur un petit nuage, il se retire s’approche de mon visage, ouvre ma bouche et la remplit de sperme bien épais. Il gémit en grognant. Je lui masse les couilles pour bien tout extraire. J’avale sa liqueur de mâle alpha, puissante, jeune et fécondatrice.
Son regard a changé, il est devenu dur.
Lui « bon casse-toi petite pute, tu reviens dimanche à 14h, mon frère de sang sera là, Mohamed, on va te baiser en double… n’oublies pas, dimanche à 14h chez oim. »
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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