Lui « Bastien, retirez votre polo svp, et respirez fort, toussez… »
Il pose son stéthoscope froid sur ma peau. Une vague de chair de poule parcourt mon corps. D’une main il me tient par l’épaule et de l’autre il écoute mes poumons et mon cœur. Je suis en boxer, assis sur la table d’auscultation. L’interne à côté de lui a les mains dans les poches de son pantalon de velours, il n’arrête pas de se toucher la queue.
Lui « Bien Bastien, allongez-vous sur le dos, svp »
Je suis gêné, ma queue fait une bosse incroyable, elle déforme le tissu de mon boxer. J’ai une demie molle causée par le bel étudiant d’une vingtaine d’année très brun. Le docteur appuie sur mon ventre et me demande si j’ai mal. Il a des gestes professionnels, et moi telle une lope en chaleur j’y sens des attouchements sexuels.
Lui « Damien svp, manipulez lui les deux jambes »
L’étudiant s’approche et avec ses grosses paluches tâtent mes chevilles, puis remonte vers mes genoux, puis pousse vers mes cuisses jusqu’à l’aine en effleurant mes couilles volontairement. Il kiffe mes jambes très poilues, ses palpations se transforment en caresses dès que le médecin a le dos tourné. Son bassin appuie sur la table, mes bras allongés sont collés à sa braguette, je sens bien sa grosse barre. Il a un regard lubrique.
Il prend ma tension.
Une infirmière frappe et entre en trombe dans le cabinet, le médecin est attendu d’urgence pour un blessé très grave.
Lui « Damien terminez l’auscultation du patient, je vais en avoir pour un moment, à bientôt Bastien, portez-vous bien »
L’étudiant ouvre sa braguette et sort un membre imposant.
L’étudiant « Suce salope, ça fait 30 mn que tu m’excites »
Je n’ai qu’à tourner la tête pour être en face d’un gland énorme. Il suinte en continue, il fuit de sa mouille bien claire. J’embouche sa queue, le mec soupire d’aise. Avec ma langue je titille son frein, à chaque coup de langue, le mec sursaute. Sa teub est bien longue et large, il ne viole pas ma bouche et me laisse aspirer son précum en soupirant. Il caresse mes cheveux, ferme les yeux et savoure ma fellation. Ma queue est sortie du boxer et palpite en cadence. Un long filet coule également.
Plusieurs fois il se retire pour ne pas jouir trop rapidement.
L’étudiant « met tes jambes dans l’étrier. Retire avant ton slip »
Mes jambes sont bien écartées, mon cul est au bord de la table, il barbouille mon anus avec une solution visqueuse, présente sa grosse queue et me pénètre d’un coup. Ma main est devant ma bouche pour hurler sans bruit. Lui s’enfonce au maximum et va fouiller dans mes intestins. La douleur est atroce, je sens cette poutre prendre possession de moi. Il a ouvert sa blouse et sa chemise sur un torse très poilu, très sexy. Il sait où se trouve ma prostate et joue avec sans ma permission. La douleur a disparue, il sent mon cul se détendre, il entreprend un pilonnage en règle. Il donne un effet circulaire avec son bassin, sa queue dilate ainsi tout mon colon, et m’arrache des cris de bonheur.
Chaque coup de rein contracte ses abdos poilus, il tombe la blouse et sa chemise, ses épaules sont puissantes, ses bras très virils. Il me baise sans concession, sans pitié, il prend SON plaisir, je lui sers de vide couille. Je saisie ma teub et me branle en cadence. Il retire ma main, juste avant que je crache… c’est lui qui s’en occupe, il dose ses va et vient, c’est encore plus jouissif. Il m’emmène à son rythme vers mon orgasme. Je m’abandonne à lui, je sens sa teub grossir encore et encore. Ça grouille dans mes reins, l’éjaculation a été inexorable, mes cris ont accompagné les siens, il s’est vidé en moi. Mes jets ont atteint ma bouche, j’ai fait un étourdissement de bonheur. Lui est en nage, la sueur sublime son corps de mec très viril, ses poils sont collés, sa peau est luisante. Il est épuisé. Sa queue est encore en moi, elle finit par glisser hors de moi et retombe lourdement sur ses cuisses. Mon anus libère des flots de jus. Je décompense cette jouissance. Je suis tombé amoureux de lui. Lui s’est rhabillé, il est assis au bureau et signe le certificat médical. Il me congédie. La secrétaire médicale a un sourire en coin, elle a tout entendu.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à
histoiresle7@yahoo.com
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