Chapitre | 1
Comment ne pas craquer devant ce corps très élancé, ce ventre plat, ce bulge qui ressortait d’autant, ces biceps qui distendaient les manches de cette chemisette blanche stretch, cette barbe de trois jours bien entretenue, cette coupe de cheveux soignée d’un brun érotique, le tunnel du haut de ses cuisses puissantes, ce fessier appétissant… cette aisance dans son déplacement, ce docteur remplaçant faisait chavirer la salle d’attente pleine à craquer… les mères de famille se regardaient, le rouge aux joues, je l’avais scanné en un instant, j’étais sous le coup de foudre, il remplaçait très avantageusement la vieille dame qui me servait de docteur… à chaque entrée de quelques secondes dans la salle d’attente, je me craquais d’amour pour lui. J’avais un pincement de cœur à chaque fois… les femmes soupiraient comme moi…
J’avais entamé une prière « pourvu que ce soit lui qui s’occupe de moi » « pourvu que ce soit lui qui s’occupe de moi » « pourvu que ce soit lui qui s’occupe de moi ». La salle d’attente était presque vide, il ne restait que moi et une maman avec son mioche. La patiente fut prise de suite par une doctoresse charmante. J’étais tout seul. J’avais déjà lu toutes les affiches murales, toutes les recommandations du corps médical… les tarifs des consultations… tout tout tout. J’avais posé ma tête en arrière sur le mur, je patientais résigné…
« Monsieur, Monsieur c’est à vous, Monsieur Bastien… » Il venait de me réveiller en douceur sa main posée sur mon épaule. Sa très large main enveloppait mon épaule. « Venez c’est à vous, désolé pour le retard, vous êtes mon dernier patient, venez installez-vous, alors je vous écoute »
Assis en face de lui, je n’en menais pas large, sa voix très grave, sa carrure, sa chemise entrouverte sur une toison brune, je devais avoir 50 de tension…
« Voilà docteur, je ne me sens pas très bien, j’ai souvent des vertiges… »
« Bien je vois, mettez-vous en boxer et allongez-vous ici, je vais prendre votre tension »
Il ne me regardait pas quand je me déshabillais, je rangeais et pliais mes affaires sur la chaise. Je tirais un peu sur mon boxer, réajustais ma queue et m’allongeais sur la table d’auscultation.
« 14/8 elle est un tout petit peu haute votre tension, je pense que c’est l’attente très longue de tout à l’heure »
Il se mit à palper mon ventre, avec ses deux mains, c’est quand il se rapprocha de l’aine, que ma queue se manifesta violemment… elle occupa toute la partie gauche de mon boxer… la grosse veine se voyait parfaitement.
« Bien je vois que vous êtes en forme de ce côté-là », dit-il en souriant. « Pouvez-vous descendre votre boxer svp je vais ausculter vos testicules. Voyons cela » je pris un coup de chaud, je fis glisser mon boxer, ma queue se dressa contre mon ventre illico. Il prit chacune de mes couilles et les fit rouler dans ses doigts… je soufflais comme un bœuf, j’adore ça… je suis capable d’éjaculer quand on me touche les boules…
« Bien vous pouvez remettre votre boxer, non attendez je vais faire un toucher rectal pour voir votre prostate… » Il mit un gant, enduisit son index de vaseline et introduisit son doigt là où ça me fait le plus de bien… mon gland se mit à couler de mouille… je rejetais la tête en arrière, il faisait ça très bien d’ailleurs. Je matais sa braguette, une drôle de barre avait fait son apparition… ma queue elle était au zénith de son déploiement 23x7 avec une base très large et un gland en forme d’abricot bien mûr. Elle battait au rythme de mon cœur. Je vis le docteur se réajuster plusieurs fois, elle devait le gêner.
Il s’absenta quelques secondes pour aller fermer à clé le cabinet. Nous n’étions plus que tous les deux.
« Bien descendez de la table svp, joignez vos pieds, étendez vos bras, c’est bien, maintenant baissez-vous, allez toucher vos orteils si vous pouvez… oui c’est bien comme ça, ne bougez plus »
Il posa son index sur ma nuque et descendit jusqu’à mon coccyx, puis il dérapa, Il me caresse l’arrière de mes couilles ainsi que l’arrière de mes cuisses, qu’il trouva très velues.
Je me relevais en faisant mine d’être choqué, je me retournais, il était déjà en boxer, un ours adorable, avec un slip hyper chargé.
« Viens me sucer, tu es en pleine forme, tu as juste besoin d’un bon coup de queue et de vider tes couilles… »
Je m’accroupis, essaye d’extraire sa grosse queue de son slip, elle est énorme, massive, une vraie buche, un gourdin. Je ne peux pas la gober, alors je la lape comme un petit chat, à chaque coup de langue, il gémit sourdement. Je pose ma langue à la base de sa queue, sur la grosse veine et je remonte jusqu’au frein, il souffle très fort.
« J’ai vu des bites et des culs depuis ce matin, tu vas me soulager, bouffe ma bite petit gars ! » je le branle à deux mains, je lèche en même temps son gros gland, il me regarde avec tendresse, il veut davantage, je le sais.
Il me retourne, me couche sur le bureau, choppe la vaseline, s’enduit la queue, et mon trou, puis avec un grand « han » pénètre mon antre d’amour jusqu’au fond, je manque d’air, mais lui ne s’arrête pas et me besogne sans arrêt. Mon colon est dévasté, mais j’aime ça. Il me bourre comme si sa vie en dépendait, son bassin claque mes fesses, sa queue est hyper dure comme une batte, il tient mes bras en arrière et dispose de moi, il me baise, j’ai l’impression que son membre grossit encore ; je sens le moindre de ses muscles, il sent bon, Eau Sauvage de Dior, son corps est dur comme le béton, je suis enveloppé par son torse puissant quand il se couche sur moi et me pénètre plus profondément, je gicle sur le bureau, lui se vide en moi sans un bruit, juste des coups de reins plus appuyés.
« Allez rhabillez-vous, vous allez très bien, pas d’arrêt de travail, vous êtes en pleine forme, ça fera 25 euros ! » je me rhabille sans un mot, pose mes deux billets sur le bureau et sors énervé, mais heureux. Le mec que je kiffais depuis deux heures me l’a bien rendu, j’ai dû l’exciter par mon regard dans la salle d’attente. Ça ne coule pas derrière mes cuisses, il n’y avait pas beaucoup de jus. Je garde précieusement son jus. Je reçois un texto de sa part : « merci, viens après-demain vers 19 h, avec mon copain podologue, on va faire ta fête. Il en a une longue et très agile. »
Chapitre | 2
Deux jours après, un vendredi soir, je me présente à 19h00 comme convenu dans le cabinet médical. Il ne reste qu’un vieux monsieur qui tousse beaucoup avec une canne.
Un grand mec vient le chercher, il est déjà passé chez le toubib, j’entends la porte d’entrée claquer, il n’y a plus que moi, un quart d’heure après la porte claque à nouveau. Une voix d’homme se fait entendre :
« Salut comment vas-tu ? « il » est arrivé ? Putain j’ai les couilles pleines ! « Elle » ne rentre que dans quinze jours » « Oui t’inquiète il est là… on va l’ausculter tous les deux… » La porte de la salle d’attente s’ouvre sur le beau toubib : « Venez c’est à vous, entrez déshabillez-vous complètement, allongez-vous…, mettez-vous sur le ventre » Ils tirent ma queue en arrière, ils écartent mes fesses, le grand toubib lèche mon trou, l’autre présente sa queue à ma bouche. Il injecte avec une seringue sans aiguille, de la vaseline, monte sur le lit et me pénètre d’un coup.
Il pilonne tel un métronome, sa longue queue se plie souvent, son copain toubib la remet dans le bon sens, et il reprend sa besogne. Le toubib prend des photos ou filme, quand il va au fond de mon cul, ça me fait mal, il navigue dans mes reins. D’un bond il se retrouve devant ma tête, il tient sa queue, des geysers de sperme m’aspergent le visage, le mec lui gémit son orgasme, j’ai le visage trempé, gluant, mes yeux sont fermés, la bouche ouverte, le sperme envahit ma bouche jusque ma glotte. Ce mec a éjaculé au moins 12 jets de jus, c’est incroyable ! son copain le toubib les a compté, il a la queue à la verticale, il se sert de ma bouche comme d’un vagin et me baise façon bourrin, à son tour il explose dans ma gorge et me féconde directement dans le gosier. Cette baise aura duré 10 minutes, ils se sont vidés comme des morts de faim en moi, ils me descendent de la table, mes affaires dans mes bras et me mettent dehors, dans le couloir de l’étage. Je suis en slip, aspergé de jus sur le visage, une gaule de compète à me faire mal ; ils me jettent une serviette de toilette et claquent la porte. Je me rhabille fissa devant un couple qui rentre chez eux. Jamais je ne retournerai chez ce toubib salopard, trop humilié.
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Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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