Avec la chaleur, retour à l'endroit chaud préféré de Valence, l'épervière. C'est un coin très gay, fréquenté par la population chaude de Valence et des environs.
Hier soir j'y suis allé en short noir et un tee shirt noir. Je me présente : Bastien, 35 ans, 185 cm très brun, 17x6 et très poilu. Je me suis rendu donc au bois, et au plus profond, je me suis adossé à un arbre, le cul bien cambré en attendant qu'un mec vienne me faire ma fête. Mouchoirs, capotes, gel tout est dans ma poche. Plusieurs hommes passent derrière moi sans me toucher, des passifs sans doute.
Je baisse mon short et mon boxer sur mes cuisses, la légère brise me chatouille asséchant une intimité humide par cette chaleur. Plusieurs hommes maintenant me frôlent avec leur paluche mais aucun n'essaye quelque chose.
Un grand mec la trentaine arrive, très mince avec un petit sac à dos. Il claque mes fesses et insinue un grand doigt dans ma raie. Je soupire et cambre plus mon cul. Je me tiens à l'arbre avec ma main gauche, avec la droite je frotte son paquet. Son instrument et à moitié bandé et est emprisonné dans le slip... le gars a une respiration rapide, il mouille son doigt et explore mon cul... je ferme les yeux. Il se penche vers moi et m'embrasse dans le cou, mes poils se hérissent et ma queue est toute droite. Il soupèse mes couilles mais ne touche pas à ma queue.
Il farfouille dans son sac à dos et sort un tube de gel, il plaque le tube contre mon trou et me remplit de gel. Sa queue me fait peur maintenant, elle est énorme : un gland imposant, au moins 20 cm et très large... je crains mais ne dis rien. Le gars me travaille bien le cul, je mouille comme une jeune fille, ma bite poisse grave.
Il a descendu son pantalon et son boxer, sa bite tape contre mes fesses, je caresse son ventre de ma main libre, il a un filet de poils bien fourni qui descend du nombril, et je sens ses abdos qui tressaillent. Deux gars se sont arrêtés et attendent la saillie... d'autres passent indifférents.
C'est LE moment. Je me cambre au maximum, un des deux gars écarte mes fesses et lui dit " vas-y nique le ce bâtard ! " mon partenaire mets une capote et balaye sa grosse queue sur mes fesses, entre mes cuisses, il se fait désirer... puis je sens son énorme gland se poser à l'entrée. Je respire un grand coup, il tire ma tête en arrière et il force... son gland m'arrache des larmes, il est énorme, plus gros que je ne pensais, plus gros que celui de mon copain... sans s'arrêter il me pénètre complètement, j'essaye de me débattre mais les deux hommes me maintiennent fermement, le gars m'embrasse dans le cou à nouveau, les deux hommes caressent toute la zone devenue très sensible. Son membre prend une place énorme, mes chairs sont écartelées, j'ai mal, le gars le sais et ne bouge plus. Seulement des mouvements de bassin de gauche à droite : il fait sa place... la douleur se calme... il se retire doucement, je manque d'air, puis il s'enfonce d'un coup... j'ai le coeur qui bat à fond, les deux gars se branlent en m'insultant, mon partenaire commence ses puissants va et viens, je ne suis plus qu'une chose dans ses mains... son énorme queue me défonce littéralement, ses couilles pendantes battent mon scrotum, je ferme les yeux et me laisse aller, j'ai l'impression qu'il touche le fond de mes entrailles, sa queue palpite dans mon cul, elle se durcit. Sans me toucher, accroché à mon arbre, je jouis de longues giclées de sperme en hurlant, les deux gars aussi giclet en même temps. Mon compagnon d'un soir me dis à l'oreille je vais te féconder ma chérie, il s'enfonce à mort dans moi... je sens qu'il jouit dans la capote... c'est interminable, à chaque giclée sa grosse queue trésaille et m'arrache des gémissements. Lui souffle juste plus fort. Je suis anéanti. Il sort doucement de ma caverne, sa queue est énorme et bien dure. Je sens l'air frais dans mon trou (véridique), les deux gars sont partis depuis longtemps, mon beau gars se colle à moi en soufflant et me dis " putain ce cul, tu viens là souvent ? " je déteste cette question, le charme est rompu. Je m'essuie, mon cul est douloureux, le paquet y passe. Sa grosse bite n'a pas débandée, j'adore la bosse qu'elle fait dans le boxer... il se réajuste et s'en va me laissant là, épuisé.
J'ai envie de le revoir maintenant... c'est mon copain qui va pas être réjoui...
LE7
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