Il s’est passé quelque chose dans notre échange de regard, lui brun, casquette à l’envers, barbe hirsute, blouson aviateur, des yeux marrons tout ronds.
Il m’a fixé au-delà de ce qu’il est convenu dans nos relations sociales. Il parait qu’au-delà de 3 secondes… il faut y voir un contact… lui m’a fixé droit dans les yeux avec un sourire à décrocher la lune. Au rayon fromage nos mains se sont effleurées pour saisir un Cœur de Lion… ce fut très électrique, un frisson a parcouru mon dos, et mon sexe s’est déployé.
Lui « Ça va, tu es du coin ? »
Moi « Oui j’habite pas loin, tu veux passer chez moi après les courses ? »
Lui « Oui j’ai grave envie, je te sens passif c’est vrai »
Moi « Bingo, je suis très soumis en ce moment. »
Lui « Bon dépêches toi de finir, et je te suis »
Je suis assis sur mon canapé, il est là en face de moi debout, insolent de beauté, son pantalon plein à craquer, une énorme barre déforme sa braguette. Je suis fasciné par son engin, je tends les bras pour l’atteindre, lui ne bouge pas. Il est à deux mètres de moi. Je me laisse tomber à genoux sur le tapis du salon, je retire mon polo et avance à genoux vers lui. Lui ne bouge toujours pas. Quand je suis sur le point de l’atteindre il recule d’un pas.
Lui « Demande moi gentiment ce que tu veux ! Sale petit pédé »
Moi « S’il te plait mec, sors-moi ta grosse bite, je la veux… »
Il dégrafe sa braguette, baisse son pantalon jusqu’aux genoux. Sa bite explose son boxer, à ce rythme-là, son boxer ne va pas résister longtemps.
Je m’approche de lui, je suis à la bonne hauteur. Je pose mon visage sur le tissu tendu, je sens sa teub palpiter, elle semble incroyablement dure… je la lèche sur toute la longueur. Il descend d’un coup son boxer, sa grosse bite me frappe au visage assez fort. Il n’est pas encore complètement décalotté, son gland est luisant de mouille. Je suis impressionné par la largeur de l’engin. On dirait un gros concombre vivant ! J’embouche ce gland provocateur, le mec pousse un soupir, et donne un coup de rein. Je manque de vomir, il a franchi ma gorge, je le saisis et essaye de maitriser ma fellation.
L’homme en veut visiblement davantage, il me relève, me demande de m’appuyer sur la table basse, il saisit une plaquette de beurre à tartiner dans le sac des courses, descend mon jogging d’un coup, enfonce un morceau de beurre dans mon cul, le contact est agréable, je me sens offert à sa loi, je veux qu’il me baise.
Lui « Ah oui tu veux de la bite, tu vas en avoir… »
Il me tient par les hanches, son gland pénètre mon intimité, je chiale tellement la douleur est forte, lui est indifférent à mes plaintes et progresse en moi. Le paradoxe du beurre si doux c’est qu’il facilite l’envahissement et donc la douleur. Je croyais impossible d’être enculé par un tel gourdin. Je sens l’intérieur de ses cuisses et ses couilles contre moi. J’étais puceau de ce côté-là, je ne le suis plus. J’ai mes intestins ravagés par cette énorme chose vivante en moi.
Peu à peu je me détends, mes sphincters aussi, il flotte dans la pièce une odeur d’homme et de beurre, de sueur et de phéromones.
Il ressort complètement de moi et replonge au plus loin de mon corps, le bruit que fait sa queue en sortant est terrible, quand il rentre en moi, j’hurle et me recule pour mieux le prendre. Ce simple geste le rend fou et il massacre mon anus. Il me jette sur le canapé, et me défonce littéralement. Sa baise est bestiale, brutale, sans concession. La douleur a muté en plaisir intense, chaque moment de vide laissé par sa bite doit être comblé. Je l’insulte, je le provoque, je veux qui me féconde. Je sens sa queue grossir encore en moi. J’ai délicieusement mal, ma queue est flasque, il est allongé sur moi, je sens son souffle rauque sur mon oreille, il va jouir.
Je relève mon cul pour coller davantage à son bassin fougueux. Ma prostate est décédée, écrasée par son membre puissant, mon anus est distendu, mon colon est irrité, le beurre lubrifiant a disparu, cette baise est bestiale, il pousse des cris et se libère en moi. L’effet est immédiat, mon colon lubrifié baigne dans le miel et chose incroyable, ma queue demi-molle jute à n’en plus finir. Il est encore en moi, essoufflé sur mon dos, sa queue pulse encore en moi, ses couilles velues irritent mon périnée.
On s’endort comme ça collés ensemble, lui sur moi.
Je retrouve un mot sur la table du salon :
« J’ai bien kiffé ta chatte serrée, pile poil à la taille de ma queue, je reviendrai te baiser ma petite pute, tu es un bon vide couille. Salope. Je suis hétéro mais un cul est toujours un cul et le tien, bien lisse, bien rond est un bonheur. Reposes toi. Je reviendrai avec un pote. A plus »
Question à mes lecteurs « voulez-vous que son pote le baise ? Qu’en pensez-vous ? Décrivez le moi »
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
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