Comment ne pas craquer devant ce mâle imberbe, en short de basket, torse nu luisant qui tourne dans le parc en ce samedi matin de mai. Son sac à dos saute… il le gène c’est sûr.
Ses abdos sont martyrisés, tout son corps n’est que muscles, sa foulée est ample, le mec est grand, ses jambes sont striées de muscles saillants, quand il passe devant mon banc on a l’impression qu’il vole, il est aérien.
Est-ce de la provocation, ou j’ai l’esprit retord, mais il s’arrête régulièrement sur le banc d’en face, à 5m, pour s’étirer, développer ses jambes, lancer ses bras vers le ciel, boire à grandes gorgées sa gourde.
Je suis au spectacle, je n’arrive pas à me concentrer sur mon Stephen KING, je reviens souvent en arrière pour relire des paragraphes survolés…
Il s’approche de moi
Lui « je peux vous confier mon sac à dos, il me saoule quand je courre… » Dit-il à peine essoufflé, son torse est en sueur, je kiffe les veines de ses biceps, très grosses. Ses avant-bras sont veinés aussi. Le mec est sec.
De profil, son bulge est imposant, il porte à gauche, à l’horizontale. Je suis mal à l’aise dans mon pantalon, je suis gêné.
Lui « que vous arrive-t-il, eh oh monsieur ! » j’ai eu comme une absence perdu dans mon coup de foudre, mes yeux fixés sur son bas ventre.
Moi « oui oui pas de problèmes, je vous le surveille… »
Lui « vous savez s’il y a des toilettes ici ? »
Tu parles que je sais, c’est un lieu bien connu pour être chiotte à gay…
Moi « c’est juste là, d’ailleurs je vous accompagne, je me retiens depuis 15mn… »
On déballe tous les deux nos tuyaux d’arrosage, le sien est énorme, en demie molle, il est circoncis, le mien est tendu comme un arc, difficile d’uriner… il tend la main vers mon sexe, je ferme les yeux, sa main chaude me branle frénétiquement, je ne suis pas long à jouir, mon jus dégouline dans la vasque, il recueille une goutte, la porte à sa bouche, et repart en petite foulée…
Je me rassoie sur mon banc, son sac à côté de moi, vidé du jus que je réservais à ma copine pour ce soir, c’est mieux je serai plus endurant.
Je ne lis plus, j’ai trop envie de le sucer, sa queue est appétissante. Au bout d’une heure, il récupère son sac, griffonne un numéro sur un papier, et repars en me laissant pantois, cuvant encore ma jouissance…
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.comm
LE7
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