Premier épisode
LE beau brun de mon quartier, qui me sourit tout le temps, quand il est en débardeur, sa toison noire explose de son torse puissant, ses jambes et ses bras sont très velus. Il est sapé comme un dieu, costume noir, chemise ultra blanche, cravate bleu ciel, chaussures noires. Sa barbe est soignée, ses pattes sont bien taillées. Sa ligne est mince, élancée, ses épaules sont impressionnantes, virilement viriles de chez viril…
Je lui avais laissé ma carte de visite, après l’avoir vidé. Il est 21h30, le lendemain soir, je reçois un texto. « Yo, j’ai besoin de tes services, je veux te ken maintenant, je dors avec toi, j’apporte le petit déjeuner et ma grosse teub »
En lisant le texto, ses odeurs me reviennent en mémoire, la densité de ses muscles percutent mon corps, le goût de son jus remonte en moi, sa voix très grave me fait trembler, la texture puissante de son zob flageole mes jambes.
Je lui réponds, mon adresse et une photo de mon boule.
Je file à la douche soignée, intérieure et extérieure, mon cœur s’emballe, je suis sous son emprise, ça fait longtemps que mon colon n’a pas vu de zob, je suis super serré. Dans le tiroir du chevet, j’ai deux poppers puissants, du gel chauffant et des présos xxl.
Il sonne, et entre direct. J’ai une grande serviette autour de ma taille, lui Il est en costume noir, chemise noire, cravate rouge. Il est d’une élégance rare.
Je lui retire sa veste, il se laisse faire. Je déboutonne sa chemise, ôte ses boutons de manchette, sa pilosité m’excite, je sens sa chaleur, une légère odeur de sueur discrète se dégage de ses aisselles poilues, je les lèche, je retire ses shoes, ses chaussettes, puis j’attaque le gros ceinturon, sa bite déforme son pantalon, je retire son pantalon, je descends son boxer calvin, sa queue est épaisse et longue.
Je la pose sur mon cou, ça m’excite grave, il me badigeonne de précum, partout sur le visage.
Il ne veut pas que je le suce, il me dit qu’il veut profiter de mon cul direct, je suis tellement excité que mon anus s’ouvre tout seul, j’ai trop envie et besoin d’être rempli par lui.
Je m’agenouille au bord du lit, le cul en l’air, offert, poppers, gel et capote à portée de main.
Il débouche une bouteille de champagne, il me fait boire de grandes gorgées, moi qui ne bois pas d’alcool. Ma tête tourne de suite. Il me retourne sur le dos, pousse mes jambes vers ma tête, il boit également de grandes gorgées. Il me prodigue le plus sexy annulingus que j’ai connu. Je vois sa grosse langue me pénétrer, il salive beaucoup, je le regarde, il est puissant ce mâle, hyper massif, des poils, du muscle, des bras veinés, des biceps bien ronds.
Il tient ma tête pour me gazer, 3 par narine, avec l’effet du vin, je me sens partir en chaleur, mon anus devient une chatte qui attend son visiteur.
Il continue de me bouffer le cul, je pars en live régulièrement (en écrivant ce texte, je bande taureau et du jus coule), sa langue sortie, il me pilonne avec… je gémis sans cesse, mais je veux plus gros. Il boit du champagne, je tiens mes jambes, j’ai trop envie de lui, son zob me fait peur, large comme une canette je vais déguster. Le mâle sait y faire, il pose son gland sur ma fente, me fixe du regard et d’un coup m’insère son gros abricot. Je hurle de douleur et de bonheur, il ressort, il ajoute du gel chauffant, il me gaze à nouveau, et recommence. Le gel facilitant la pénétration, il m’investit plus loin plus rapidement, je râle de bonheur, je me sens comme fisté, il ressort tout, je perds la tête et il me pénètre d’un coup à fond en grognant. Il rote du champagne, je ne suis pas dégouté, je recherche son souffle, je suis rempli, ses lourdes couilles poilues se collent à moi.
Il me fait boire, il boit aussi, il me tient les jambes et commence le va et vient. Je vous assure que la taille compte, je n’ai jamais ressenti un tel bonheur. Il n’a pas mis de capote, je m’en fous.
Moi « vas-y défonce ma chatte, je suis à toi ! »
Lui « Ok je vais te déchirer… »
Il devient bourrin, quand il ressort j’ai peur qu’il embarque mes intestins, son piston est énorme, lui n’est pas essoufflé, il me baise méthodiquement. Il sue beaucoup, ses poils sont collés, je saisis son dos, ses reins, je le veux plus profond, il appuis son bassin de toutes ses forces, cet homme si policé, élégant devient bestial. Il écarte mes fesses, quand il ressort, il entre deux doigts et écartèle mon trou et crache dedans, il verse un peu de champagne, j’hurle, je suis fou de lui, je ne me préoccupe pas des conséquences. Lui me pénètre à fond, il se laisse tomber, mon colon est en vrac, j’ai des dizaines de mini jouissances, il grogne de plus en plus, je sens mon jus monter, ma queue va exploser, il me dit « je t’aime » je sens sa queue gonfler en moi, on largue ensemble nos purées. Il m’écrase et m’embrasse. Il sent fort le mâle et les phéromones, je ne peux baiser plus qu’avec lui. On finit la bouteille de champagne.
On bascule sur le côté, lui en moi, il décule, un flot de jus et de champagne coule. J’ai le cul explosé, en gentleman, il avait prévu une pommade calmante et cicatrisante. Il me masse doucement. Je tiens ses couilles.
J’ai la tête qui tourne doucement, un peu son amour, un peu son champagne, il me caresse la tête, me fait des bisous, je suis tellement bien. Je me blottis contre lui, il rigole quand je rote à mon tour. Les poils de son torse chatouillent mon dos, il bascule une grosse cuisse sur mes jambes. Je nous couvre d’un drap, on s’endort ainsi sans manger, trop épuisés.
A 3 heures du matin, je me lève tout nu, je pose mes bras sur le rebord de la fenêtre pour humer la nuit, je suis très cambré, du jus coule de mon cul, il s’approche sans bruit de moi et m’embroche par surprise, il a mis sa main sur ma bouche et étouffe mon feulement, cette fois ci, il est allé au fond de moi, je sens ses couilles qui tapent, sa queue me dilate, il prend ma gorge, la serre et m’encule plus fort encore, il se colle à moi, je recule ma tête sur lui, on ne fait qu’un, lui me baise profondément, lentement, il me fait l’amour, mon colon moule trop bien son membre, je suis comme pilonné par un gourdin énorme, il m’embrasse goulument, sa langue aussi me pénètre, je ne me suis jamais senti aussi bien. Il m’enserre de ses bras puissant et me baise de plus en plus vite, ses mouvements sont amples, il ressort presque, je jouis encore une fois en même temps que lui, je tapisse le mur de mon sperme et lui le fond de mon colon, mes jambes ne me portent plus, mais lui me maintient debout, contre lui. Je me sens en sécurité.
Il me soulève et me porte dans ses bras jusqu’au lit. Il se couche derrière moi et m’enveloppe de son corps, je m’endors sur son biceps.
Ce fut une nuit de folie, je me réveille tard en ce samedi matin, il n’est plus là. Il a effacé mes textos et donc son numéro. Un mot sur la porte, je vais me marier tout à l’heure, merci pour tout. Désolé, tu trouveras 6 gros billets dans la cuisine, pour t’acheter ce que tu veux. Un jour peut-être… il venait d’enterrer sa vie de garçon, salop. J’ai senti sa présence en moi toute la semaine, un peu de mal à marcher, heureusement j’ai fait beaucoup de télétravail.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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