C’est un hommage à cette profession de dévouement, que je souhaite faire… ce sont des hommes et des femmes au slogan « sauver ou périr » qui méritent notre respect absolu. L’histoire qui suit n’a rien à voir avec cet état d’esprit, j’ai le plus grand respect pour ce corps de métier. Ce sont des gens solides.
Un été, juste avant de partir en congé, j’ai dû faire des interventions dans une caserne de pompier, au thème de l’organisation du travail. Plusieurs sessions de 20 personnes à chaque fois. J’avais devant moi 20 mecs, baraqués, aux muscles bien visibles, dont j’avais bien du mal à ne pas me détacher. Ils ne s’en sont pas rendu compte, sauf un, un solide gaillard de 22 ans qui avait capté mon embarras, ma demie molle, ma gorge sèche, mon bégaiement…
Maxence, pompier aguerri, séduisant au possible, affalé sur sa chaise, les jambes bien écartées avec un paquet important, des jambes velues aux veines saillantes, un ventre plat, des biceps veinés comme j’aime, des avant-bras très musclés. Il rigolait franchement à mes traits d’humour, un sourire ravageur me faisait perdre mes moyens. Ses questions pertinentes, posées avec une voix très grave, me montraient son intérêt pour mes interventions. Quand il se levait, son arme de destruction massive se détachait clairement, portée vers la gauche, ce gros tuyau d’une dizaine de cm, ne pouvait se confondre avec un pli de son short beige. Souvent à la fin du cours, il se levait et s’étirait en arrière, en gémissant, relevant son teeshirt sur une forêt de poils noirs bien drus. Le mâle parfait. J’aurais voulu simuler un malaise pour qu’il me secoure, que lui, dans ses bras puissants, contre son torse chaud.
C’était difficile de feindre une indifférence professionnelle, en fin psychologue, il avait percé mon secret, il n’en jouait pas, respectueux, il semblait plutôt attendri.
Je logeais dans une chambre de la caserne qui surplombait le terrain d’entrainement. Tous les mecs étaient torses nus en short, ils jouaient au volley, au handball, au foot, leurs muscles étaient soumis à rude épreuve, luisaient au soleil, j’avais une gaule incroyable, bref je souffrais le martyre. Un soir, vers 18 h, on frappa à ma porte, ce qui me sortait d’une petite sieste avant le diner. J’ouvrais la porte, les yeux embués sur Maxence, torse nu, en short une serviette, du savon, un gant qui rentrait d’un footing.
« Bonjour Bastien, puis je prendre ma douche chez toi, la mienne est cassée, l’eau ne coule plus ? »
« Bien sûr, entre, fais comme chez toi »
« Merci beaucoup c’est sympa. »
Je m’assoie sur le lit, Maxence sans gêne, se désape et m’offre un spectacle magnifique, son cul rebondi, ses poils affolants, une bite en forme oblongue de 12 cm au repos au prépuce importants, quand il s’est penché, j’ai tourné la tête tellement le spectacle me rendait dingue d’amour, je réajuste mon sexe dans mon boxer, mon gland a rejoint ma hanche et bat la cadence. Comme en cours, il s’étire, les mains jointes vers le haut, en balançant ses bras en arrière. Ses abdos se dessinent nettement, quadrillant un ventre puissant. Quand il entre dans la douche, je m’allonge sur le côté, je bénis cette caserne de ne pas avoir mis de rideaux de douche, je lui dis « ne t’inquiète pas j’épongerai… » Il me fait penser à mon collègue père Noël qui avait embrasé mes sens. Quand il se lave les pieds, le dos tourné vers moi, et qu’il se penche j’ai envie d’empoigner mon sexe et de me taper une queue, ses fesses très serrées, se décollent un peu et découvrent un anus magnifique.
« Bastien, tu veux bien me frotter le dos stp » dit-il en me tendant le gant et le savon. Je remercie fort dans ma tête ma bonne étoile très vicieuse qui m’offre cette douche crapuleuse. Je m’approche, il ne peut pas manquer ma queue qui dresse mon short vers le haut… il ne dit rien. Je savonne le gant, et frotte son dos musculeux, ma main rebondit sur ses muscles tendus, je descends jusqu’aux fesses, il ne dit rien, j’insère ma main entre ses fesses…
« Oh oh, Bastien, t’es pas frileux toi au moins… »
Une tâche s’agrandit au bout de mon gland sur mon short, l’eau rebondit sur mon corps et masque un peu ma mouille, j’ai du mal à retirer ma main, ses fesses étant très serrées. Je nettoie son trou, un peu tâché, il gémit. Il se tourne vers moi, sa queue est en érection maximale (maxi mâle), comme j’étais penché, son gland effleure ma bouche. Je me redresse, je ne veux pas de malentendus. Je lui rends le gant, me sèche avec la serviette et retourne me poser sur le lit. J’ai le souffle coupé, je viens de me prendre un coup de foudre en pleine gueule. Je n’arrive pas à me calmer, lui se rince et sort de la douche, brillant, excitant, puissant. Il rayonne de tous ses muscles. Il se sèche avec application, et essuie le sol avec la serviette, il est accroupi, sa teube pend maintenant, touche le sol. Ses couilles balancent, lourdes de jus, j’ai envie de sortir mon extracteur de jus, mais je n’en fais rien, je souffre en silence. Je ne veux rien faire avec mes stagiaires, même s’ils sont majeurs, je suis en position dominante et je ne veux pas en profiter. Cette apparition dans ma chambre de cet apollon, que j’aime en silence, me bouleverse.
Le passage le plus délicat fut quand il essaya de tout faire tenir dans ce slip taille basse, il a repositionné ses grosses couilles comme on le fait tous, j’ai failli aller l’aider… sa queue est à l’horizontale, vers la gauche, c’est comme une courgette qui a du mal à se tenir… il rassemble ses affaires, il se dirige vers moi, mon cœur s’emballe, il me fait un check de la main avec un gros clin d’œil, je suis bête, tétanisé, je n’ai rien tenté, dès que ma porte a claqué je me suis branlé et poussé un cri en jouissant. Il devait être derrière la porte… il m’a grillé !
« ça va Bastien ? Tu as besoin d’aide ? »
Je n’ai pas répondu, je me suis endormi, mon ventre et mes poils gluants de sperme dans la buée de cette douche interminable.
J’ai dans ma tête toutes mes photos cérébrales de son corps puissant, de ses muscles et de cette queue de mâle alpha, de son innocence et de sa gentillesse. Le lendemain en cours son manège a recommencé, je me demande encore aujourd’hui s’il n’a pas voulu me tester et que j’ai bien fait de résister, sauf ce soir dans la file d’attente de la cafétéria, ou je sentis un baiser dans le cou, dans ce couloir sombre qui mène au restaurant. Je me suis retourné, il me faisait un sourire craquant.
« Tu es bien affectueux Maxence… » plusieurs gars devant nous éclatèrent de rire, beaucoup savaient, et moi je ne m’étais rendu compte de rien. Avec le temps, je me suis rendu compte que c’était pour les pompiers une façon de m’accepter, de me dire on sait que tu es gay, Maxence a voulu vérifier, sa douche marchait parfaitement (je l’avais vérifié le lendemain matin en descendant déjeuner) j’ai eu la présence d’esprit de ne pas céder, tu es gay, mais on t’accepte et on te respecte. Merci à eux.
Vive les pompiers ! Ils m’ont gaulé avec élégance, et respect.
Relisez mon préambule, je les respecte au plus haut point, svp respectez-les, ils le méritent.
(6 fois le mot respect, ce n’est pas par hasard)
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios à histoiresle7@yahoo.com
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