C’est vraiment énorme, son chino couleur brique déborde, il attend dans le hall du ciné l’appel de la salle, son sexe est orienté vers le bas, son paquet me fascine, je suis obsédé par cette vision, cette braguette déformée, ce pantalon assez collant.
Il se dirige vers les toilettes en sous-sol. Je le suis précipitamment. Il descend deux à deux les marches, ouvre la porte des toilettes hommes, je le suis. La pissotière est un mur en zinc où coule un léger filet d’eau. Je déballe ma modeste queue et je commence à pisser. Lui se tortille, il sort un concombre, un mastard, une bitasse. Je regarde sans me cacher : « whaaaa quel bel outil vous avez là monsieur » « oui je sais, je plais beaucoup aux mecs, dans les vestiaires je fais un tabac » Il se vide a grands jets. Il secoue sa queue de bas en haut, il extrait avec ses doigts la moindre goutte d’urine, laisse sa queue dehors et se dirige vers une cabine derrière moi en laissant la porte entrouverte.
Je rentre dans la cabine, ferme la porte et tombe à genou devant l’engin qui a doublé de volume. Je défais son pantalon qui tombe aux pieds, je pose ma tête sur le paquet, je frotte mon visage sur son sexe, je kiffe ce contact viril, il sent le savon, ses poils grattent mes joues. Il saisit ma tignasse et pose son gland sur mes lèvres. Il appuie fortement sur mes lèvres m’obligeant à ouvrir la gueule pour engouffrer cette masse virile. Il remplit toute ma cavité buccale, ma langue triture son méat, lui souffle fort. « Putain tu suce mieux que ma femelle, vas-y fais toi plaise » je m’applique en effet à bien lécher ce membre hors norme, je le branle en même temps que je le suce, lui me pince les tétons à me faire hurler. D’autres hommes sont dans les toilettes, mais je m’en fous, je me lâche en soupirs, petits cris, on frappe à la porte de la cabine… un beau brun entre, il ne dit rien, me soulève, baisse mon fut et m’embroche sans préparation ni capote. « Vas-y mec encule bien cette salope qui suce comme une déesse… » La teub du brun est large et longue, mon colon se lubrifie naturellement, et je commence à prendre mon pied.
Mon baiseur jouit assez vite, il me remplit, je le sens éjaculer, j’adore cette sensation, ils échangent leurs places, je nettoie la longue queue du gars, elle est très odorante, mon odeur et mon goût acre, je pousse un cri de douleur, mon beau mec au chino vient de me pénétrer d’un coup. Il dilate au maximum mes sphincters, je suffoque, il se fout de mes plaintes et me bourrine comme un mort de faim, il veut se vider. D’ailleurs il ne tarde pas, je sens ses éjaculats plus fortement que l’autre mec qui est sorti de la cabine, je me retrouve seul, le cul explosé qui évacue le sperme de deux mecs. Un voyeur m’apporte des serviettes, il me nettoie avec une qui est mouillée. Je me pose sur la cuvette et pousse. Un jet de jus sort. Il me re-nettoie, me lève et avale ma bite, il me fait juter en une minute.
Je ressors des toilettes sous certaines insultes d’hétéros. « sale tafiolle, sale pédé, tu t’es fait démonter hein, viens me sucer, viens » Je n’en n’ai pas le courage, pourtant les gars sont beaux, je rentre dans la salle de mon film, je m’assoie et m’endors instantanément. C’est le personnel du ciné qui me réveille « C’est fini monsieur, il faut rentrer chez vous, bonne fin de soirée » Les 500m jusque chez moi sont pénibles, mon fondement me brule. Le lendemain samedi je dors jusqu’à 13h. Je suis retourné au cinéma souvent, sans retrouver « mon gros bulge »… snif.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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