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Chapitre 9
Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.
Noël approche... Je suis rentré pour les vacances dans ma famille à Tours. Pour ma plus grande surprise, j’ai revu mon beau-frère pour la première fois depuis que je l’ai hébergé pendant 3 semaines... Pour rappel, il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Pour les vacances de Noël, il est arrivé seul, sans ma sœur, quelques jours avant les fêtes... et bien sûr, il m’a charmé, puis il m’a baisé plusieurs fois. Ma sœur est arrivée quelques jours plus tard. Et bien qu’elle soit là, j’ai sucé Thomas à plusieurs reprises, il m’a même baisé. Mais sœur nous a presque pris en flag. J’ai vraiment honte... mais je ne peux pas me passer des 30 cm de mon beau-frère ! J’espère vraiment que les fêtes ne vont pas déraper... Et justement, afin que ça n’arrive pas, Thomas m’a amené au sauna où il a pu me baiser en toute tranquillité. Il a même offert mon cul à un rebeu. Après, Thomas m’a annoncé que Papa Noël aura une belle surprise pour moi...
Nous sommes le 24 décembre. Ma mère a passé la journée dans la cuisine, je l’ai un peu aidée tandis que ma sœur et mon beau-frère ont aidé mon père à faire des achats de dernières minutes.
Le soir arrivé, nous ouvrons le champagne et nous prenons l’apéritif. Puis, nous passons à table. Comme par hasard, Thomas est assis directement en face de moi... et il en profite pour me faire sans arrêt du pied sous la table en me lançant des regards lubriques. Avant de passer au dessert, nous nous ouvrons les cadeaux. Mes parents m’offrent un nouveau smartphone et ma sœur m’offre le nouveau jeu vidéo de Star Wars. Elle sait que je suis un passionné. Je les remercie et quand j’embrasse mon beau-frère, il me serre contre lui et je sens sa grosse teub plaquée contre ma cuisse. Je me mets directement à bander. Ma mère veut faire une pause avant de manger la bûche et Thomas me propose alors :
- Tu veux pas installer ton nouveau jeu ? Tu pourrais me montrer comment y jouer.
- Oui pourquoi pas.
- Chérie, tu viens avec nous ?
- Non merci. C’est pas pour moi tout ça.
Il me sourit diaboliquement car il s’attendait sûrement à ce genre de réponse. On monte dans ma chambre, j’allume l’ordinateur et j’entre le code pour télécharger le jeu. Le jeu est lourd, il y a plusieurs giga-octets à télécharger. Thomas me caresse sans arrêt la jambe et quand il voit que je bande, il ouvre son pantalon. Il a mis un ruban autour de sa teub. Je rigole et il dit :
- Voici ton cadeau de Noël de ma part. J’espère qu’il va te plaire !
Je rigole et je caresse sa queue.
- Merci, j’adore ! C’est le plus beau cadeau de la soirée !
Alors, il me prend la main et il m’entraine discrètement dans un placard à côté de la salle de bains. Il ferme la porte et on se retrouve dans le noir.
Nous nous embrassons sauvagement. Nos caresses sont bestiales. On se déshabille. Ma langue descend sur son torse, je respire ses aisselles qui sentent le mâle et je les lèche tandis que mes mains caressent son ventre poilu. Puis, je m’agenouille et je prends sa grosse queue en main. Je sens qu’elle est déjà en demi-molle. Une vraie queue de cheval ! Ma langue passe le long de son anaconda qui se met à gonfler. Je le prends ensuite en bouche et je me mets à le sucer tandis que les 30 cm se déploient dans ma gorge. Bien habitué, je supporte sa bite et Thomas se met à me faire des gorges profondes en me tenant la tête. Ma mâchoire est écartée au maximum. Mes gémissements sont étouffés par sa grosse teub qui se retrouve dans mon œsophage, titillant presque mon estomac. Je sens ma gorge s’ouvrir et s’écarter sur le passage de son gros gland. Puis, je remonte et je redescends sur son morceau. Il respire fortement mais il fait bien attention de ne pas faire de bruit. Il recommence ensuite à me baiser la bouche avant de me faire me relever. Il me malaxe les fesses et il passe son doigt dans mon trou qui est bien béant : il s’est bien habitué à son énorme morceau.
Son monstre de chair entre et coulisse dans mon cul. Ses va-et-vient sont d’abord doux et lents. Pendant ce temps, il me plaque sa main sur la bouche pour que je ne crie pas. Il me murmure à l’oreille combien il aime mon trou chaud. Puis il commence à me baiser en donnant de grands coups de butoir. Chaque coup de rein brutal et violent me donne envie de gueuler de plaisir... mais sa main m’en empêche. J’adore quand il donne de grands coups de reins qui enfoncent sa queue entièrement en moi et je sens alors ses grosses couilles poilues contre mes cuisses. Des fois, il fait sortir entièrement sa queue pour la faire re-rentrer. Mais se rendant compte qu’on n’avait pas beaucoup de temps, il se met à pilonner à fond. Il saisit ma queue et il me branle au rythme de ses pénétrations. Je jouis très vite de longs jets qui éclaboussent la porte.
Il finit par éjaculer au bout de 5 minutes. Il me plaque contre la porte et là, je sens les litres de son jus me remplir le ventre. Il me lâche une très grosse dose, j’ai l’impression qu’il ne peut plus s’arrêter de juter. Je sens son sperme chaud bouillonner en moi. Il me donne encore 3 ou 4 coups de queue puis il ressort. Je sens déjà son jus qui coule le long de ma cuisse.
Il me lâche, je tombe contre la porte. Je dégouline de sperme et j’ai le cul explosé. Il remonte son pantalon, je fais de même. On ressort, épuisés, et on va vite se mettre devant l’ordinateur. Le téléchargement est terminé et je lance vite l’installation. A ce moment, ma sœur entre et nous regarde en train d’observer l’écran. Elle s’étonne :
- Vous ne jouez toujours pas ?
- Ma chère sœur, de nos jours, il n’y a plus de CD-Rom, il faut complètement télécharger le jeu sur l’ordi et seulement après, on peut l’installer. Et ça peut durer un moment !
- Ah ok je savais pas.
Elle s’assoit à côté de nous et nous regardons l’écran. A un moment, elle s’avance vers moi et elle me dit :
- Tu sens bizarre...
- Ah bon ?, dis-je en arrêtant de respirer
- Oui, c’est une odeur que je connais... mais je ne saurais pas dire ce que c’est.
- La lessive de maman ?
- Je sais pas...
Ma mère crie alors d’en bas :
- Vous venez manger le dessert ?
Je me lève, soulagé, et nous descendons. Nous mangeons, nous regardons la télé et nous jouons ensuite à un jeu de société. Vers 2h, ma sœur annonce :
- Je vais me coucher, je suis fatiguée.
- D’accord, bonne nuit ma puce, dit ma mère
- Chéri, tu viens ?
Il me regarde alors sérieusement et il répond :
- Oui mais va te coucher, je vais d’abord fumer une clope dehors.
Ma sœur embrasse son fiancé sur la bouche... qui me regarde avec son regard lubrique. Elle nous quitte et Thomas prend son manteau. Il dit alors à ma mère :
- Je pense que je vais faire une petite promenade pour diriger.
- Ah c’est bien. Emmène Nico avec toi, il en a besoin aussi. Regarde, son ventre a l’air bien plein.
- Pourquoi pas. Tu viens Nico ?
Je souris intérieurement. Ma mère nous facilite vraiment la tâche. Je prends mon manteau et je rejoins Thomas qui fume déjà dehors. On sort par le portail et je le suis. Il m’entraine dans la forêt derrière le lotissement. Arrivés derrière un fourré, il se retourne, il me malaxe le cul à travers mon jean. Mais je lui dis :
- Laisse-nous rentrer, j’ai trop froid.
Soudain, ses deux mains s’abattent sur moi. Je me retrouve allongé sur le dos, par terre, à même le sol ! Le clair de lune me permet de distinguer Thomas qui ouvre son pantalon. Sa queue est déjà dure. Je lui dis :
- Putain, tu fais quoi là ?
- J’ai trop envie de toi !
Tout en ignorant mes cris de protestation, il me fourre sa queue dans la bouche. Elle est déjà bien tendue. Il pose sa bite sur mes lèvres, puis il force l’entrée. Il me la colle si fort contre ma bouche que je finis par l’ouvrir et par engloutir son sexe. Sa queue s’enfonce dans ma gorge, elle ouvre ma mâchoire en grand. Il arrive au fond de ma gorge, j’ai sa bite dans l’œsophage et le nez dans ses poils de pubis. Il se met alors à faire des pompes dans ma bouche. Il me la défonce. Ses couilles aussi grosses que des mangues claquent contre mon menton.
Je ne peux plus respirer, il me pilonne la bouche et la gorge. Il utilise ma tête comme un sex-toy... comme s'il se branlait avec ma bouche. Je souffre de la mâchoire... mais je supporte !
- Putain, bébé, je vais cracher dans ta bouche !
Il s'enfonce à fond dans ma gorge et je sens les premiers jets explosent dans ma gorge. Sa queue est prise de secousses qui font éjecter son sperme directement dans mon estomac. Moi, j'ai le nez plongé dans sa touffe de poils qui sent bon le mâle... et tout ça me donne une trique d’enfer ! Il continue d’éjaculer pendant plusieurs secondes. Je sens ma gorge se remplir. Je ne peux pas tout avaler. Le jus monte dans ma bouche qui n’arrive pas à tout contenir. Le sperme dégouline sur mon torse et par terre.
Il se retire de ma bouche, sa queue dégouline de bave. Je remarque alors que je bande à m’en faire péter le rouleau ! Il le remarque et il dit :
- Je savais que tu apprécierais ce traitement. Mais bon, retourne-toi.
- Non, je suis frigorifié, on rentre.
- Non !
De ses deux mains, il me fait retourner sur le ventre, toujours sur le sol, et il me baisse mon pantalon. Il s’allonge de tout son poids sur moi, me bloquant de ses deux bras autour de ma poitrine. Je sens sa queue encore toute dure contre mes fesses. Le gland trouve le chemin de mon trou. Son énorme barre de chair entre en moi, passe le premier sphincter. Elle me fore, lentement mais sûrement, s'enfonçant petit à petit en moi. Son anaconda entre en moi complètement, mon trou étant encore bien lubrifié par son jus de tout à l’heure. Thomas me dépose de petits baisers dans le cou et il se met à me défoncer.
Sa queue est toujours aussi dure. Comment fait-il ? Il vient de jouir pour la deuxième fois en l’espace de 2 ou 3h et il arrive encore à bander ? Tel un animal en rut, il me pilonne. Sa puissance me déchire et me remplit le trou.
En effet, son pieu de chair m’écartèle vraiment bien dans cette position. Je sens sa grosse queue de 30 cm, aussi longue qu’un avant-bras, glisser dans mes entrailles. Je sens sa bosse qui forme dans mon ventre et qui va frotter le sol froid alors qu’elle remonte en-dessous de mes poumons. Je ressens un plaisir intense. Il sort entièrement sa queue pour la rentrer de nouveau sans ménagement...
Puis, il se met à me pilonner comme un sauvage. Il pose sa main gauche sur ma bouche pour étouffer mes cris. Je sens cette bite énorme sortir pour disparaitre rapidement dans mon trou dilaté. Je sens les poils de son pubis buter contre mes fesses. Le jus de tout à l’heure dégouline le long de mes couilles et coule sur le sol.
Sa bite coulisse dans mon anus et elle me fait du bien. Thomas s'amuse à accélérer et ralentir pour jouer avec moi. Dans cette position, sa bite de cheval s'enfonce super profondément dans mon ventre et elle masse ma prostate à chaque fois qu'il me rentre dans mon anus. Il martèle mon cul de plus en plus vite. Sa queue sort et rentre dans mon cul à un rythme dément.
Il me baise ainsi pendant une bonne demi-heure. J'entends ensuite son souffle qui s'accélère progressivement. Et en même temps, je sens le plaisir monter en moi. Sa grosse queue masse bien ma prostate. Et je me mets à jouir sans même m’être touché. Ma bite tressaille et éjacule de gros jets sur le sol. Il doit le ressentir car les muscles de mon anus pressent sa queue. Il accélère le rythme et dans un gémissement à peine audible, il se vide en moi. Je reçois de nouveau une vague de sperme dans mon cul ! Il jute pour la troisième fois aujourd’hui ! D’où tire-t-il toute cette semence ? De ses couilles aussi grosses que des mangues...
Il se retire, il relâche son étreinte et il se relève. Mes 2 trous ont bien été utilisés : j'ai son sperme qui coule de mon cul et de ma bouche. Il m’aide à me relever et nous rentrons silencieusement. Je suis frigorifié. Mon cul est béant. Mais je me sens vide et incomplet sans sa teub. Mon anus laisse échapper par vagues du sperme qui dégouline dans mon pantalon.
Nous rentrons, Thomas me fait un thé pour me réchauffer. Je ne veux pas prendre de douche à cette heure-ci afin de ne pas éveiller les soupçons. Je bois la boisson puis je vais me coucher et je me blottis dans mes couvertures. Lui va rejoindre ma sœur dans sa chambre.
Le lendemain, tout le monde se souhaite un joyeux Noël. On mange de nouveau un grand et bon repas. Et au dessert, ma sœur nous dit qu’elle a quelque chose à nous annoncer :
- Thomas et moi avons une bonne nouvelle. Nous allons nous marier...
Je m’arrête de manger, bouche bée mon cœur s’arrête de battre, attendant la suite.
- ... et le mariage sera le 1er juin !
Ma mère saute de joie, embrasse les deux fiancés et moi je me force à dire :
- Mais c’est génial, félicitations !
Pourtant, je suis gêné. Comment je peux laisser ma sœur épouser mon amant ? Je regarde Thomas qui me lance un clin d’œil. Je sens un sentiment de honte... mais aussi de jalousie, de dégoût monter en moi... Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Mon amant Thomas se marie avec ma sœur, à laquelle il est déjà fiancé. Rien de plus naturel. Mon amant qui me baisera tant qu’il le pourra...
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
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