Quand je vais à ESSAOUIRA, j’ai l’habitude d’aller toujours au même établissement. Il est très propre, fréquenté que pas des hommes, senteurs de menthe et de propre vous accueillent.
Peu d’européens le fréquentent, ce qui le rend charmant, il y a que des locaux de tous âges. Quand vous arrivez, on vous donne un seau, pour vous asperger, le savon est fixé au mur. Les clients sont pudiques, ils se baignent en slip ou maillot de bains, l’eau qui ruisselle révèle les contours et les formes, bien plus sexy.
Beaucoup de jeunes hommes, virils, viennent prendre leur bain ici, la majorité oscille entre 30 et 50 ans.
Tous les sexes semblent lourds, épais, la grande chaleur de l’endroit dilate les membres, je me régale, plusieurs me donnent une tape sur les fesses quand ils quittent la pièce la plus chaude, ils ont vu que je les matais. Je prends ça pour de la camaraderie virile, de profils tous les sexes sont imposants… j’ai trop envie de baiser… un mec tout nu est assis sur une caisse, il m’appelle et me demande de lui frotter le dos avec un gant de crin. Il est musclé et très sec, je le frotte énergiquement, sa longue queue tape la caisse lourdement, il me semble qu’elle a doublé de volume depuis mon massage. J’étais en train de me changer, ma serviette autour de la taille ne cache rien de ma teub qui balance en même temps que mes gestes. Je suis obligé d’être penché sur lui, il me demande d’échanger, je m’assoie sur la caisse et lui se déploie devant moi. Son zob est devant moi, je joue l’indifférence, je frotte ses longues imberbes et musclées. Cette longue batte de baseball me provoque, imaginez la torture.
Parfois, elle me touche mon visage en bougeant son corps, je le regarde en rigolant, j’adore cette caresse douce, sa queue sent le savon, elle doit bien dépasser les 22cm, et les 6 de largeur… une matraque. Ce beau marocain va se rincer de toutes ses peaux mortes, il va chercher un gant de crin neuf et me fait à son tour un peeling. Je me mets tout nu… des mecs nous croisent et rigolent en coin… j’entends un gars gémir dans la salle d’à côté sans que je sache pourquoi… mdr
Je vais me rincer, le jeune mec est à 4 pattes au sol, deux hommes matures en érection sont proches de lui, ils viennent de le défoncer, le mec gêné se lève et sort en bougeant du cul, très maniéré.
Je retourne me rhabiller après avoir payé le vestiaire. Le gars que j’ai massé m’attend. « Viens avec moi chez mon frère khouya» me dit-il. On est en milieu d’aprèm j’ai 3 heures devant moi…
En entrant dans l’appartement de son frère, il y flotte des senteurs de cannelle… je n’ai pas le temps de me rendre compte, je suis déshabillé en un clin d’œil, mon trou est graissé par un de ses frères, le mec du hammam me pénètre à l’arabe, c’est-à-dire, d’un coup violemment, sa main sur ma bouche m’étouffe, sa très grosse queue ravage mon colon. Ses deux frères me tiennent, je suis la chose de ce type, il me lime pendant ¼ d’heure au moins, puis dans un grognement me féconde, il se retire, ça coule sur mes cuisses…
Un autre sexe vient de prendre la place, plus court mais plus large, il me dilate fort, aidé par le jus de son ainé. Son bassin claque mon cul, son ventre est musclé et très poilu. Il souffle très fort… il se retire avant de jouir, il s’allonge sur une banquette, je l’enjambe et enfonce son zob en moi. Le dernier frère me penche et insère sans ménagement son sabre fin et long à côté de celui de son frère. Ils me labourent sans pitié, je deviens fou, la douleur est estompée par une sorte de senteur forte genre poppers, mi-drogue mi-médicament, mon cul s’ouvre davantage… mon premier baiseur arrive à entrer son gland, une triple pénétration… je délire, mon anus est distendu à mort. Il ne peut pas rentrer son zob, mais son gland fait des ravages…
Je jouis à n’en plus finir, mon anus se serre, j’hurle, eux aussi car je serre leurs bites, ils jouissent de concert en m’insultant en arabe et se retirent. Le dernier pénétrant va chercher une serviette de toilette. Il me demande de pousser, des flots de sperme coulent… je suis éreinté, lessivé. Les deux frères sont repartis jouer à la play. On m’offre un thé à la menthe avec des pâtisseries. Je rentre à mon hôtel avec un mal de fion incroyable. Prêt(e) à recommencer.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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