J’étais dans la fosse comme des milliers de personnes debout, adorant la musique de cet artiste, il joue de la guitare comme personne. Vraiment un très bon moment, trop de bières, trop d’eau pétillante, un besoin impérieux se fait sentir, je fends la foule pour aller aux toilettes. J’aime ce contact furtif avec les corps des hommes, je les touche pour me frayer un passage, les bras sont fermes et musclés. Ouf j’arrive devant les sanitaires hommes. Personne, normal le concert bat son plein. Je me pose devant une vasque, plutôt située en coin, il y en a une vingtaine au moins dans ce zénith, je déballe ma marchandise et me libère… ah le pied… comme une petite jouissance… un grand type s’installe à côté de moi, juste à côté… je me dis que vu le nombre de vasques de libre, il cherche quelque chose…
Je fixe l’affichette en face de moi, je sens qu’il sort un gros machin, et j’entends un très gros jet sortir, putain le mec, un gros tuyau. J’ai fini de pisser, je la secoue, et je continue de la secouer… horizontalement, il ne lui en faut pas plus à mon chibre pour bander à donf. Le mec d’à côté me plaque contre le mur, s’accroupit et me pompe comme un malade. Sa queue pend entre ses jambes, elle manque de toucher le sol… je mets les mains dans sa grosse tignasse, serre ses cheveux à lui faire mal, il se laisse faire et alterne gorge profonde et biberonnage de mon gland hyper sensible. Sans crier gare je tapisse son palais de 4 jets bien épais de ma production locale, en gémissant. Lui se relève, va cracher au lavabo, rince sa bouche, revient m’essuyer avec du papier et me tire dans une cabine…
« Fais-moi pareil petite pute, suce ma queue, vide mes couilles, ma copine a ses règles, j’ai vu ton petit cul se trémousser devant moi depuis 30mn de concert, je n’en peux plus, si tu veux je te la mets ! »
« Ah c’est toi qui me touchait le cul ? Comme on était très serré, je ne savais pas qui c’était ce pervers… »
« Ta gueule sale petite tapette, suce ma grosse queue d’hétéro ! »
C’est vrai qu’elle était grosse même très grosse. Je la tenais à deux mains et j’avais encore de quoi sucer, elle vibrait, j’avais du mal à en faire le tour avec mes mains, j’étais assis sur le chiotte et lui se tenait aux parois de la cabine, des mecs se sont mis debout sur les chiottes pour nous mater. Son chibre devait faire 25x5 au moins. Pourquoi je tombe souvent sur des gros calibres ? On se le demande…
Il me relève, me tourne, baisse mon chino et mon boxer, injecte le gel d’un tube sorti dont ne sais où… il enfile une grosse capote, se baisse et m’encule en remontant. Il voulait baiser ce soir, Il n’y va pas en douceur, je suis comme empalé, il soulève une de mes jambes et fini la progression.
« Tu aimes ça hein salope ! Tiens prend toute ma bite »
Je me sens écartelé, sa bite dilate au possible mon trou, mon anus me fait mal, le gel facilite la progression et les va et viens, j’ai mal mais la douleur s’estompe progressivement. Un des voyeurs vient de jouir contre la paroi de la cabine, et manque de se casser la gueule. Mon partenaire me baise bien, il me ramone sur toute la longueur de sa bite, je me sens aimé, je me recule et vais chercher sa queue maintenant, quand je sens ses couilles contre moi, une douleur interne se fait sentir, il doit aller trop loin en moi. Il est endurant, le long solo de guitare de « M » n’y suffit pas, c’est quand le public l’applaudit à tout rompre qu’il jouit en moi. Ça coule sur mes jambes, un liquide très épais qui descend lentement vers mes chaussettes. C’est tellement intense que je ne jouis pas, ma prostate est tellement comprimée, mon urètre doit être fermé, je suis incapable de jouir et crier mon bonheur. Lui souffle dans mon cou et prend possession de ma bouche, en soufflant dedans. En bon gentleman, avec du papier il me nettoie (il doit avoir l’habitude), moi je suis tétanisé, sa queue a laissé un trou béant, suintant du sperme, qu’il éponge comme il peut. Il sort un mouchoir en tissu bien plié qu’il me colle entre mes fesses sur mon trou et remonte mon boxer. Je me baisse et remonte mon chino, en me penchant mon cul recroise sa queue qui est encore énorme, comme un gros tuyau d’arrosage. Je me retourne, il saisit ma bouche avec ses deux grosses paluches, il me galoche bestialement. Moi je n’en peux plus, je vais m’assoir sur un gros fauteuil, dans le couloir en dehors de la salle, je souffle. Lui est rentré pour la suite du spectacle.
Un jeunot s’assoie à côté de moi, un des deux voyeurs, il a kiffé la baise, il veut savoir ce que ça m’a fait… je lui dis que c’est personnel, il se barre en courant et criant « sale pd »
J’ai fini le concert dans le couloir, savourant ce que je venais de vivre, le vidage de mes couilles, et le ramonage intensif de mon conduit. J’étais bien, sur un petit nuage, mon baiseur en sortant m’a repéré, il était avec sa copine ! Ils se sont approchés de moi…
« Alors monsieur elle est bonne la bite de mon mari ? »
Je suis surpris, du coup on est partis tous les trois en fou rire, ce couple libre m’a séduit. Lui, il m’a aidé à me relever, sa femme m’a fait un bisou, lui a embrassé mes lèvres, la sécurité pressante du zénith nous demandant de sortir, j’ai rejoint ma voiture en boitant, le mouchoir en tissu faisant office de Tampax. Vous le croyez ou pas, le jeune voyeur qui m’avait insulté était garé juste à côté de ma voiture. Je n’ai même pas demandé son prénom à mon grand baiseur, ou son téléphone. Revenu chez moi, mon copain me demande :
« Alors tu as aimé ce concert de M ? »
« Oh que oui chéri ! Merci pour ce cadeau, c’était épuisant, il est bien allé au fond des choses. »
Dans la vie protégez-vous.
LE7
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