Il s’est présenté à moi en tenue de grimpeur, le harnais fixé en haut des cuisses déforme outrageusement son bulge, sa combinaison jaune fluo le rend encore plus craquant, ses yeux bleus perçants, sous son casque percutent mon cœur, ce beau brun doit intervenir sur la falaise pour stabiliser un bloc de pierre. Il est très athlétique, il s’affranchit des 10 mètres de grimpette, et commence à jouer de la mini tronçonneuse. C’est un virtuose de la découpe, ses gestes sont précis, les branches tombent. Il perfore la paroi et insère ensuite des barres de fer pour solidifier le bloc chancelant, le travail est propre, efficace. Je retourne à la cuisine préparer le repas.
Son travail terminé, il me rejoint dans la cuisine, le haut de sa combi est défait, découvrant un torse musclé, parsemé d’une toison bien noire, ses pectoraux sont hyper dessinés, ses tétons sont tout petits, bien roses. Un énorme filet de poils noirs descend dans son pantalon, il se faufile entre des muscles abdominaux bien secs. Son sourire est lumineux.
Il s’assoie et dresse le procès-verbal d’intervention. Il est gaucher, son avant-bras velu virevolte sur l’imprimé de déclaration.
Lui « voilà monsieur, si vous voulez bien dater et signer, ça fait 160 euros c’est votre part, la mairie paye le reste soit 440 euros »
Il prend ma CB et soulage mon compte, je n’avais pas besoin de cette dépense, ce mois-ci je suis très serré…
Je lui propose une bonne binouze bien fraiche, il accepte, je me lève, lui sur la chaise s’étire en poussant ses bras bien vers le haut. Je ne résiste pas, je passe derrière lui pour toucher son torse musculeux. Il se lève d’un bond, les outils accrochés à sa combi font un bruit incroyable.
Lui « mais ça va pas non ! Je ne mange pas de ce pain-là ! Je suis hétéro, vous me dégoutez ! »
Il pose ses mains sur les hanches, comme éberlué, seule une barre énorme trahit son émoi. Je suis quant à moi sur le choc, comment allait tourner cette attouchement ? Pourquoi s’était mis torse nu luisant devant moi ? Et pourquoi a-t-il cette phénoménale érection ?
Je suis tout penaud, mon excitation est retombée
Moi « excusez-moi je ne sais pas ce qui m’a pris, vous êtes d’une beauté insolente, je suis gay et j’ai craqué, je rêve de vous soulager, de vous vider, mais je comprends que ce ne soit pas votre came, pardon, pardon, pardon »
Lui est furieux ! il menace d’en causer à son chef de district, il retire ses shoes de sécurité, retire sa combi et se retrouve en boxer devant moi. Il me foudroie du regard.
Lui « qu’est-ce que tu regardes sale pédé ! »
Mes yeux ne peuvent se détacher de son boxer déformé par un chibre puissant, je réalise que le mec n’est pas très grand, 1 m 70, mais drôlement bien proportionné. Ses muscles sont noueux de partout, ses veines ressortent, il est sec et merveilleusement viril. Il descend son boxer, sa queue libérée claque contre les poils de son ventre, elle dépasse son nombril de 5 à 6 cm.
Lui « alors qu’est-ce que tu attends, viens me pomper, ma femme est absente cette quinzaine, j’ai les couilles pleines, il parait que les tarlouzes sucent mieux que les meufs »
Moi « mais, je… je ne… »
Lui « Bouges viens me pomper sale petite pute ! Ça sera ta punition sinon je te fais une réputation auprès de tes voisins »
Les jambes tremblantes, je m’agenouille devant cet homme puissant, ce mâle qui sent l’effort, un mélange de savon et de sueur.
Je commence à lécher ses couilles noires de poils, elles sont très odorantes, elles sentent l’homme. Puis je remonte le long de la grosse veine, j’embouche son énorme gland. Il pousse un soupir, ma langue tourne comme elle peut autour de ce gros bourgeon violet de désir. Il pousse un soupir « putain que c’est bon, vas y fait ton travail sale merde » je saisis à deux main ce gourdin et je me donne à donf. Je le pompe de ouf, mon anus mouille tout seul, il se resserre en permanence, quelle salope je suis.
Il inonde ma bouche de précum, il souffle fort, sa main derrière ma tête fait pénétrer cette bite trop grosse dans mon gosier, il réussit à franchir tous les obstacles, et descend dans ma gorge. Il serre ma gorge pour bien sentir sa grosse queue. Je deviens tout rouge, je ne peux plus respirer, j’étouffe, je panique, je tape ses grosses cuisses poilues. Il me fait souffrir.
Lui « alors sale fiotte, tu rigole plus là, hein »
Je me dégage, tout baveux, je respire bruyamment, lui me biffle, il me retourne sur la table et m’embroche d’un coup. J’ai la gorge détruite et maintenant c’est mon cul qui me fait hurler de douleur.
Lui « je vais t’apprendre à mater les hommes, tu la sens bien ma queue là ? Tu viens de réaliser deux manques, ma meuf ne me suce jamais et ne se fait jamais enculer. Tiens prend ça… »
Il me lime sans pitié, sa queue énorme dilate mon colon, la douleur s’estompe et je commence à prendre du plaisir. Ses couilles se collent en cadence à moi, je ne hurle plus, je gémis de plaisir.
Moi « Vas y putain défonce ma chatte, je suis une salope, va y dose moi, féconde moi »
Je n’ai pas fini ma phrase qu’un flot de jus inonde mon colon, je suis effondré, allongé sur la table.
Lui « nettoie ma queue, ça pue la merde ! Ta merde sale merde. »
Je mouille un torchon et nettoie délicatement cet instrument du plaisir, il ferme les yeux puis il ouvre un sac, fait un strip à l’envers, boxer noir, chaussettes grises, chino beige et polo Lacoste. Il a du mal à débander, son bulge est énorme, je le kiffe. Une jolie paire de Converse transforme ce bucheron acrobate en citadin.
Il range toutes ses affaires dans son sac, il passe à ma hauteur me crache à la gueule et disparait.
Mes jambes sont pleines de sperme épais, je vais me doucher, intérieurement aussi. Je me sens bien malgré une douleur à la gorge et un anus explosé.
Il a oublié son portable, il va revenir, c’est sûr, là est ma vengeance… Il sonne je décroche
Elle « ca va mon amour, ça se passe bien ton chantier ? Ma sœur te fait une bise »
Moi « euh non, je ne suis pas votre mari, il a oublié son portable à la maison, c’est vrai qu’il avait fort à faire le salop… »
Elle « comment ça ? expliquez moi»
Moi « il m’a obligé à une fellation, il m’a violé, sodomisé pendant plus de 30 mn je vais porter plainte… »
Je lui raconte avec force de détails, elle sanglote « non ne faites pas ça on est des jeunes mariés, c’est un accident, je reviens à la maison dans 10 jours, je viendrai vous voir, ne faites pas ça ne détruisez pas notre couple, svp… »
Je raccroche et éteint le smartphone après qu’elle ait rappelé plusieurs fois.
Le lendemain, samedi matin, on sonne à la porte, j’ouvre c’est mon acrobate, il a les yeux rouges, son visage est décomposé… il est beaucoup moins arrogant, il baisse la tête…
Que vais-je faire ? Faites vos propositions… la meilleure donnera une suite…
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
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