Avec mes deux potes, Théo (22 ans, musclé, look gamin) et Mathieu (24 ans, musclé, très viril), on essaye de tuer le temps en jouant sous la tonnelle au Triominos. On aime beaucoup ce jeu d’opportunité et d’observation. Ce 14 juillet 2010, le soleil écrase tout sur son passage, les cigales chantent dans le champ à côté. Mes copains sont torses nus, malgré une bière rafraichissante, ils suent, les gouttes de sueur coulent sur leurs muscles, Théo, très brun, a un filet de poils fourni qui s’enfonce dans son short, désignant un gros paquet, un gros bulge, il est super sexy, je rêve de poser ma main sur son sexe, Mathieu, très brun aussi, est assez poilu. Des pectoraux couverts d’un poil bien noir, une rivière de poils descend dans son short également, ses avant-bras sont noirs de poils drus, ses jambes sont très très velues. Son bulge est tout aussi bombé que celui de Théo, ce qu’ils ont entre les cuisses me bouleversent.
« Arrête de mater nos sexes Bastien, tu es en manque ou quoi ? »
« ouais les mecs, je suis versa les copains, vous le savez, bi en plus, ma copine ne veut plus me voir depuis fin mars, je les ai là, et je n’aime pas me branler… »
Mes copains n’apprennent rien, ils savent que je suis bi, nos douches communes me font triquer façon taureau, ils se moquent de moi, mais n’ont jamais rien tenté.
Théo réplique « pareil, ma copine est partie pour un mec plus âgé avec une voiture, cette s…, j’ai les couilles archi pleines, je serai capable de virer ma cuti pour me soulager, je n’arrive pas à me branler, je fais des pollutions nocturnes, c’est la nature qui régule, en ville l’autre fois, je matais les culs des gonzesses assis au café, j’ai bandé pendant 3 heures… »
Mathieu conclut « ben moi j’ai toujours ma copine, elle est Harvard, cette gosse de riche, je ne la voie que tous les trois mois, un copain à moi, qui est là-bas aussi, m’a dit qu’elle ne se gênait pas pour niquer à droite et à gauche… je vais rompre, je serai bien tenté par virer ma cuti… »
Leurs regards lubriques sont sur moi, attendant une réaction… je suis assez surpris, il est clair que ces deux hétéros purs mâles veulent niquer. Je me lève de ma chaise, je m’étire en arrière, j’ai une gaule maximale, Théo avance sa main et siffle en serrant ma queue. Je fais un bond en arrière, Mathieu se place derrière moi et me saisit les bras. Je suis à leur merci. Mon cul bien bombé sent bien le paquet de Mathieu, une grosse barre se colle pile-poil dans mon sillon fessier.
« Eh, les mecs, ça ne va pas non ? »
« Ben ouais Bastien, avec Théo on a prévu de te démonter, tu es notre pote, on veut te rendre ce service entre hommes, personne n’en saura rien » Mathieu me souffle cette phrase dans l’oreille, un poil excité. Les poils du torse de mon copain agacent mon dos, comme ceux de ses cuisses. Fan de pilosité je me sens défaillir, je vais me laisser faire. Ils me prennent tous les deux par la main, ils m’emmènent dans le salon. Je suis vaincu, je vais m’offrir à eux… c’est sûr. Théo balance de la techno à fond sur la sono, Mathieu baisse un peu le son. Tous les deux sont nus, ils m’installent à l’envers le dos sur le dossier du canapé, ma tête entre mes jambes, ils lèchent mon cul comme des affamés, je suis en direct avec leur très gros zob, je les branle, extrayant une mouille abondante. Je m’interroge encore, comment ces mecs branchés filles en arrivent là ?
C’est Mathieu qui va me pénétrer en premier, debout sur le canapé, sa queue entre en moi, elle m’arrache des cris, elle est très grosse, et l’angle de pénétration est inédit pour moi. J’adore quand ses couilles s’écrasent sur mon cul, Théo lui lèche mon cul et la queue du copain qui me démonte. J’ai le sang qui descend à la tête, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, je me retrouve à quatre pattes la queue de Mathieu n’est pas sortie de mon cul, Théo présente son énorme chibre devant ma bouche, ses couilles pendent, son gland est énorme comme un champignon, Théo force ma bouche et me viole, je m’étouffe, il s’en fout, il force ma gorge, il est assez brutal, il me baise façon virile. Mathieu dans mon cul me baise sans arrêt, un vrai métronome, son bassin claque mon cul.
Il sort de mon cul, Théo en profite pour occuper la place vide, malgré que le chemin soit fait, je souffre quand il me pénètre d’un coup, son gland fait des ravages, il dilate outrageusement mes intestins. Ce petit mec sait baiser, il fait jouer tous ses muscles, ses lourdes couilles tapent mon scrotum. Il prononce des « han » de bucheron, je me cambre, je le veux en entier. Mathieu est aux premières loges, il se branle lentement, observant cette teube qui détruit mon fion. Théo lui fait des sourires entendus.
« Bastien, elle est trop bonne ta chatte, meilleure que celle de ma copine ! Elle n’a jamais voulu se faire enculer, toi tu es plus serré que sa chatte, tu verras je suis endurant je peux tenir des heures, on va te faire une double pénétration. »
« Non les mecs vous êtes trop gros, non svp, non svp »
Théo décule et s’allonge sur le canapé, Mathieu m’oblige à m’assoir sur la queue de Théo, face à lui. Mathieu met du gel sur son membre et pose son gland à côté de la queue de Théo. Je suis allongé sur Théo qui me roule une galoche de l’espace… je sens Mathieu essayer de se faire une place, j’ai l’impression que mon anus va céder, va exploser. Je me mets à hurler, la queue de Mathieu est passée, jusqu’aux couilles. Trois paires de couilles se superposent, mon anus est dévasté, les deux grosses teubes occupent tout mon ventre, je souffle fort, je n’ai jamais eu cette sensation de pénétration. Les deux décident de me pilonner, c’est compliqué, j’ai deux pistons dans mon cul, cette promiscuité et le frottement les fait geindre, Théo me ceinture et me maintient contre lui… la douleur a laissé la place à une jouissance permanente, je n’ai plus de prostate, elle a été broyée dans ce combat, je jouis sur le ventre de mon copain. Les deux queues se libèrent en même temps. Tous les trois on hurle notre bonheur, trois voix de mâles en rut. Mon cul est baigné dans du sperme chaud abondant. Les deux queues débandent et glissent hors de ma caverne. Mon anus tente de se refermer, non sans mal, il y arrive. Je pousse pour évacuer le jus, Mathieu a posé un torchon près de mon cul. Mathieu se pose sur un fauteuil, Théo reste allongé, sa grosse queue repose sur le haut de sa cuisse, elle est vraiment énorme, elle suinte encore du jus.
Je prends le fauteuil restant, j’ai mal au cul, j’ai mal aux yeux, j’ai sommeil, on s’endort tous les trois. Mes deux copains sont heureux, vidés, soulagés, bon ils ont viré leurs cutis, pour toujours ou seulement une fois ?
Je me lève, je les embrasse sur la bouche et sur leur queue. Ils me sourient…
Une heure après les revoilà en pleine forme, un plongeon dans la piscine, ravive les corps et les ardeurs, ils sont beaux à voir, leur queue est semi-bandée, à mi-cuisses. J’adore voir leurs poils collés à leur corps d’athlète, je m’allonge sur mon lit, Théo vient se coller en cuillère contre moi, il met sa longue queue demi-molle entre mes cuisses, Mathieu insère sa lourde queue dans ma bouche, elle suinte déjà beaucoup de mouille. Je la suce avec application en la branlant. Mathieu rejette sa tête en arrière, il veut cracher dans ma gueule. J’adore sucer des bites et celle de Mathieu est délicieuse, elle est super veinée, elle est hyper dure, ses couilles sont bien serrées.
La queue de Mathieu gonfle entre mes cuisses, elle soulève mes couilles, j’ai envie qu’il me pénètre. Je m’avance un peu, lui se recule, pose son gland sur mon anus, et je me recule sur sa grosse queue. Je grimace, mon cul est très irrité, une bonne couche de gel apaise la pénétration. Théo ne bouge pas, il me laisse me baiser tout seul, je suis embroché des deux côtés. Elle coulisse merveilleusement bien, elle ravage tout autant mon conduit, Théo donne de tout petits à-coups, qui me rendent dingue. Mathieu souffle plus fort, il sort sa queue et me fait une faciale, je suis aspergé de foutre, il me lèche le visage… Mathieu me bascule sur le ventre, se couche sur moi et me baise à la papa. Je tends mon cul en bonne salope, sa queue va très loin dans mon ventre, il se cambre et se vide sur mes reins. Il se couche sur moi et me couvre complètement. Son torse puissant m’enveloppe, sa langue fouille ma bouche.
« Ben, dites donc les mecs, pour des hétéros, vous kiffez l’homme ! »
« Non mec, tu es notre ami, notre frère, c’est pour toi qu’on fait ça, allez dors maintenant. »
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
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