J’ai toujours kiffé mon voisin, un hipster très sexy. Je suis à ma fenêtre et je regarde dans la rue. Il rentre du travail, gare sa voiture devant son logement, il a une vieille mégane grise, qui fait un bruit reconnaissable entre tous.
Il sort de sa voiture, les plis de son short blanc en coton, encadrent encore un bulge bien gros, il ferme sa portière et tourne la tête vers moi, je lui souris. Ce mec est beau, blond, bien carré d’épaules, il est très athlétique, il doit avoir la trentaine, ses avants bras blonds font des reflets avec le soleil. Je lui dis de venir, j’ouvre ma porte d’entrée et remonte dans mon salon, va-t-il venir ?
Je suis torse nu en short running échancré, pieds nus. Je l’entends monter les marches, mon cœur bat la chamade, il entre dans mon appartement comme un chat, sans bruit. Il pose son sac à dos, descend son short, retire son teeshirt et se présente face à moi qui suis assis sur mon canapé.
Son boxer est à hauteur de mon visage, il renvoie des effluves d’homme, de sueur, de journée de travail. Sa queue est orientée vers le bas, c’est un gros morceau avec un gros gland. Ses cuisses sont blondes de poils drus, son torse est hyper velu, un énorme filet de poils sépare son torse en deux. J’adore les mâles poilus, celui-là est hétéro, il adore se faire pépom, cela fait plusieurs fois que je le vide. Il ne dit jamais rien, sans blabla comme on dit.
Je frotte mon visage sur sa bosse, j’aime ce contact, il ferme les yeux et se laisse faire. Son odeur se dépose sur moi, je bande comme un taureau. Sa queue s’est redressée et essaye de sortir du boxer… il est bien doté par dame nature. Mon 17cm fait minuscule.
Il souffre, sa queue comprimée lui fait mal, je décide de la libérer… elle frappe violemment mon visage quand je baisse son boxer et se colle à ses abdos. Son gland se décalotte tout seul, sa queue dépasse son nombril et bat au rythme de son cœur puissant.
Je donne un coup de langue à son frein, il pousse un petit cri et se recule, son méat crache de la mouille en abondance, je lèche cette liqueur qui coule le long du membre, il respire bruyamment, je n’en peux plus et embouche son gland odorant, il saisit ma tête pour contrôler ma fellation.
Son odeur m’enivre comme une drogue, je caresse ma bite et pompe la sienne. J’adore, parfois il m’oblige à une gorge très profonde, ses couilles touchent mes lèvres, mon nez se perd dans sa toison masculine remplie de sécrétions quotidiennes. Ce n’est pas sale mais il sent l’homme tout simplement. Son gland franchit de plus en plus mon gosier, j’ai l’habitude, il distend ma gorge, je saisie ses fesses poilues, j’ai envie qu’il me féconde. Je l’aime, je le piquerais bien à sa grosse moche qui vient le voir parfois, elle ne le mérite pas.
Il est proche de la délivrance, sa queue a encore grossit, elle est dure comme du béton, il s’enfonce à fond en moi, bloque ma tête, je sens sa queue tressauter et se vider directement en moi. J’ai compté, huit sursauts. Il se retire, je fais un rot de sperme. Il rigole, les yeux cernés. Il me met une claque, je viens de jouir sur ses jambes, il est dégouté, je l’essuie avec une serviette. Il s’en va tout de suite.
Putain je l’aime ce gars, je sais qu’il est coach sportif, ce n’est jamais lui qui prend l’initiative, c’est toujours à mon invitation. Je voudrais tellement plus, ma rondelle se rappelle à moi après son départ, un jour peut être…
RESTEZ CHEZ VOUS LES AMIS ! PRENEZ SOIN DE VOUS ET DES VOTRES.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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