J’ai beau déambuler dans ma maison en short, je sue à mort. Les douches bien froides ne font qu’accentuer ma chaleur… j’attends ce réparateur de chaudière depuis 10h, je suis vert. Je le rappelle, il est sur messagerie, mon pote Marcel m’avait dit qu’il était très bien « tu verras il est compétent ».
Midi, on sonne… je vais ouvrir… un homme costaud, la cinquantaine se présente :
Lui « Bonjour, je suis Didier, le chauffagiste, excusez le retard, j’avais un chantier compliqué avant… »
Je le fais entrer, ce mec solide, bien campé sur ses grosses jambes. Il est en short, jambes lisses, le débardeur noir le rend tellement sexy, j’en bafouille…
Moi « Ve Ve Venez c’est par là… »
Il me suit tel un petit iench dans la cuisine. Il se met de suite au travail, il connaît son affaire, il va couper l’eau, démonte la bête, repère le circulateur, le teste, il retourne à sa camionnette, reviens avec une pompe neuve, remplace, remet en eau et hop la chaudière re-fonctionne.
Lui « Voici Monsieur, elle est prête pour cet automne, mais vous avez de l’eau chaude pour maintenant » je suis bouche bée, les travaux lui ont pris 1 heure à tout casser… je le regarde d’œil nouveau. C’est vrai qu’il est efficace ce mec. Il sait bander ses biceps veineux pour démonter cette foutue pompe, sa peau est lisse de poils, ses veines ressortent et gonflent. Il me calcule c’est sûr, il mate mes abdos poilus, ses yeux descendent souvent sur mon short. En rédigeant sa facture, son coude touche mon paquet, je l’ignore, il n’a surement pas fait exprès…
Ma queue bande instantanément, je me retourne pour vider le lave-vaisselle. Il se lève et se colle à moi. Il m’enveloppe avec ses bras, sa main plonge dans mon short, elle saisit mon membre palpitant. Je ferme les yeux, l’homme sent fort, son odeur me pénètre, je sens sa grosse queue contre moi, il baisse mon short, me retourne et il gobe ma queue. Il me pompe de ouf, il dévore mon gland, il se relève et se fout à poils. Il se remet à genoux, me bouffe les couilles, soulève une jambe et lèche mon scrotum jusqu’à mon trou. Les sensations sont énormes, pourtant je suis actif pur mâle, sa langue fait des merveilles. Comme il me sent très réceptif, il retourne, me penche, et dévore mon anus. J’avoue être renversé par les sensations, sa langue va très loin, la mini-pénétration me fait mouiller sans discontinuer. J’ai une envie de baiser, de le baiser, je le relève et l’emmène sur mon champ de tir, il fait très chaud dans ma chambre, je m’en fous.
Il se positionne de lui-même, à genoux sur le bord du lit, en chienne, les épaules posées sur le lit, il écarte ses fesses.
Lui « Vas-y putain, féconde moi avec ta grosse queue »
Devant une telle invite de salope, le temps de chausser une capote xxl, une petite noisette de gel sur son trou bien serré, je rentre mon gros gland d’un coup, il hurle mais ne bouge pas, je progresse d’un tiers, il est très serré, et puis je m’en tape, justement d’un coup je tape au fond. Il encaisse mes 21cm bien larges, bien plus large vers la base. Il gémit, il pleure, il crie, bon baiseur, je patiente 2 minutes au radioréveil, je le sens se détendre, je ressors complètement, il souffle comme un porc, son trou est énorme, on voit les chairs roses, il sourit alors je replonge en lui, il gémit mais tend trop son cul.
Je le pilonne, ressors ma queue jusqu’à apercevoir mon gland, crache un coup et le défonce à mort. Son cul est au format de ma teub, il masse trop bien ma queue, il vient de jouir, je sens ses éjaculations sur ma queue, je résiste au serrage de ma bite et le pilonne plus fort encore. Lui gémis en continu, il pose sa main sur mes abdos pour que je me calme, mais il n’en n’est pas question. Je le saisis par les épaule et vais au plus loin en lui, ça bouillonne dans mes reins, je le dose au plus profond de son colon, 7 jets bien crémeux. Il ronronne de plaisir. Je me retire, récolte le jus qui sort et l’oblige à le boire, il se régale.
Il changera sa facture, ne comptant que la pompe au prix d’usine.
Peu de paroles échangées, juste son regard très amoureux, son visage est marqué par des cernes, il a l’air épuisé, moi je suis vidé, je me sens bien, j’ai fait une économie de réparation, cassé un cul bien viril. Il s’en va en boitant, je souris discrètement. Celui-là va revenir, c’est sûr.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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