Allongé contre lui, une jambe sur les siennes, je jouais avec la grosse veine de son biceps, il venait de me faire l’amour comme un dieu. L’endorphine avait envahi mon corps, je me sentais très bien. Lui dormait doucement, son souffle puissant était régulier, moi, nymphomane j’en voulais encore et encore. Il est grand, musclé, sans être difforme, bien proportionné. Je suis tombé de suite amoureux de ce grand mec qui avait du mal à remplacer sa roue. Il était attachant, si grand et si désemparé devant un problème plutôt simple. Sa roue remplacée, reconnaissant, il m’invite à boire une binouze chez lui, à deux pas. Son appartement est vaste comme lui, bien rangé. Dès arrivé il me dit qu’il va retirer son costard et se mettre en pyjama. Je trouve cette attitude enfantine, je n’en fais rien paraitre. Il revient 10 mn après en pyjama short et teeshirt. Il s’affale sur le canapé à côté de moi, sa queue fait une belle bosse molle sur sa cuisse gauche, je respire fort… j’ai du mal à me maitriser.
« Mets-toi à l’aise, tu vas diner avec moi »
je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’ai rien osé dire, comme paralysé, et accepté avec un sourire. Quand il bouge, sa teub fait balancier dans son short. Je la fixe trop il faut que je me calme, malheureusement la mienne descend le long de ma cuisse, je prends un coussin et la cache… il sourit gentiment, il sait déjà qu’il va baiser. Il nous sert deux verres de Viognier bien frappé, avec du saucisson qu’il coupe avec gourmandise.
« Bastien, Bastien tu es là ? » oups il me sort de ma paralysie, j’ai les yeux fixés sur son short, sa queue vient de faire une échappée et pointe son gland au dehors… vicieux il ne la range pas… je crève de chaud, je me mets en slip et teeshirt, ma queue se voit trop maintenant…
Une gorgée de vin, libère mes chaines, je me déplace vers lui, m’accroupis et lèche de gland qui dépasse. Il approuve et s’allonge sur le canapé. Il mouille un peu, il se fout à poil. Voir ce grand type avec les pieds qui dépassent du canapé à ma merci, une queue qui s’agrandit au gré de ses secousses, qui frappe mon visage… je craque. Très près de son engin, je le détaille avec gourmandise, un gland relativement petit, suivi d’une masse hyper large sur 22 cm. Ses couilles sont très serrées, en observant la peau, je distingue comme des vagues de la poche. Je lèche ses bourses, il souffle plus fort, il caresse ma tête. Quand j’enfourne sa queue il pousse un cri de satisfaction, la gorge profonde qui s’en suit lui arrache un hurlement de bonheur. Ses doigts farfouillent mon anus, signe d’une future pénétration… je pose mon torse sur le canapé, en signe de soumission, mon cul est cambré et attend la saillie.
« vas-y écarte bien tes fesses que je vois ton trou… » Ses coups de langue me transportent dans un univers de jouissance… « Baise-moi » lui dis-je.
Il décide de me baiser sans capote (non recommandé), son gland entre facilement, mais le reste de son membre me fait souffrir, surtout sans gel ni salive. La nature a prévu ce cas, mon cul se lubrifie, et ses va et vient sont facilités. Ce type est une bête de baise, l’amplitude de pénétration est immense, il ressort presque à chaque fois, quand il revient c’est un grand coup jusqu’aux couilles qui claquent. Il me retourne sur le dos, lève une jambe et me baise tel un métronome sans pitié. Je ne bande pas, mais ma queue coule sans arrêt. Il rassemble mes chevilles au-dessus de moi et me pilonne, je ne sens que sa queue et ses couilles. Ses veines ressortent de partout, ses biceps sont archi gonflés. Je suis en position indécente, mon cul ouvert en hauteur, je saisis ses hanches pour l’enfoncer plus en moi. Il me donne du bonheur, je suis en jouissance permanente, sa queue coulisse en moi, inexorablement vers une explosion de jus… on a joui tous les deux simultanément, des étoiles dans mes yeux, des larmes dans les siens. Il me relève, et me tenant pas la main, m’emmène dans sa chambre. Je suis en train de jouer avec la grosse veine de son biceps, je sors du lit doucement, m’habille et sors dans la rue. Chez moi des regrets m’assaillent, j’aurais dû rester avec lui. Je n’ai pas son téléphone, juste son adresse… la balle est dans mon camp…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios.
LE7
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