J’ai rendez-vous avec le pédicure, dans mon lotissement, tous les mois. Il taille à la perfection les ongles de mes orteils. Je ne suis pas très doué, souvent je les arrache causant des blessures douloureuses. Avec lui c’est une demi-heure de bonheur, il est très délicat, très doux. Ses mains enveloppent mes pieds avec douceur sans chatouillis.
J’adore ce rendez-vous, le gars est costaud, j’ai un une vue plongeante sur son entre-jambes assez volumineux, quand il se relève, on distingue nettement sa bite placée vers la gauche, j’évite son regard pour ne pas me flinguer… j’adore ce mec courtois et professionnel.
Lui cheveux courts, beaux biceps gonflant sa blouse blanche, son torse est puissant, ses cuisses assez larges, quand il s’assoit sur le tabouret, son jean torture son bulge, il a des pantalons toujours ajustés. Cheveux châtains, barbe négligée de 3 jours, longues pattes fournies entretenues bien coupées. Le haut du col de sa chemise peine à cacher une toison brune, d’ailleurs ses avant bras confirme mes suppositions : ce gars est poilu comme j’aime. Il sourit tout le temps sa voix est douce.
Ses gestes sont précis, la pince à couper la corne virevolte devant mes orteils, il termine toujours son travail en massant mes pieds avec une crème hydratante qui me soulage.
Il est 19h30, je suis son dernier rendez-vous…
Lui « Comment allez-vous Bastien depuis la dernière fois ? »
Moi « Oui ça va bien et vous ? »
Lui « Mouais, ma femme est les gosses sont partis à Bordeaux pour la quinzaine, tous mes potes sont au ski, bref je me fait iech comme un rat mort, je bosse comme un fou, je rentre chez moi épuisé, deux whiskies, une douche et je me couche… »
Moi « Bah si vous voulez, venez manger à la maison, on regardera le match de foot des bleus, j’ai récupéré plein de restes d’un buffet que j’ai organisé à mon boulot pour mon anniversaire… j’ai juste 45 ans aujourd’hui, je ne veux pas finir cet anniversaire tout seul »
Lui « Joyeux anniversaire, Nan merci, je ne veux pas vous déranger » Ses yeux implorent pour que j’insiste…
Moi « Bon ok, on habite le même lotissement, je vous attends pour 21h ? je suis au numéro 69 » en disant ça je rougis involontairement.
Lui « Dacodac, je fais un brin de nettoyage, je ferme les ordinateurs, je passe chez moi et j’arrive avec une boisson et des chocolats. »
Je le règle, et m’enfuis à pied vers ma maison, il fait nuit noire, les deux lampadaires de la ville devant chez moi sont éteints. Je passe au toilettes, je me débarbouille, nettoie mon cul (on ne sait jamais), je prépare la table du salon avec toutes les victuailles. J’avais prévu large au boulot, il y a pal mal de restes frais, du saumon, des bouchées traiteurs, des fromages de chèvre avec des noix et de la confiture de figues, 3 parts de gâteau délicieux. Je dégaine également un bon whisky 12 ans d’âge, du Coca, un Tariquet, du Perrier. J’ajoute des petites assiettes, des serviettes en tissu, du pain tranché, j’allume la tv, il y a un match de foot au sommet la France contre l’Allemagne, l’hymne de la France retentit, le match va commencer.
Je vérifie la table, on sonne à la porte. J’ouvre et je tombe net d’admiration, le pédicure est en jean 501 bleu ciel troué bien moulant, une chemise blanche cintrée, un gros ceinturon et un bombers. Aux pieds les Converse sont très classe. On dirait qu’il se rend à un rendez-vous amoureux, mais non je divague, je prends mes désirs pour des réalités…
Il a apporté un champagne Veuve Clicquot, bouteille argentée du meilleur millésime. Je récupère la bouteille et son blouson, un léger parfum de marque mêlé à son odeur corporelle, m’enivre déjà, je l’accompagne au salon. Je lui demande de s’installer sur le canapé et m’éclipse à la cuisine. Je réajuste ma queue verticalement, elle refuse de débander, je m’asperge le visage d’eau fraîche, rien n’y fait… je bande taureau.
Je reviens avec deux belles flûtes, il est déjà en train de déboucher la bouteille.
Lui « Vous avez entendu ? Les allemands ont déjà marqué sur pénalty… ca fait chier ! »
Moi « Grave, surtout qu’on doit gagner de deux bites, euh de deux buts pardon, si on veut passer le tour » j’ai bégayé gêné par cet abus de langage…
Il sourit à mon lapsus, il me tend la flûte de champagne, cette erreur a fait retomber popaul. Je souffle et bois d’un trait cette coupe. Ce champagne est délicieux, il me ressert tout de suite, il fait cul sec aussi. Le champagne me fait déjà tourner la tête.
En me levant pour aller chercher au four des feuilletés, je remarque que sa teub est bien grosse à l’horizontale et atteint sa hanche. Il commence à faire super chaud ici, je reviens avec les feuilletés…
Moi « et si on se mettait à l’aise, vous ne croyez pas ? il fait trop chaud ici » je retire mon pantalon, reste en boxer, retire mes chaussettes… je me demande ce qui me prend, suis-je fou ?
Lui « ok tu as raison, après tout on est entre hommes, pour un match d’hommes »
On s’assoit côte à côte pour diner. Se jambes velues touchent régulièrement les miennes imberbes. J’écarte ma cuisse, mais l’intensité du match ramène toujours ma jambe contre lui. L’intérieur de ses cuisses, que j’aperçois quand il s’essuie la bouche, me fait délirer de ouf. Quant à son paquet, il fait moitié plus que le mien en volume.
But ! La France vient d’égaliser, on se lève et nous donnons une accolade, nos boxers se touchent, on a tous les deux une demie-molle, je joue l’indifférence virile, et continue de manger, mon zob ne l’entend pas de cette oreille et commence à rebander…
But à nouveau de la France ! Griezmann est déchainé ! On explose de joie, il me serre dans ses bras, on bascule en arrière contre le dossier du canapé, pour me redresser je m’appuie sur sa cuisse. J’adore ce contact très poilu, sa cuisse est dure, du coup mon sexe se déploie sans complexe. Ma bite se voit trop !
Lui « c’est le foot qui te fais bander comme ça ? Donne moi ton verre je te ressers du Champagne, regarde on a torché la bouteille ! Cool »
Moi « Oui pardonnes moi en ce moment je bande pour un oui ou un non, je n’ai pas baisé depuis deux mois. »
C’est la mi-temps, il m’aide à débarrasser les assiettes, nos deux boxers sont barrés, la sienne est bien plus large que la mienne.
Lui « Tu vois moi aussi, une semaine que je n’ai pas baisé, ma maitresse a cassé pour un petit jeune de 20 ans la salope, mes 37 ans sont trop pour sa petite chatte, j’ai les burnes qui vont exploser… ! »
Je suis penché sur l’évier pour laver ces assiettes, il revient du salon et avec sa main il m’enfourne un morceau de gâteau dans la bouche, il se colle à moi. J’aime ça, je n’ai plus aucun doute, on va niquer. Je tourne la tête et lui fais passer du gâteau directement dans sa bouche…il gémit, il étale du gâteau sur mon cou et le lèche…
Lui « Depuis un an que je te connais, j’ai toujours su que tu étais une salope, à voir comment tu me mates, petite salope »
Pour toute réponse je me cambre, il descend nos boxers, sa queue se faufile entre mes jambes, elle pousse mes couilles (comme je kiffe). J’ai l’impression que je suis assis sur une grosse barre palpitante. Il me serre fort contre lui, il est tout nu derrière moi. Il retire mon tee-shirt.
Lui « Je n’en peux plus, tu veux bien que je t’encule, tu as un beau petit cul… »
Moi « Vas y putain, je n’en peux plus non plus, baise moi »
La bouteille d’huile lui tend les bras, il doigte mon anus avec l’huile de colza, il s’enduit tout le long de son membre, et le gentil pédicure courtois devient le mâle alpha qu’on aime tous… brutal, viril… cherchant à jouir…
Il prend ça pour un ordre direct, il pose son gland et me pénètre complètement. Je hurle, sa queue me viole presque, lui m’embrasse dans le cou, saisit ma queue, et commence à me pilonner. Je ne sens pas ses couilles, juste les poils de ses couilles, de son ventre de son torse… je sens tout de lui jusqu’aux veines hyper dures. Je gémis de douleur qui ne semble pas s’estomper.
Mon colon est dangereusement écartelé, il pose ma jambe droite sur la paillasse de la cuisine, mon cul est ouvert à ses coups de boutoir ! Il ressort entièrement sa queue et la replonge violemment pour bien me dilater. L’huile est terrible car elle ne le retient pas, elle facilite les pénétrations, et je souffre du cul.
Mon ex ne m’a jamais baisé comme çà, c’est Beyrouth dans mon cul, ma chatte se détend et je commence à prendre un pied terrible de bonheur, de coulissage de son gland énorme, de ses veines qui font un clapotis, sa queue fait un bruit de succion, un bruit de chloupe…chloupe… chloupe je ferme les yeux, je vais jouir, il le sent et force ses gestes, ses coups de bassin, j’explose dans un râle guttural, mes jambes ne me portent plus, il me maintient contre lui et fini son travail. En jutant sa queue grossit et me fait gémir encore plus. Il m’a démonté comme jamais, sa lourde queue sort de moi, elle est énorme, deux fois mon appendice… elle atteint presque ses genoux. Du jus coule de mon cul sans arrêt. Lui s’assoie et souffle. Il essuie sa queue avec du Sopalin et me demande de le rejoindre. Je me colle à lui, il pose sa tête sur moi, on reste silencieux. Il essuie son jus qui s’échappe encore de moi.
Je l’emmène dans ma chambre, on passe sous la couette. Je suis dos à lui collé, il m’enserre dans ses bras puissants, on s’endort direct. On entend juste avant que la France a gagné le match mais pas suffisamment pour être qualifié. On s’en fout grave de chez grave.
Je me réveille, il est 5h, il est déjà en moi, je rêvais que je baisais, en fait c’étais réel, peu après mon réveil il grogne et me féconde une nouvelle fois. Quand il retire sa bite ça me semble interminable. Il descend vers ma queue, gaule du matin, et m’aspire le gland comme jamais, je lui tapisse la bouche de 4 jets, il avale tout. Ce mec que je pensais hétéro avait viré sa cuti comme on dit. J’ai son odeur sur moi, sa sueur, ses phéromones, les fluides de son corps. Je me sens femelle comblée. Ses muscles ont laissé des marques sur moi, j’ai des poils noirs sur moi
Sa femme rentre après demain, lundi. Il va rester avec moi tout le weekend jusqu’à dimanche soir, il me dilatera encore et encore, il a de gros besoins, une énorme bite, un vrai gourdin, des couilles énormes réservoirs.
Il a refusé que je le prenne, dommage… je vais le revoir dans un mois maintenant… pourquoi pas avant… ?
Déconnez pas les gens, restez chez vous, prenez soin de vous. Le corona machin est vicieux.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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