Rue Vivienne.
Dans les années 80, j’étais encore à Paris, et je découvrais toute la luxure qu’offrait la capitale à cette époque-là.
Je décidais d’aller découvrir le ciné porno « BOYS VIDÉO CLUB », une salle au 49 rue Vivienne. Elle était souvent blindée de mecs, toutes sexualités. La première fois, après m’avoir acquitté d’une entrée au prix modique, je rentre dans cette grande salle, une odeur de testostérone et de renfermé me saute au pif. Quand je rentre dans la salle la fille de l’écran crie, les gars lui font une double pénétration. En pleine érection, je m’installe plein centre dans la salle et mate avec envie les ébats de deux acteurs très bien montés qui ravagent une pauvre fille blonde dont le maquillage coule, maquillée comme un camion volé. Super prude à l’époque je garde mes mains sur les accoudoirs, deux fauteuils à ma gauche, un petit mec saute sur la queue d’un daddy au sexe très large.
Un beau mec tout poilu m’a repéré et s’assoit à ma gauche. Il regarde droit devant lui, mais sa main droite s’échappe et me caresse la cuisse. Je repousse sa main mollement. Il revient la charge, me masse mon entrejambe et dépose un baiser sur la bouche. Il sent super bon. Il se lève descend son pantalon blanc jusqu’aux genoux, son énorme chibre se dresse fièrement pointant vers les jolis plafonds de la salle. Il prend ma main et la pose sur cette chose douce, tiède et palpitante. Avec mon pouce je masse ce gland proéminent qui suinte de mouille. En grand gourmand je me penche pour le prendre en bouche, je suis à genou sur le siège, un autre mec descend sèchement mon survêt et me lèche le cul. C’est trop bon, je suis au maximum de mon érection. Je sens un gland se poser sur ma rosette et me pénétrer. L’action est rapide puisque le mec ressort rapidement et gicle par terre. Celui que je suce, écarte ma tête et jouis à son tour, quelques gouttes. Sur l’écran la fille hurle sa jouissance, cela déclenche la mienne, je vois mon jus faire un puissant jet en l’air. Je ferme les yeux. Je m’endors aussi sec. Plusieurs hommes me toucheront, essayeront de me pomper. J’aperçois un homme entièrement à oilpé contre le mur se faire caresser par 5 ou 6 gars, cette vision me refait bander illico. Un mec me biffle la tête par derrière, son sexe est énorme, il me tape sur l’épaule me demande de le suivre aux toilettes. On entre dans une cabine, il laisse la porte ouverte, il me sodomise de suite, sans gel ni rien. (C’était chaud à l’époque) c’est là, dans cette odeur de pisse que j’ai eu un de mes plus forts orgasmes. Il a dû me soutenir, je n’avais plus de jambes. Il m’a assis dans un fauteuil de la salle, le film avait changé pour un porno gay avec de solides Américains en chemises à carreaux. Je suis resté jusqu’à la fermeture (vers 3h du matin). Un sentiment d’écœurement vers la fin m’a fait me lever, des mecs baisaient encore à même le sol, un mec subissait une double en gémissant très fort, je me suis assis et j’ai pu toucher ces deux queues qui s’enfonçaient sans pitié. Ils sont ressortis en même temps, son anus était ouvert, un pamplemousse aurait pu entrer. Les deux hommes lui ont juté sur la gueule et craché aussi. Le pauvre gars ne pouvait pas ouvrir ses yeux. Il ne bandait pas. Il s’est mis à chialer. Quelle misère. Je suis sorti, la fraicheur de la nuit m’a fait du bien. Je suis entré dans un café boire un chocolat. Je me suis endormi sur la table. À 6 heures, j’ai repris le métro pour rentrer chez moi. Je n’y suis plus retourné, ça m’avait vacciné. J’ai préféré les cabines de sexe-shop.
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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