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Chapitre 15
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci. Six mois plus tard, à la naissance de sa fille et de ma nièce, il m’a entrainé dans un coin de la clinique où il m’a baisé avant de m’avouer son amour. Je lui ai dit que je l’aimais aussi. Il a trouvé alors une solution pour mentir à sa femme et pour passer une semaine chez moi qui a été particulièrement intense.
Quelle superbe idée de Thomas. Je suis chez lui et ma sœur. Le petit coquin a raconté à ma sœur que je faisais une dépression. Aussitôt, elle m’a dit me poser des congés et de venir passer une semaine chez eux, sous prétexte qu’elle voulait me voir et que je pourrais en profiter pour l’aider avec le bébé.
Et voilà. C’est le premier soir ensemble. Thomas rentre vers 18h de son boulot. Je tiens ma nièce Caroline dans mes bras. Je lui souris avec un regard pétillant. Il embrasse ma sœur, sa fille puis il me tape la bise en me serrant fort dans ses bras.
On discute un peu et on passe à table. Ma sœur me dit :
- Je suis contente que tu sois là, Nico.
- Moi aussi ! Ça fait plaisir de vous voir. Et ma nièce est trop mignonne !
- On prévoit le baptême pour juin. Et on voulait te demander quelque chose !
- Oui ?
- Je lui dis, dit Thomas, heureux comme un gosse.
- Vas-y.
- On aimerait que tu sois le parrain de Caroline.
Je sens alors les larmes me monter aux yeux.
- Tu es pas d’accord ?
- Oh si, dis-je en lutant contre des sanglots. Je suis vraiment ému... et content...
... et coupable, me dis-je. Ma sœur est si gentille... et moi, je suis amoureux de son mari.
On continue le repas dans la bonne humeur et j’observe ma nièce. Elle est si belle ! A la fin du dîner, ma sœur va coucher la petite tandis que Thomas et moi faisons la vaisselle. Il ne dit pas grande chose. Il me roule cependant de rapides pelles de temps en temps en ajoutant : « Je suis content que tu sois là ! ».
Ensuite, on regarde un film. Mais ma sœur est vite fatiguée et on décide d’aller se coucher tôt. Je dors dans leur chambre d’amis. Je sors mon portable mais très vite, le sommeil me gagne.
Vers minuit, je suis réveillé par un bruit. Je veux me rendormir quand je sens uns grosse masse s’abattre sur ma joue. Je me rappelle très bien de cette sensation ! C’est la queue de Thomas ! Rien qu’à repenser à notre première fois, je suis tout excité. Il s’est faufilé discrètement dans ma chambre et il me rejoint dans le lit. Il me prend dans ses bras et il me colle contre lui tout en me caressant les cheveux et en m’embrassant la tête.
Je sens son monstre prendre du volume contre mon ventre et monter tel un anaconda le long de mon corps. Je m’abandonne à ses caresses. Ses mains parcourent mon corps et mes fesses. Quant aux miennes, elles caressent le sien et je l’imagine nu devant moi : avec son corps bien poilu ainsi que son petit ventre qui pointe le bout de son nez, à moitié recouvert de poils. Je m’imagine aussi son pubis et ses couilles très velues, très foncées, tout comme sa queue. Et quelle queue ! Un monstre de 30 cm bien long et bien épais.
Je ne distingue certes rien... mais j’apprécie ce moment de bonheur. Mes mains descendent le long de son corps et au niveau de son torse, je tombe sur son gland. Je caresse sa massue de haut en bas, lentement avant de la branler à deux mains. Je sens ses doigts passer le long de mon dos pour arriver au niveau de mon anus. Il se met à le doigter. 3 doigts entrent directement, sans effort, dedans. Je dois dire que mon trou s’est habitué à son monstre et il est maintenant béant. Je pousse des soupirs... même si j’aimerais hurler de plaisir... ce qui n’est bien sûr pas possible. N’y tenant plus, je me penche sur son anaconda que je prends en bouche... alors qu’il a 4 doigts dans mon cul avec lesquels il fait de profonds allers-retours. Je me mets à lécher sa massue sur tout son long. Son énorme queue m'a tellement manqué ! 30 cm ! C’est tout simplement dément !
Je m’occupe ensuite de ses couilles. Elles sont vraiment énormes, aussi grosses que des mangues. Je n’arrive bien sûr pas à les gober. Puis, je remonte et mes lèvres descendent tout le long de son anaconda. Son gland tape le fond de ma bouche. Je répète l’opération et il me faut quelques minutes pour arriver à la prendre entièrement dans ma bouche. Elle traverse ma gorge et elle va titiller mon œsophage. Mon nez se retrouve dans les poils de son pubis et mon menton frôle ses couilles. Il gémit doucement. Je m’occupe durant quelques minutes de cet énorme morceau... tandis que Thomas a réussi à rentrer son poing entièrement dans mon anus.
Ensuite, je me redresse et Thomas en profite pour me rouler une pelle. Puis, il se place derrière moi et je l’entends se branler. Je ne vois rien et j’attends avidement que son énorme queue rentre en moi... Pendant ce temps, il me caresse les couilles et il me masturbe. N’y tenant plus, je lui demande :
- Prends-moi !
Il se penche alors vers moi et il enfonce son gros saucisson dans mon cul offert et grand ouvert. Son énorme bite s’enfonce lentement dans mon anus qui semble l’aspirer. Au bout d’une descente qui me paraît interminable, je sens mon cul coincé contre son pubis et ses boules collées contre mes cuisses. Il se met à faire des va-et-vient dans mon cul dilaté.
Il me fait l’amour tout en me caressant les fesses. Puis, il se penche sur moi et il me prend dans ses bras puissants. Je me mets à gémir et il me place sa main devant la bouche. Très vite, il devient plus sauvage. Je sens chaque centimètre de sa queue qui me pénètre. J’aimerais tellement jeter un coup d’œil sur le miroir de l’armoire à glace pour voir son anaconda me dilater le trou. Mais il fait trop noir. Alors, j’imagine le spectacle de cette bite énorme entrant, disparaissant et ressortant de mon trou béant. Je sens ses poils de pubis venir caresser mes fesses tandis que ses grosses mangues me frappent les cuisses.
Je me cramponne aux draps et je plaque ma tête dans mon oreiller pour ne pas gueuler de plaisir. Car ses mains agrippent fortement mes hanches et il entame un pilonnage intense. Je me sens secoué comme un prunier.
Après des minutes de baise intense, il me fait mettre sur le dos. Sa queue retrouve toute seule le chemin de mon trou et elle recommence à lentement coulisser en moi... avant de se mettre à marteler mon cul de plus en plus vite.
Thomas est super endurant. Il doit bien me baiser pendant 30 minutes. Puis, il saisit ma queue et il se met à la branler en ralentissant ses mouvements de reins. Il donne de grands coups de bite et je sens ma sauce monter. Je veux l’arrêter d’un geste mais il me dit :
- Vas-y, jouis !
Je me laisse alors aller et de nombreux jets de sperme viennent crépir mon ventre. Il reprend alors sa baise tout en m’embrassant. Son corps poilu est collé contre moi et il baigne dans mon sperme. Sa queue va toujours plus loin dans mon ventre. Il se redresse ensuite, il saisit mes chevilles et il se met à me pilonner violemment, hyper rapidement. Et au bout de 5 minutes, il dit :
- Je vais te mettre enceinte, bébé !
- Oui ! Vas-y ! J’ai envie de toute ta semence en moi !
Dans un râle, il se bloque au fond de mon corps et une vingtaine de jets mitraille mes entrailles. J'ai l'impression qu’il ne va pas s’arrêter de jouir. Quand il ressort, je sens un flot de sperme sortir violemment de mon anus tel un torrent.
Doucement, après avoir déposé un baiser sur mes lèvres, Thomas sort de ma chambre. Je me retrouve seul, nu, couvert de sperme, l’anus explosé, béant et dégoulinant de son jus.
Je m’endors dans cette orgie de sperme. Les nuits suivantes seront toutes identiques. Une fois qu’il se sera assuré que ma sœur dort à poings fermés, il viendra, il me défoncera avant de rejoindre le lit de sa femme. Ce sont des moments magiques.
Et finalement arrive le dernier soir. Thomas rentre dans ma chambre et sans préliminaire, il me fait mettre à quatre pattes au bord du lit tandis qu’il s’agenouille devant mon cul. Il se met à me lécher la raie. Je gémis immédiatement. Ses mains me malaxent mon cul et sa langue s’enfonce dans mon trou. Il me bouffe le cul pendant une dizaine de minutes. Puis, il se redresse, il me fait mettre sur le dos, les fesses au bord du lit et il s’enfonce en moi. Putain... sa queue rentre en moi et descend dans mes entrailles, dans mon ventre, jusque sous mon estomac. Très vite, il empoigne mes hanches et il commence des va-et-vient puissants.
Il me baise pendant 5 minutes quand soudain, j’entends la porte s’ouvrir et la lumière s’allumer. Thomas se retourne et je vois avec effroi que ma sœur est debout, la bouche bée. Elle vient de surprendre son propre frère en train de se faire baiser par son mari. Dans ses yeux, la surprise fait vite place à un autre sentiment que je n’arrive pas à déchiffrer et elle quitte la pièce. Thomas pousse un « merde » sonore, il se rhabille et il quitte aussi la pièce, l’appelant.
Moi, je reste sur le lit, complètement sonné... Ma sœur vient de me surprendre en train de me faire pilonner par mon beau-frère... C’est comme si je sentais soudain le monde s’écrouler autour de moi. J’ai alors une vision de ce que pourrait être notre vie si jamais elle le prenait mal... Je secoue vite la tête pour chasser ces horribles pensées, je me rhabille et je pars à leur poursuite, espérant pouvoir encore sauver ce qui peut être sauver...
A suivre...
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Meetmemz
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