On n’en peut plus, 7 heures de route, encore 5 h, on décide avec mon pote Jérémy de prendre un hôtel pour la nuit. Plus que des piaules à grand lit, le réceptionniste, avec un petit sourire en coin, me donne la carte de la chambre. « Le petit déjeuner sera offert » dit-il.
Jérémy, rugbyman de son état, commercial, marié déjà deux fois, 183 cm 80 kg, poilu, biceps saillants, yeux verts, dévisage le réceptionniste secoue la tête pour culpabiliser le gars avec ses sous-entendus, l’employé baisse les yeux.
J’éclate de rire : « il nous a pris pour des tafioles le mec ! Mort de rire »
Jérémy, provocateur, en se dirigeant vers l’ascenseur me siffle « viens je t’encule »
Le réceptionniste toussote, gêné, il ne savait pas qu’il serait un déclencheur.
Jérémy c’est mon ami d’enfance, mon pote de toujours, depuis le CP. On se connait par cœur, il connait mon penchant pour les mâles, il s’en fout grave. Je suis son pote, son ami. On s’est branlé devant un porno, mais ce n’est jamais allé plus loin. Il a déjà dormi avec moi, sans plus.
Dans la chambre, je prends le côté droit du lit, lui se désape complètement, en se grattant les couilles il me dit « je vais prendre une douche poto »
Il laisse la porte de la salle de bain ouverte, je vais me laver les dents à poil, lui chantonne « Bastien frotte moi le dos stp »
J’enfile son gant, et je frotte énergiquement son dos puissant, ses petites fesses me font toujours le même effet, elles sont glabres alors que ses cuisses sont noires de poils drus, je le frotte de la nuque au sillon fessier. « Bastien fais pas iech, tu veux me faire bander ou quoi ? » je rigole j’ai une demi-molle.
Il saisit ma queue et dit « je t’excite hein ma petite pédale, mon petit frérot »
Il sort de la douche ruisselant, son sexe est assez énorme, circoncis, avec de grosses baloches poilues. Il se frotte avec une grande serviette, sa queue danse dans tous les sens.
Je prends sa place, la chaleur de l’eau me fait du bien et me détend rapidement. Il ne me pose même pas la question, il se saisit du gant et lave mon dos. Ce salop, il insiste bien sur mon trou, je ferme les yeux. « Ne rêve pas Bastien, je lave juste un copain, pas un amant… eh eh » Je reste dos à lui, mes 19cm sont au maximum, j’oriente le jet de la douchette tiède sur mes couilles, je baisse la température, l’effet est immédiat. Je finis de ma laver.
Jérémy est allongé sur le grand lit, les jambes écartées, sa petite trompe repose sur ses boules. Il est vraiment TBM, mon pote. Je me rappelle des cris de sa 1ère femme depuis la chambre d’ami, chez moi, le matin elle avait les yeux cernés, noirs… lui était en pleine forme.
Il est sur son smartphone, je reste comme lui, nu, je m’allonge sur le lit, à ses côtés et je vais lire quelques histoires sur Cyrillo, mon site préféré. Les effets ne tardent pas, ma queue décolle de ma cuisse, et claque contre mes abdos. Je sens son regard, sous son téléphone…
Je me suis assoupi, je sens un doigt qui suit la courbure de ma teub, Jérémy respire fort. « Allez Bastien, tu ne dors pas, tu te rappelles une fois chez tes parents… ? » Je fais mine de dormir, ma queue est hyper dure, je sens du liquide couler sur mes poils, lui masse mes couilles, en fait il les effleure, je kiffe cette caresse, il s’en doute, mes couilles se serrent, il passe son gros doigt sur mon méat, il étale le précum, il agace le frein, à ce rythme-là je vais cracher.
Je sens sa lourde queue qui cogne ma hanche, elle mouille mon corps d’un liquide visqueux. Il sent que mon plaisir monte, avec mon précum il masse rapidement mon frein… je ne peux retenir ma jouissance, je fais toujours semblant de dormir, j’ouvre la bouche pendant que ma queue expulse de longs éjaculats de sperme. Un jet atteint ma bouche.
Il a accompli son plan, il me tourne le dos et éteint la lumière. Je m’essuie avec la serviette, et je me tourne dans le même sens que lui, je me rapproche et me mets en cuillère contre lui. Mon bras gauche lasse son corps, il prend ma main, on s’endort comme deux frangins comme ça.
Il est 4h30, je vais pisser, quand je me recouche, il dort sur le dos, sa bite est toute droite, elle fait un angle à 45°. Elle est monumentale. Il ronfle régulièrement, je veux lui rendre « son service de taleur » j’embouche son gland, sa queue sent le mâle, le mec, l’homme, je lui fais une gorge profonde direct, il soupire et pose ses mains sur ma tête. C’est lui qui rythme la fellation, je bave beaucoup, je suce mon copain de toujours, il m’oblige à dépasser la glotte, quand elle franchit les remparts, je déglutis pour bien masser son gland.
« Putain Bastien, tu vas me faire cracher mec. Je t’aime comme un pote, mon poto, ahhhhh ça vient »
Il me dose direct dans la gorge, ça n’en finit pas, mon copain alien a déposé ses œufs en moi. Je rote du sperme, je remonte le drap et me rendors aussi sec.
Il se colle à moi, je sens sa bite sur mes fesses. Il ronfle déjà.
Nos épouses n’en sauront rien, on est repartis vers 9h30, le cœur et les couilles allégées ! eh eh
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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