Médecin depuis 1 an je rends visite à une mamie dans une banlieue dortoir qui a son petit fils malade. Elle se dit très inquiète et elle n’a pas de moyen de locomotion. La sécu donne son accord pour la visite… me voilà arrivé, je monte à pied les 4 étages, c’est bon pour mon cœur, l’ascenseur ce sera pour la descente, je suis suivi depuis l’entrée par deux rebeus qui échangent en mi-arabe mi-français.
« Tu as vu ce boule khouya ? J’ai mon zob qui bande déjà pour ce céfran, j’ai pas baisé depuis une bonne semaine »
Je les ignore et poursuit mon ascension, sans être sales, les murs sont tagués, quelques canettes jonchent au sol, ils me collent de très près, j’arrive au quatrième, la dame m’attend sur le perron, je rentre chez elle, rassuré ; les mecs habitent au même palier… le petit a un peu de fièvre. Ordonnance simple, je lui laisse du Doliprane, la dame est soulagée… après les formalités, je ressors et appelle l’ascenseur…
La porte des rebeus s’ouvre sur un bel homme qui s’adresse à moi :
« Bonjour, vous êtes médecin je suppose, vous pouvez venir voir mon petit frère, il ne se sent pas très bien »
L’homme qui s’adresse à moi est très élégant, il est élancé, il est en survêtement gris, il dégage de lui un charisme racé, un collier de poils noirs entoure son beau visage carré, plus bas une grosse barre est indécente, il a une tout petit bidon qui le rend irrésistible. Il sourit, il m’a vu le détailler, je pense qu’il m’a grillé, mais je fais l’innocent.
« Bonjour monsieur, quel âge a-t’il ? »
« Il a 20 ans il est couché là… vous pouvez venir le voir s’il vous plait ? »
Je rentre dans un appartement très clair, meublé sobrement de banquettes marocaines, un homme d’une trentaine d’années est assis et sirote un thé. Il est en djellaba ouverte sur un torse très velu. Il me sourit bizarrement. L’appartement est ultra propre, bien aménagé. Il y flotte une odeur de tajine poulet citron délicieuse.
« Ma sœur est passée tout à l’heure nous cuisiner un tajine, on est trois frères et on vit là, sans femmes. Qu’est ce que vous voulez ce n’est pas facile de nos jours… on travaille tous dans le bâtiment. »
J’ai quand même un drôle de pressentiment, mon détecteur d’alerte vire du vert au jaune… j’entre dans la chambre, elle sent bon le thé vert. Un homme est allongé, il est jeune, juste un drap le recouvre, ça se voit qu’il est nu sous le drap, je ne peux m’empêcher de regarder vers son sexe qui fait une bosse énorme, mais je continue à me comporter en professionnel.
« Bonjour monsieur, je peux vous ausculter ? Donnez moi votre bras s’il vous plait, 12/8 c’est parfait, je vais prendre votre température, 37,5° » avec une spatule je scrute sa gorge qui est un peu rouge sans gravité, « oui c’est bien, je vais vous palper… »
Le gars se met sur ses coudes, je descends le drap, il est magnifique. Poilu comme j’aime, des abdos saillants, des obliques à se damner… bref du mâle tout neuf. Quand je le touche, j’ai des frissons, ses muscles sont souples, il a fermé les yeux, (mais pourquoi je ne fuis pas ?) cet homme va bien… son sexe s’est redressé et tend le drap… le bout d’ailleurs me semble énorme.
« Pardonnez moi monsieur, c’est plus fort que moi » dit-il en essayant de rabattre son glaive… sans succès.
« Là ça vous fait mal, vous me dites quand vous avez mal… »
Je continue ma palpation… j’en profite… salop que je suis, je le bascule sur le côté et palpe ses reins, sa queue fait un bruit sourd quand elle tombe sur le lit… mon esprit s’envole… je sens que je vais devenir chienne… son frère est sorti de la pièce… moi, médecin, 28 ans, célibataire, bisexuel, 178 cm, 70 kg, n’ayant pas baisé depuis un mois, je vais craquer.
Quand il se remet sur le dos, sa queue retend le drap.
« Bon je vais palper vos testicules » mais je suis fou ! Ou folle comme vous voulez… rien à voir avec le protocole d’examen…une honte je vous dis…
Je retire le drap et là c’est le choc… (Symbole aubergine) je n’en n’ai jamais vu d’aussi grosse, même à l’hôpital pendant mes années d’internat. Son gland est énorme comme je l’avais imaginé, et le gourdin qui suit est hyper large, il part comme une pyramide jusqu’aux couilles, euh testicules…
« Excusez moi monsieur, mais c’est indispensable ? Regardez mon état... »
« Oui cela peu venir de votre bas ventre… hum hum voyons cela»
Je chausse des gants bleus, et d’une main je pousse la bête qui est dure comme du béton, le gars rejette la tête en arrière et perd son souffle, ses couilles sont bien dures mais pas de défauts, elles sont bien uniformes… encore un abus de pouvoir de ma part…
« Si vous me permettez je vais faire un toucher rectal pour sentir votre prostate… » là là là j’abuse du mec… à son âge c’est inutile… je change de gant, met de la vaseline sur mon doigt, bascule le mec dos à moi et enfonce mon doigt doucement… c’est très serré… je bande comme un fou. Son cul est très poilu, ses couilles dépassent ses cuisses. A ce moment là son frère rentre dans la chambre sans frapper…
« Mais vous faites quoi là docteur ? Mouloud vient voir vite, le toubib il encule Rachid… ce gros PD de céfran… »
Le jeune qui vient de comprendre, prend ma main et la retire de son anus, il se met debout d’un coup, tous les deux me poussent sur le lit…
« Regarde frère, chouffe, il bande cet enculé, ataï ! pd, enculé salope… »
De la mouille perle de la queue du jeune qui a bien apprécié visiblement. Ils sont trois maintenant face à moi, Rachid le malade, a posé sa main sur mon épaule et me regarde attendri, les deux frères habillés sont énervés.
Rachid prend la parole « Mais non frères regardez il est gentil, c’est un bon gars, je suis sûr qu’il va bien s’occuper de nous, il m’a dit que j’allais bien, que de n’était pas grave, juste une petite fatigue » Son zob est toujours à l’horizontale et semble chercher quelque chose. Il s’approche de moi, son sexe est pile devant ma bouche, très humide par une mouille abondante. Je suis sous son emprise, fasciné, j’ouvre la bouche et enfourne comme je peux cette batte. Rachid met ses mains derrière ma tête et bouge ma tête. Les deux autres se sont déshabillés, ils sont en caleçon long, deux énormes bosses déforment leur taille. Ils sont nus maintenant, ils se placent de chaque côté de Rachid, leurs zobs sont impressionnants, ils reposent sur de lourdes couilles poilues bien pleines.
J’en saisis une dans chaque main sans m’arrêter de pomper le beau Rachid. J’avale souvent car il mouille énormément de précum, j’adore ce liquide visqueux pré-séminal. Tous les trois collent leurs zob côte à côte, ça me permet de les lécher d’un coup, trois abricots énormes, luisants et sentant le mâle puissant. Ils échangent en arabe et sembles très satisfaits de la tournure des évènements grâce à Rachid.
Ils me lèvent et me déshabillent complètement, même les chaussettes, je suis minable avec ma petite queue toute fine, face à ces mastards de compète. Un des gars revient dans la pièce avec du beurre rance, je commence à paniquer.
« Ne t’inquiète pas c’est du beurre rance pour le couscous, ça va bien graisser ta chatte de céfran… » Lâche Rachid.
Il me courbe en avant, et lèche mon anus en gémissant, je lui dis qu’il y a de la vaseline dans ma sacoche, mais il ne m’écoute pas, sa langue est grosse et longue et me pénètre loin comme une petite queue, en face de moi je suce les deux queues de ses frères qui sont très excités. Je me suis détendu, ils ne sont pas agressifs, ils vont m’utiliser pour se vider… je redoute leur sexe énormes.
Ceux que je suce sont velus, des cuisses très larges recouvertes de poils drus, leurs fesses sont rebondies, l’arrière de leurs cuisses sont très poilues, ils sont baraqués, l’un d’eux avec de beaux abdos, l’autre a un tout petit ventre.
Ils se disputent ma bouche, ils essayent de rentrer en même temps, celui qu’i m’avait branché devant l’ascenseur enfonce son zob très loin, ses lourdes couilles sont sur mon menton, il ne reste pas longtemps pour ne pas m’étouffer. Derrière moi, Rachid est infatigable, de la bave, de la salive coule sur mes cuisses, il écarte mes fesses très fort, je me sens femelle, soumis à sa domination virile.
Rachid met les doigts dans le beurre, et m’enduit mon cul, en faisant bien pénétrer le beurre, qui sent fort, cette odeur m’enivre, je voyage au Maghreb. Ils discutent en arabe, un des mecs de devant écarte mes fesses très fort, je sens le gland de Rachid se poser sur ma rosette, et pendant que devant il investit ma gorge, derrière il investit mon colon… je suis embroché des deux côtés. Le beurre facilite la pénétration, ce qui fait que j’ai une douleur très forte immédiate, je suis écartelé par ce zob hors norme, devant il a pris ma tête par l’arrière pour mieux s’enfoncer dans mon gosier. Je panique grave, il retire sa queue, je respire, l’autre derrière saisit mes épaule et m’encule jusqu’à la garde. Je hurle de douleur, j’ai l’impression que mes sphincters explosent, je sens ses gros couilles contre les miennes. Au lieu de me laisser m’habituer, il bouge de suite, ils se tapent dans les mains… et m’insultent.
« Même la Fatima elle a peur de la queue à Rachid et toi, espèce de salope, tu la prends en entier, sale pute »
Je dois avouer que la douleur disparue, les vas et viens de Rachid me rendent amoureux de lui, je gémis comme une grosse truie, sa queue est hyper dure, il claque son bassin à chaque entrée, des gouttes de sueur tombe sur moi, il se couche sur mon dos et me fait l’amour. Il est tendre et viril à la fois, il a besoin de câlins c’est sûr. Il veut me féconder, faire de moi sa femelle, sa chose. Soudain il explose en moi, je sens sa queue éjaculer, elle tressaute au moins 7 fois en moi, lui brame sa jouissance. Je suis rempli à ras bord. Il ressort de moi lentement pour ne pas me blesser, son grand frère prend la place.
Son sexe est plus long, quand il pénètre il fait ressortir plein de sperme, il va plus loin et me fait mal, lui devient bourrin, il n’aime pas être dans le jus de son petit frère, alors il essaye d’en finir rapidement, pareil son bassin claque contre moi, son gland très gros ravage le fond de mon tunnel, ses couilles balancent leur force contre moi. Rachid prend ma bouche et me roule une pelle d’anthologie. Je fonds. Je ne peux plus résister, je crache tout mon stock de jus sur le lit, j’hurle, les coups de boutoir de l’autre explose ma prostate. Soudain il décule et devant moi me fait la faciale de l’espace, je suis recouvert par son jus très odorant qui sent l’ail…
Je suis épuisé, Rachid me nettoie le visage, le troisième arabe prend pitié de moi, ne me pénètre pas, son sexe est énorme, il se masturbe au-dessus de moi et explose aussi sur mon torse et ma bouche. J’avale un jus très épais, très nourrissant.
Je suis allongé sur le côté, je suis bien, très satisfait, les endorphines font leur travail, Rachid se couche derrière moi, il se colle à moi, m’entoure de son bras puissant, colle son sexe contre mon cul, et demande à ses frères de sortir. On sombre dans un sommeil réparateur, recouverts d’un simple drap immaculé.
Plusieurs appels sur mon portable sont restés sans réponses, à 13h00 ils nous réveillent pour déguster le fameux tajine au goût délicieux, on mange avec les doigts, Rachid me met des boulettes préparées dans ses mains d’homme directement dans la bouche. Ce tajine sent la cannelle, le citron, les amandes, la viande est divine. On ne parle pas, on mange simplement. Les deux autres rotent souvent, Rachid lui fait ça discrètement, sa main est posée sur ma cuisses, comme si je lui appartenais. Juste avant le thé et les petits gâteaux délicieux, il passe sa main sous moi et m’enfonce un doigt profondément. Ses frères commencent à m’ignorer, je pense qu’ils sont jaloux de Rachid. Je joue la salope nymphomane, et soulève bien mon cul pour qu’il puisse en mettre deux puis trois. Ses doigts ramènent une substance visqueuse beurre et sperme, il m’oblige à les sucer, je suis tellement sous son emprise que je ne suis pas dégouté.
Les deux frères parlent à Rachid en arabe, puis ils s’en vont en claquant la porte.
L’attitude de Rachid change d’un coup, il devient très autoritaire, il me traine dans sa chambre, me couche sur le lit, se couche sur moi et me pénètre sans préparation en me frappant le cul. Je sens cette masse de muscles, poilus, qui me défoncent la chatte. Je pleure sous les coups de boutoir de mon jeune amant, mon colon est ravagé, il me brûle, il est dilaté au maximum, il ressort entièrement pour mieux me dominer, et s’enfonce en moi, dans sa chienne, pousse au maximum, il veut me féconder, il veut me taguer de son jus une deuxième fois. Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais un mec est dans la pièce, en survêtement, casquette à l’envers, en train de se caresser. Les rebeus sont bien montés, et lui n’échappe pas à la règle. La violence de Rachid exprime mon appartenance à sa queue. Il décule, s’allonge sur le dos, me fait m’asseoir sur son chibre. L’autre mec n’attend pas et s’enfonce en moi aux côtés de son pote. Je ne croyais pas ça possible, je hurle à fond, l’autre y va sans pitié, jusqu’aux couilles. Je dois avoir 12cm de large de queue dans mon cul, je perds connaissance.
Ce n’est pas ça qui les arrêtent, ils me pilonnent sans pitié. C’est à celui qui va le plus loin dans ma chatte. Son pote est couché sur moi, je suis en sandwich entre ces deux mâles virils, je ne risque pas de tomber, le malaise dissipé, je prends un pied gigantesque, on est tous les trois en nage, mes deux amants me font jouir à sec deux fois, leurs couilles se vident en même temps, un torrent de jus se déverse en moi, leurs queues nagent dans le bonheur. Je suis fécondée. (Vous avez remarqué le e de fécondée) je suis leur femelle. J’accepte tout ce que leurs femmes et copines ne veulent pas. Ma queue sans me consulter jute sur le ventre velu de Rachid, ses poils irritent mon gland douloureux, mon jus forme une petite flaque qui remplit son nombril. J’ai l’impression que je commence une nouvelle vie amoureuse. Je vais rompre avec ma copine, cette bobo frigide, je veux être la femme de Rachid, son régulier, son vide couille attitré. Je l’aime instantanément. Le visiteur se retire et claque mes fesses très fort en lâchant un « merci Rachid, elle est bonne ta lope ».
Rachid me fait des bisous, il est amoureux de moi. Il va m’ensemencer encore trois fois dans l’après-midi, toujours avec un éjaculat important, il kiffe jouir quand il prend possession de ma bouche, sa langue et son zob en moi.
Je vais devenir un habitué de cet immeuble, deux fois par semaine, je suis le vide-couille de ces trois arabes, parfois plus, mais toujours dans le respect de ma personne et avec mon consentement. Je kiffe ces rebeus, surtout Rachid, ses muscles, ses poils, ses cuisses, son membre, ses coups de rein, son endurance, son sourire.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
LE7
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